Ce vendredi après-midi a été fort animé au Mille-club du Bruch. L’ASBH y fêtait le fin de l’accueil de loisirs sans hébergement de la semaine. Au programme : Halloween, avec diverses animations musicales, des jeux, un concours de déguisement, un goûter dans le noir. Les parents ont été conviés à la fête et certains ont même fait partie d’un jury. Nadera Cardinal, responsable de la structure, ne tarit pas d’éloges sur l’investissement de Tiffany et son équipe au cours de cette session. Photo RL
Le centre social de Bellevue a pris ses quartiers dans ses nouveaux locaux de l’ancienne maternelle de Bellevue 2. Les élèves sont depuis la rentrée réunis sur un seul site, près de l'école élémentaire. Les locaux laissés vides doivent donc accueillir les activités de l'ASBH sur un site mieux adapté, ainsi que la crèche La Souris verte. Mais il faudra un peu patienter car une rénovation complète du bâtiment est prévue.
Tiffany Renaudet, responsable du secteur enfance à l’ASBH du Bruch, a organisé, en partenariat avec les enseignants, la semaine du goût au Mille club. Des actions ont été menées avec des membres de l’Udaf. Une cinquantaine d’enfants ont découvert les légumes de la région avec une soupe de légumes.
Mercredi, une cinquantaine d’écoliers des classes de CM1 et CM2 ont découvert les produits fermiers de la chèvrerie de Diebling, présentés par Aurélie et Alban. En visionnant une vidéo, ils ont découvert la ferme, la traite des chèvres, le lait et la transformation en différents fromages de chèvre qu’ils ont pu déguster, accompagnés de pain et de confitures. Une belle découverte de produits de la région pour les bambins qui ont apprécié cette dégustation matinale. Au centre social du Wiesberg, à Forbach, chaque tranche d’âge est prise en compte. Des activités sont proposées tout au long de l’année.
Les 12-17 ans « Nous nous occupons du dispositif " devoirs faits au collège Adt une ou deux heures par semaine. Nous proposons aussi une aide aux devoirs deux fois par semaine au centre social, détaille Farah Ait Moussa, responsable du secteur jeunes. Nous avons aussi un créneau sportif le jeudi soir au Cosec. Pour les mercredis récréatifs, nous proposons des sorties ou des activités sur place avec nos partenaires. Chaque soir de la semaine, sauf le jeudi, nous ouvrons aussi le centre social de 18 h à 20 h. Les jeunes peuvent venir y faire des ateliers culinaires, de la vidéo ou autres. » Le centre aéré est mis en place pendant les vacances scolaires. 60 adolescents au total le fréquentent. Les 6-11 ans Le centre social a la charge de la cantine de l’école Houpert et du périscolaire. Entre 35 et 40 enfants y sont inscrits. « Nous proposons aussi les mercredis récréatifs où les jeunes peuvent découvrir un grand nombre d’activités et suivre des projets comme celui que nous menons avec l’Ehpad Les Cerisiers, explique Cécile Masachs, responsable de la section. Nous accueillons également les enfants lors des vacances scolaires. Cette année, nous nous sommes mis d’accord avec les autres centres de la ville pour que toutes les semaines de vacances soient prises en compte. Si un site est fermé, les jeunes pourront s’inscrire dans un autre. » Les 3-6 ans Il s’agit encore d’un projet. Le centre social est dans l’attente de l’agrément de la PMI pour ouvrir cette nouvelle section. « Les parents sont en demande, souligne Farah Ait Moussa. Nous avons aménagé les salles, préparé un coin sieste et souhaitons accueillir ces petits pendant les vacances scolaires et plus tard pour les mercredis récréatifs. » Les familles Samera Tabet est en charge du secteur famille. Elle a développé de nombreuses rencontres dans la semaine comme un groupe de soutien à la parentalité, des cours de français langue étrangère pour les primo-arrivants, des ateliers de cuisine mais aussi des cours de couture et tricot. « Nous nous rendons aussi au Carreau pour des soirées spectacle et organisons des semaines vacances en famille. » Les adultes Ali Ait Ouarab est présent chaque jour pour aider les habitants dans leurs démarches administratives ou vers l’emploi. Les rencontres se font sur rendez-vous. Contact : 03 87 85 18 41 ou directement au centre social, avenue de l’Europe. Émilie PERROT Le soutien aux parents dans l’éducation des enfants est une des missions essentielles des différents partenaires sociaux. Depuis l’année dernière, à Forbach, un forum de la parentalité, initié par la CAF et le conseil départemental, met en lumière les actions effectuées tout au long de l’année sur le territoire. ASBH, Paejep, CMSEA ou encore Éducation nationale étaient ainsi présents ce mardi matin, à la salle Bauer pour échanger avec les parents.
