A.S.B.H. ASSOCIATION D'ACTION SOCIALE ET SPORTIVE DU BASSIN HOUILLER
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L’interdiction des masques artisanaux met fin aux initiatives solidaires de couture de l’ASBH

13/2/2021

 
L’interdiction des masques artisanaux en tissu a mis fin aux initiatives solidaires lancées par de nombreuses couturières et associations, notamment à l’ASBH. Une issue logique et acceptée, mais qui laisse à certains un sentiment de frustration.
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Depuis avril 2020, l’atelier d’insertion couture de l’ASBH à Hombourg-Haut tournait à plein régime pour fournir des masques en tissu lavables à son personnel, mais aussi à des périscolaires, à des communes comme Cocheren ou Kerbach ou encore à des clubs sportifs. L’association avait connu un nouveau coup de bourre à l’approche de la rentrée scolaire et avait produit, grâce à ses huit couturières, 1 500 masques à destination des enfants entre septembre et décembre 2020.

Mais le 8 février, l’interdiction des masques artisanaux à l’école devenait effective et mettait par conséquent fin à ces nombreuses activités solidaires. « Cette décision a eu des conséquences morales sur notre équipe. On était dans un esprit d’entraide, on se sentait utiles, mais d’un coup, tout s’est arrêté. C’est comme si on n’avait plus besoin de nous », regrette aujourd’hui Martine Gammella , responsable de l’atelier d’insertion couture pour l’ASBH, sans remettre pour autant en cause les raisons sanitaires de cette interdiction.

« Je sais que j’ai aidé beaucoup de personnes »
De son côté, la Forbachoise Giovanna Giordano avait usé de ses compétences de couturière pour fabriquer, dès mars 2020, des masques en tissu à tous ceux qui en avaient besoin. « Pendant les trois premiers mois du premier confinement, j’en fabriquais non-stop jusqu’à tard dans la nuit », se rappelle-t-elle.


"Les masques ont répondu à des demandes très importantes venant de l’Ehpad de Farébersviller, des ambulanciers de Jussieu, d’infirmières à domicile et même des livreurs."
 Giovanna Giordano, couturière de Forbach


Sur cette période, elle avait confectionné 700 masques à elle toute seule et avait même réussi à réunir toute une équipe de couturières solidaires autour d’elle pour augmenter le rendement. « Les masques ont répondu à des demandes très importantes venant de l’Ehpad de Farébersviller, des ambulanciers de Jussieu, d’infirmières à domicile et même des livreurs », se souvient-elle.

Pas de mise aux normes pour la catégorie 1
Même si elle est « en colère contre les dirigeants qui ont dit tout et son contraire concernant l’utilisation des masques » contre la propagation du virus, la Forbachoise ne se sent mise de côté : « Je sais que j’ai aidé beaucoup de personnes, et ces dernières ont été très reconnaissantes, c’est tout ce qui compte. »

Plaintes pour harcèlement moral : un encadrant de l’ASBH mis à pied

5/2/2021

 
Des bénéficiaires de chantiers d’insertion à Stiring-Wendel ont porté plainte pour harcèlement moral au travail contre leur encadrant. Les témoignages évoquent « des propos sexistes, racistes, atteignant à la dignité… », surtout envers les femmes. L’employeur, l’ASBH, prend l’affaire au sérieux. L’encadrant est mis à pied.
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Quatre femmes, bénéficiaires de chantiers d’insertion de l’ASBH à Stiring-Wendel, ont porté plainte, au commissariat de Forbach, pour « harcèlement moral par propos ou comportements répétés ayant pour effet une dégradation des conditions de travail pouvant attenter aux droits, à la dignité, à la santé ou à l’avenir professionnel ».

Ces accusations visent un encadrant technique. A bout, ces femmes ont décidé de révéler l’ambiance délétère qui règne à l’atelier couture ou sur les chantiers d’entretien du cimetière et de la voirie à Stiring-Wendel depuis quelques mois. Elles ont alerté leur direction mais aussi le maire de Stiring-Wendel , qui les a reçues, et l’inspection du travail. En appui de leur déposition, elles ont produit des témoignages de collègues confirmant leur version.

« Il nous dénigrait au quotidien »
Les stagiaires des chantiers d’insertion de Stiring-Wendel évoquent « des propos sexistes, racistes, vulgaires, à caractère sexuel, portant atteinte à la dignité… » de la part de l’encadrant et tenus au quotidien. « Des bénéficiaires ont quitté les chantiers d’insertion à cause de ça, d’autres sont en arrêt maladie. Nous étions sans cesse rabaissées, humiliées. Le cadre révélait en public des aspects de la vie privée de certaines d’entre nous, pour s’en moquer. C’était devenu l’enfer. Un encadrant d’insertion doit nous aider à retrouver une situation dans la vie. Là, c’était le contraire, il nous dénigrait et nous enfonçait encore plus », raconte une des plaignantes.

Lancement du chantier d'éco-solidarité

6/1/2021

 
Un chantier nouveau chantier d'insertion sociale et professionnelle à pris place au sein de l'école Grossfeld à Stiring-Wendel avec pour but, la réhabilitation et la réutilisation des meubles et de l’électroménager.

Le constat est que le manque de meubles et d’électroménager se faisait ressentir pour une tranche de la population locale.

Afin de venir en aide à ces personnes, le chantier d’éco-solidarité récupère des meubles chez des particuliers ou des bailleurs sociaux, les stocke puis les transforme ou les restaure pour leur donner une seconde vie.

Seules des personnes recommandées par un travailleur social ou un organisme spécialisé peuvent en bénéficier. Un meuble coûte 5 euros. Un lot coûte le double.

" Ce n'est pas parce-que des personnes ont, à un moment donné, des difficultés sociales, qu'elles doivent forcément avoir des meubles en mauvaise qualité, des meubles qui ne sont pas beaux. Donc on a voulu garder cet aspect de dignité. On a voulu aussi ne pas fournir les meubles gratuitement en mettant des tarifs vraiment adaptés, j'allais dire presque symbolique, parce-que c'était important pour nous que les personnes achètent leurs meubles, choisissent leurs meubles, achètent leurs meubles.  "
​Sébastien Goeury
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Des chantiers d’insertion dans les jardins et vergers de B’Est

14/10/2020

 
En juin 2019, la direction de B’Est signait une convention avec l’ASBH pour lui confier l’exploitation de ses jardins et vergers, situés à l’arrière du centre commercial. Sur ces parcelles, l’association d’action sociale a mené différents chantiers d’insertion. Pour les deux partenaires, le bilan est positif.
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« Ce n’est que le début d’une histoire, les deux premières années de notre partenariat laissent présager de beaux projets de développement », se félicite Barthélemy Jeanroch. En juin 2019, le directeur de B’Est a signé une convention avec l’Association d’action sociale et sportive du bassin houiller (ASBH) pour lui confier l’exploitation de ses jardins et vergers situés à l’arrière du centre commercial de Farébersviller. Avec pour objectif que l’association utilise ces lieux pour ses chantiers d’insertion. 
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« L’ASBH a depuis l’usufruit des 14 parcelles avec leurs abris de jardin et des vergers qui comptent plus d’une centaine d’arbres. Des pommiers, cerisiers, mirabelliers, poiriers », précise le dirigeant, rappelant qu’«  on a sept hectares derrière notre site qui constitue un superbe corridor pour préserver la faune et la flore  ».

« Créer du lien social »
Pour les deux partenaires, le bilan est totalement positif. « Le but était clair dès le départ. Nous voulions faire en sorte que ces jardins soient exploités tout en créant du lien social. L’ASBH a parfaitement répondu à nos attentes, indique Barthélemy Jeanroch. L’objectif de Codic en construisant ce centre ici n’était pas de créer un ovni au milieu de nulle part, mais de s’insérer dans le paysage et dans la vie locale, avec du soutien aux associations. Je suis satisfait de constater qu’avec l’ASBH nous sommes arrivés à monter un projet très humain. »
« Pour nous, ces jardins représentent un magnifique support qui nous permet de travailler avec des personnes en insertion et de voir ce qu’elles sont capables de faire ou non, notamment avant d’entamer une formation », note Jean-Luc Staub, référant des chantiers de l’ASBH.