Scolarité, harcèlement, relations dans la fratrie, problèmes administratifs, toxicomanie… Autant de thèmes qui ont été évoqués autour de chaque atelier. « Les parents ont parfois besoin de se rassurer. Ils viennent à notre rencontre pour se rencontrer, partager leur expérience », indique Anne Giglia, responsable du centre social de Bellevue. « Nous sommes les premiers maillons de la chaîne, on les oriente ensuite vers le partenaire social le plus adapté aux circonstances. » L’ASBH, partenaire jeunesse de la CJS de Cap entreprendre, a proposé aux jeunes de mettre en peinture le container à l’arrière du foyer du Bruch, un embellissement inauguré mardi 17 septembre. Réalisé par 16 adolescents, ce travail offre des messages éco-citoyens mais également une représentation d’un arbre du quartier. La CJS c’est la possibilité pour des adolescents de s’essayer à l’entreprenariat et au fonctionnement d’une entreprise d’entreprise (sur la période juillet/aout pour celle-ci). Comme de véritables salariés, ils ont pilotés eux-mêmes l’ensemble des aspects administratifs, financiers et organisationnels de l’opération. Ils ont bien entendu été assistés par deux animatrices, dont Cindy qui témoigne : « Ils ont pu participer à de nombreuses formations, notamment concernant la peinture, ce qui est en rapport avec leur projet, mais aussi d’une manière plus générale : une aide aux CV par la Mission Locale ; une formation marketing; une aide à la prise de parole en public ; une formation au montage vidéo par le service communication de l’ASBH ;… » L’ASBH cherche à nouveau un directeur pour gérer le centre social du Wiesberg à Forbach. Depuis plusieurs années, les prétendants se succèdent, mais ne restent jamais longtemps… Le potentiel est pourtant là, il ne manque qu’un « pilote ». Explications avec le président et le directeur de l’ASBH. Depuis près de trois mois, l’ASBH (action sociale du bassin houiller) cherche un nouveau directeur pour le centre du Wiesberg. Un problème récurrent, car en quelques années, la structure a connu plusieurs dirigeants qui finalement ne font que passer, après une année, voire deux d’activité. Le dernier en date, Jean-Luc Humbert, était en poste depuis août 2018 et, avant même la fin de sa période d’essai, il a décidé de rendre son tablier. Une nouvelle déception et surtout un nouveau casse-tête pour Sébastien Goeury et Rocco Saccucci, respectivement président et directeur de l’ASBH, qui a la gestion de la structure. Apaiser les tensions « Nous avons besoin de trouver quelqu’un, un ‘’pilote’’ qui puisse s’investir dans la durée », explique Rocco Saccucci. Et qui ‘’résiste’’ à certaines formes de pressions. Car par le passé, certains directeurs ont subi jusqu’à des menaces physiques, venant notamment de jeunes adultes du quartier. Le problème est récurrent, les incivilités se multiplient. Récemment, des poubelles ont été brûlées et il y a eu des intrusions, de nuit, dans le centre. À ceci s’ajoutent des attroupements, le soir, qui entretiennent un sentiment d’insécurité. C’est ce qui a amené la Ville à interdire le stationnement sur le parking du centre social. Elle a aussi, en lien avec l’ASBH, organisé une réunion avec des représentants du quartier pour tenter de trouver une solution et apaiser les tensions. Favoriser les initiatives Parallèlement à ce triste constat, Rocco Saccucci évoque « un quartier qui souffre d’une mauvaise image qui n’est pas justifiée ». Ce qu’il voit, c’est « un secteur qui a un tissu associatif qui figure parmi les plus importants du bassin, avec des gens qui veulent s’investir ». L’ASBH est donc là aussi pour accompagner les différentes initiatives. « Beaucoup de choses ont déjà été faites, comme la rue des Chercheurs » qui permet aux demandeurs d’emploi de venir consulter des annonces au centre et d’être accompagnées dans leur recherche par un médiateur. D’autres projets doivent voir le jour, avec « une belle équipe, motivée, notamment pour développer les activités liées à la petite enfance », ajoute Sébastien Goeury. Un agrément va être demandé pour proposer l’accueil des 3-6 ans. « Les mères de famille seraient prêtes à s’investir pour gérer cet espace. » Mais il faut des personnes qualifiées et l’ASBH peut accompagner les personnes souhaitant passer des diplômes comme le Bafa (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur). Pour piloter le navire, l’ASBH a besoin de trouver un nouveau capitaine, « ayant déjà une solide expérience ». Le recrutement ne peut pas se faire forcément au sein du quartier. « Nous avons réceptionné quelques candidatures, confie Rocco Saccucci. Mais les profils ne correspondaient pas. » L’ASBH a bon espoir de trouver la perle rare avant la rentrée. Outre les soucis pour recruter un nouveau dirigeant, il existe certaines incertitudes quant au devenir du centre du Wiesberg. Dans le cadre du projet de rénovation urbaine (Anru), on évoque, outre la démolition de certains bâtiments, la fermeture pure et simple de la structure, qui laisserait la place à une ferme pédagogique. Une idée balayée par Rocco Saccucci, directeur de l’ASBH. « Il n’est pas question de raser le centre du Wiesberg », assure-t-il. Il est pourtant question, clairement, d’occuper les locaux de l’ancien conservatoire de musique, rue de Remsing. Une belle idée pour l’ASBH. « C’est un projet qui permet d’ouvrir le quartier, le centre, vers la ville. » Et peut-être d’attirer d’autres utilisateurs, comme les habitants du Hommel. Mais cela ne remet pas en cause selon lui l’existence du centre de l’avenue de l’Europe. « C’est une décision qui va dans le bon sens et peut nous permettre de développer encore nos activités. »
Michel LEVILLAIN Depuis l’incendie qui a frappé le centre social de Bellevue, les activités estivales de l’ASBH ont été transférées vers l’école élémentaire. Ceci en attendant un nouveau centre. Le point avec le directeur de l’ASBH, Rocco Saccucci. Il y a un peu plus d’une semaine, les locaux du centre social de Bellevue, rue Kaufmann étaient victime d’un incendie dont le caractère criminel ne fait aucun doute. Le feu s’est déclaré en pleine nuit et a touché des salles situées à l’arrière du bâtiment, au rez-de-chaussée. La police a ouvert une enquête et suite aux témoignages recueillis, a procédé à l’interpellation d’une personne, mise hors de cause après l’exploitation des vidéos de surveillance.