« Un chantier d’insertion valorisant »
« Cultiver ces parcelles, récolter le fruit de leur travail est extrêmement valorisant pour ces gens qui viennent jardiner avec un vrai plaisir, renchérit Stéphane Rey, encadrant technique du chantier. Cette année, nous avons accueilli ici une trentaine de femmes et d’hommes en insertion. Nous avons planté des légumes, dont 1 050 pieds de pommes de terre, 50 de tomates, des salades, des courgettes et la récolte a été bonne. »
Avec les fruits des vergers, l’ASBH a fabriqué 1 000 pots de confiture, 200 conserves et plus de 500 litres de jus de pommes. « Nous avons également distribué une partie des fruits dans les hôtels sociaux de Forbach. » 
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Pour valoriser toute cette dynamique, la direction de B’Est a proposé à l’association de confectionner des paniers gourmands avec ses produits made in Farébersviller. « On pourra les mettre en vente pour Noël dans le centre commercial. Nous y ajouterons le miel de nos ruches », annonce Barthélemy Jeanroch.

ASBH : les couturières fabriquent toujours des masques en tissu

24/8/2020

 
Dès le début du confinement, l’atelier d’insertion couture de l’ASBH de Hombourg-Haut a fabriqué des masques en tissu. Celui de Stiring-Wendel s’y est mis fin avril et continue cette activité aujourd’hui, car la demande est toujours là.
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Mi-mars, dès le début du confinement, l’atelier d’insertion couture de l’ASBH de Hombourg-Haut s’était mis à la fabrication de masques lavables en tissu. Des protections pour les salariés de l’ASBH qui continuaient de travailler, mais aussi pour d’autres associations ou pour des communes. Les couturières de l’atelier, basé à la cité des Chênes, avaient alors stoppé leur activité de sous-traitance pour l’entreprise Dodo pour produire en priorité et en urgence ces masques.
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Quelques semaines plus tard, fin avril, l’atelier d’insertion de Stiring-Wendel emboîtait le pas à celui de Hombourg-Haut. « Nous avons eu des demandes d’associations, de la mairie de Stiring, du centre social. On a acheté deux machines à coudre en urgence et quatre couturières s’y sont mises. Deux savaient déjà coudre et deux autres ont été formées à cela », explique Mohamed Badaoui, responsable de l’atelier d’insertion.

Jusqu’à 250 masques par semaine
​En ce début du mois d’août, alors qu’à Hombourg-Haut la sous-traitance pour l’entreprise Dodo a repris, les couturières stiringeoises sont quant à elles toujours à l’œuvre pour fabriquer des masques. Il y a Dominique l’encadrante, et Carole, Mélissa et Rachel. « Je ne connaissais rien à la couture avant de démarrer ici, j’ai appris au fur et à mesure », explique Mélissa. « J’ai aussi appris sur le tas, mais d’abord chez moi, enchaîne Carole. J’ai fabriqué des masques gratuitement pour des gens que je connaissais, et je suis à l’atelier d’insertion de l’ASBH depuis le mois de juin. »
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En ce moment, les couturières stiringeoises peuvent produire jusqu’à 250 masques en tissu par semaine. « On en a fait pour la police, les pompiers, les gendarmes, pour les animateurs des centres aérés de l’ASBH, pour d’autres associations à but non-lucratif », précise Mohamed Badaoui. La demande est toujours là, et l’activité, utile et valorisante, se poursuit donc.

Un nouveau chantier d’insertion socio-professionnel cet été pour l’ASBH, en partenariat avec la Mairie de Faulquemont !

3/8/2020

 
Suite à l’accord de l’Etat pour la création des emplois aidés, mi-juillet, en collaboration avec Pôle Emploi, la Mission Locale et les services municipaux, 12 personnes, majoritairement de Faulquemont (certaines d’entre elles résident dans d’autres communes du DUF) ont déjà été recrutées en Contrat à Durée Déterminée d’Insertion, l’objectif étant d’atteindre à très court terme 20 à 22 salariés.

Ces derniers sont accompagnés par un ETI (encadrant technique d'insertion) pour la gestion des travaux et d‘un ASP (accompagnateur socio-professionnel) avec qui ils travaillent leur projet professionnel et la levée d’éventuels freins en vue d’intégrer dès que possible le marché du travail via une formation qualifiante ou un emploi. Lorsqu’une place se libère, une autre personne intègre ce dispositif soutenu par le Département et l’Europe (FSE). Ce 
chantier est basé physiquement avec les services techniques de la ville, rue de la gare à Faulquemont. Il fonctionne quotidiennement, essentiellement autour de travaux support d’espaces verts (tonte, désherbage...) même si, à l’image des autres chantiers A.S.B.H., des travaux d’autres domaines peuvent être initiés en fonction des besoins.
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Merci à la ville de Faulquemont pour sa confiance dans ce projet. ​

Un potager pour l'insertion sociale et professionnelle

30/7/2020

 
C’est à l’arrière du centre commercial b’est que se situe notre potager d’insertion sociale et professionnelle.
 
Chaque jour entre quatre et six à salariés du chantier d’Insertion de Farébersviller viennent entretenir pas moins de 14 parcelles.
 
On n’y trouve de nombreuses variétés de fruits et légumes parmi lesquels : des pommes de terre, haricots, salade, tomates ou encore des fraises, framboises, pommes ou mirabelles, qui seront redistribués aux personnes du chantier ou transformé et utilisés dans les centres sociaux ASBH.
 
Il faut également savoir que tout est cultivé naturellement, sans engrais chimiques ou pesticides et que l’herbe est fauchée une fois par an, ce qui favorise la biodiversité.
 
C’est un moyen de diversifier les activités initiales du chantier d’insertion sociale et professionnelle menées historiquement avec la ville de Farébersviller, mais aussi de permettre aux bénéficiaires de récolter le fruit de leur travail.
 
En partenariat avec le centre commercial B’est nous prévoyons prochainement l’ouverture d’une boutique éphémère où seront vendus nos produits transformés telles que des jus de pomme, jus de poire, confiture de mirabelle, cerises ou fraises et sauce tomate.

Des masques pour les enfants des familles démunies au Blaise-Pascal

2/7/2020

 
Le lycée Blaise-Pascal s’est lancé dans la conception de masques destinés aux enfants, plus particulièrement pour les foyers en situation de précarité. Ceci en lien avec l’ASBH, Emmaüs et l’Unicef.
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Le lycée Blaise-Pascal de Forbach ne manque pas de projets, en lien avec des actions solidaires, mais pour beaucoup, ils ont été “confinés”. Avec le retour des élèves, d’autres ont vu le jour, comme un atelier de confection de masques, plus particulièrement destinés aux enfants. Une idée qui mobilise les élèves allophones de l’UPE2A, et les parents, dans le cadre du dispositif OEPRE (Ouvrir l’école aux parents pour la réussite des enfants).

Une centaine de masques pour commencer« C’est un projet fédérateur, qui a du sens, avec une dimension humaine, solidaire », explique Omar Kaced, coordonnateur de l’UPE2A. « On peut trouver des masques un peu partout, mais ils ne sont généralement pas adaptés aux enfants. » Et ils ont un coût, que les familles les plus démunies ne peuvent pas forcément consacrer à cet achat pourtant essentiel. C’est pourquoi plusieurs partenaires ont été associés à ce projet, comme Emmaüs, qui a fourni le tissu, l’Unicef, mais aussi l’ASBH… Martine Gammella, encadrante technique insertion, a ainsi été mobilisée par l’association pour œuvrer au côté de deux enseignantes en Bac pro Mode, Marie-Madeleine Barborin et Selma Ilhan. En décembre dernier, ces partenaires étaient déjà mobilisés. « Pour l’instant, nous sommes partis sur une centaine de masques, qui seront distribués dans les centres d’accueil, via Emmaüs et l’ASBH, mais nous pouvons en faire plus suivant la demande », confie Omar Kaced.