Nouveaux locaux à Bellevue 2Le sinistre a obligé l’association d’action sociale et sportive du bassin houiller (ASBH) à déplacer ses activités estivales, mais une solution a rapidement été trouvée avec la ville. « Nous nous sommes repliés vers l’école élémentaire de Bellevue », explique le directeur de l’ASBH, Rocco Saccucci. S’il avoue être « déçu par le comportement de certains, les incivilités, qui pénalisent les jeunes et l’ensemble des citoyens du quartier », il ne renonce pas pour autant et se projette vers l’avenir. Suite à la fusion des deux maternelles, qui intégreront à la rentrée le site situé juste à côté de l’école élémentaire, le centre social sera installé dans l’ancien bâtiment de Bellevue 2. « Nous pourrons continuer notre travail dans des locaux mieux adaptés. » Quid du centre de la rue Kaufmann ? « Nous occupons toujours des locaux à l’étage », rassure Rocco Saccucci. Une antenne peut donc être maintenue, mais le dossier est entre les mains de la mairie, qui devrait entamer des travaux de rénovation des locaux sinistrés. M.L. Mardi matin, dans la cour de l’école maternelle du Bruch, 180 enfants des écoles maternelles du Bruch, de Bellevue et de Marienau ont participé au cross Ela.
Cette activité sportive, au profit d’Ela (Association européenne contre les leucodystrophies), a été organisée par l’ASBH, représentée par Anne-Marie Parlagréco et Nadera Gardinal, avec le concours des directrices, des enseignants des trois écoles maternelles et des parents d’élèves. Comme l’a indiqué Anne-Marie Parlagréco, les enfants se souviendront de ce cross plus tard, comme une participation citoyenne pour prendre en compte le handicap, les familles ayant versé un euro par enfant au profit de l’association. Les parents et les amis sont venus en nombre pour encourager les élèves de maternelle avant de partager le café gâteau. Le conseil de quartier de Marienau a organisé ce samedi sa traditionnelle fête de quartier, aux abords du City stade. Plusieurs animations étaient proposées, grâce à la participation du club pugilistique du Wiesberg, le groupe de danse country de Forbach, mais aussi l’ASBH. C’est une tradition depuis une décennie. Le conseil de quartier de Marienau, présidé par Ferdinand Thome, organisait ce samedi sa fête, aux abords du city stade.
Outre la participation de la ville, de nombreuses associations ont rejoint ce grand rendez-vous, qui a bénéficié d’un temps des plus cléments. Le club de boxe du Wiesberg proposait des démonstrations et des initiations à cet art noble pour les jeunes. L’ASBH animait différents ateliers, avec des jeux pour les enfants, mais aussi du maquillage, ainsi qu’une « sensibilisation à la collecte sélective ». Le club de country a également fait une démonstration. Les enfants des écoles du quartier, du primaire et de l’élémentaire ont aussi participé, ouvrant les festivités en chansons. « Un rendez-vous incontournable »« Aujourd’hui, Marienau revêt ses plus beaux atouts pour célébrer sa fête de quartier », a lancé Ferdinand Thome dans son discours. « Ce rendez-vous est devenu incontournable et donne à tous l’occasion d’échanger, de partager et d’avoir le plaisir de se retrouver en famille ou entre amis » Le quartier est vaste et s’étend jusqu’au centre-ville, mais le président du conseil de quartier ne désespère pas d’accueillir à l’avenir plus d’habitants de Marienau. « Nous avons des gens qui viennent d’autres secteurs de la ville, voir d’autres communes, jusqu’à Freyming-Merlebach », confie Ferdinand Thome. Mais toute une partie de Marienau ne participe pas à la fête. Le conseil de quartier travaille à fédérer, et attirer la population à cette manifestation qui permet « de tisser des liens intergénérationnels, nécessaires au bien vivre ensemble ». M.L. |
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