Action porteuse de valeurs
Pour le proviseur, Raymond Bour, « il y a dans cette action la volonté de mettre en avant certaines valeurs, de solidarité, de citoyenneté, de montrer qu’un établissement scolaire peut être au service des autres ». Parallèlement, avec l’école des parents, « il y a un travail sur la relation parents-enfants, pour recréer du lien ». Le proviseur souhaite aussi, au-delà de cette action développer un « Fab Lab de la couture, un lieu de richesse et de partage pour mettre en valeur les compétences de chacun ».

Des centaines d’ouvrages pour les boîtes à lire

2/7/2020

 
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Le personnel du chantier d’insertion de l’ASBH est venu charger plusieurs centaines d’ouvrages. Mélanie Barth, responsable du service politique de la Ville, enfance, jeunesse et de Vincente Fisch, adjointe à la politique de la Ville étaient présentes à cette occasion. Il s’agissait de récupérer plusieurs centaines d’ouvrages entreposés par les anciens propriétaires décédés.

Que faire de ces vieux livres ? C’est la question qu’a dû se poser Dominique Cuny après le décès de ses parents. Il s’est retrouvé avec des armoires pleines de livres de toutes sortes. Autrefois, on pouvait les confier aux bouquinistes, mais les temps ont changé et bien souvent, ils finissent aujourd’hui au bac à papier. L’idée d’en faire profiter les boîtes à lire a fait son chemin.

Petite bibliothèque de rue
Une boîte à lire est une petite bibliothèque de rue où chacun peut déposer et emprunter des livres gratuitement, privilégiant ainsi l’accès à la culture. C’est aussi un projet solidaire qui favorise le lien social, encourage une économie du partage et du don et développe une démarche éco-citoyenne. En déposant ou en empruntant un livre dans une boîte à lire, une seconde vie lui est donnée, tout en respectant l’environnement.

Les boîtes à lire offrent un cadre souple qui repose sur l’échange et le partage et viennent compléter l’offre de lecture du territoire. C’est ainsi que Dominique Cuny a fait appel aux services de la mairie et a trouvé une oreille attentive en la personne de Mélanie Barth. Pour permettre un renouvellement des ouvrages qui y sont entreposés, les dons de livres représentent une aubaine et c’est dans cet esprit que Mélanie a accepté de récupérer les ouvrages, leur donnant ainsi une seconde vie.

Pour saluer le geste citoyen, Vincente Fisch, représentant M. le maire, a remis un courrier de remerciement à M. Cuny accompagné de trois ouvrages écrits par le Cercle d’histoire sur l’histoire de la ville.

Ham-sous-varsberg : Une convention, une conduite d’eau et des vœux

18/2/2020

 
Une convention va être signée avec l’ASBH et la CCW pour la mise à disposition de deux locaux communaux et l’utilisation des douches-sanitaires du service technique. La location des salles a été chiffrée, à la demande de l’ASBH. Elle est estimée à 143 € mensuels. La commune ne facturera pas cette somme qui sera considérée comme une subvention. Les consommables – électricité, eau, eau et chauffage –, estimés à 250 € par mois, seront refacturés à l’ASBH.

Par ailleurs, le logement communal 4B, situé au-dessus de l’école maternelle, au loyer de 417,06 €, est disponible. Il faut se renseigner en mairie.
​
Un point a aussi été fait sur l’avancement du chantier de création d’un lotissement communal rue de Lorraine. La pose de la conduite d’eau pluviale de 800 mètres est en cours. Plusieurs arbres devenus dangereux pour le trafic routier le long des rues de Guerting et de Porcelette devront être retirés des abords de route. Il a été décidé de mettre la salle socioculturelle ainsi que l’ancien presbytère à disposition, gratuitement et avec sonorisation, des candidats aux municipales. Un nouveau standard téléphonique va être installé en mairie. Enfin, la séance s‘est achevée par la cérémonie des vœux. Les élus préfèrent ce genre de manifestation, sobre et économique. L’occasion pour le maire, d’offrir le vin d’honneur sur ses fonds personnels en accompagnement de la galette fournie par la municipalité.
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