Le centre social ASBH de la Chapelle a préparé un repas solidaire, qui bénéficiera à 60 personnes pour le Nouvel an. Un exercice auquel sont rompus les animateurs du centre et notamment Lacène Scherer, qui prépare des menus toute l’année pour les personnes isolées ou démunies. Lacène Scherer évolue dans la cuisine comme un poisson dans l’eau. Le bouillon qu’il prépare en ce 30 décembre est destiné aux bouchées à la reine qui constitueront le plat principal du repas solidaire du Nouvel an, offert à 60 habitants du quartier de la Chapelle, à cheval entre Freyming-Merlebach et Hombourg-Haut. En entrée, ces personnes isolées ou en difficultés financières, auront droit à une assiette terre-mer, avec terrine aux trois poissons, magret et crudités, et, au dessert, à une bûche et une crème brûlée. Des colis de produits d’hygiène, offerts par le Secours catholique, et des chocolats accompagneront les repas.
« C’est la septième année que nous organisons ce repas solidaire mais cette année, nous ne pouvons l’organiser au foyer, en raison des mesures sanitaires », explique l’animateur du Centre social de l’Association d’action sociale et sportive du Bassin Houiller (ASBH). La voilure a dû être réduite. 120 convives avaient partagé le repas en 2019. indispensables partenaires Si le Lorrain est si rompu aux arts culinaires, c’est qu’il prépare des repas pour les plus seuls et démunis depuis le premier confinement. Tous les mardis et vendredis, souvent aidés par Rémy Kern, un jeune cuisinier au chômage partiel qui vient bénévolement mettre la main à la pâte, il prépare des menus pour une vingtaine de personnes. Ces mêmes bénéficiaires qui ont savouré un repas de Noël un peu anticipé, le 18 décembre, tandis que la Maison des associations, le centre social et le CCAS organisaient un repas solidaire, le jour J, pour 100 habitants de Freyming, avec le concours du restaurant Le Pergola. Des partenaires indispensables, que Lacène Scherer met en avant. « Les repas solidaires de Noël et du Nouvel an ont pu être préparés grâce à la subvention des deux communes de Freyming et Hombourg-Haut. Les repas du mardi et vendredi sont réalisés grâce aux dons de la Conférence Saint-Vincent-de-Paul. Et le lycée Pierre-et-Marie-Curie a confectionné des plats gastronomiques trois mardis de décembre », souligne l’animateur, qui donne également des cours de cuisine, dispensés sur Facebook depuis le début de la crise sanitaire. Initiée par l’ASBH, une collecte de denrées alimentaires a été organisée au sein de l’école primaire La Chapelle de Freyming-Merlebach, à destination de l’association Saint-Vincent-de-Paul de Hombourg-Haut. Son président, Dominique Zins, ainsi que son vice-président, Hubert Lebleu, ont récupéré le fruit de la générosité des habitants du quartier et ont récompensé les élèves d’un sachet de chocolats. Soucieuse de développer l’esprit de fraternité des élèves, l’équipe enseignante reconduira cette action l’année prochaine et envisage de mener d’autres actions.
L’ASBH et le CCAS (Centre communal d’action sociale) ont assuré la distribution de colis de Noël à destination des seniors dans les résidences d’autonomie de Freyming-Merlebach, comme Sainte-Barbe ou la résidence Soleil. Une opération menée en lien avec la Ville. « Il est primordial de ne pas négliger les aînés souffrant d’isolement », explique Sarah Halbeher, responsable du centre social. « Même lorsque des seniors vivent en résidence autonomie, ils peuvent être touchés par cet isolement », un sentiment qui ne fait que s’accroître. « Plus d’une personne de plus de 60 ans sur trois ne sort pas de chez elle tous les jours », comme le souligne une étude des Petits frères des pauvres.
Créer du lien et travailler contre l’isolement La Covid et le confinement ont « fragilisé les liens sociaux qui sont nécessaires à tout individu, et il est important que les acteurs publics que sont la Ville, le CCAS et l’ASBH se mobilisent. » C’est ce qu’ils ont fait, par le biais de plusieurs actions, dont celle de la livraison de colis. « Au-delà de l’offre symbolique du cadeau, cette action a un double objectif, créer du lien social en échangeant avec les seniors » pour essayer de mettre en place éventuellement des actions. Mais aussi alerter « les encadrants des résidences pour que l’on puisse travailler ensemble contre l’isolement et les souffrances que cela peut engendrer. » Il s’agira donc de garder le lien, même après Noël. La ville de Freyming-Merlebach a décidé d’offrir un repas de Noël aux personnes « isolées et ou en situation de précarité » , explique Jean-Marie Haas, élu en charge du CCAS et de la politique de la Ville. L’opération a été menée en ce 24 décembre en lien avec le centre communal d’action sociale (CCAS) et l’ASBH, « pour cibler des personnes recensées par les deux structures ». En plus des livraisons, « un point de collecte a été mis en place au CCAS », ajoute Kadda Moghraoui, le directeur. L’opération s’est déroulée en lien avec le restaurant la Pergola, géré par Karine Savo. La restauratrice n’en est pas à sa première action solidaire, puisqu’elle était l’une des deux enseignes qui continuent ont accepté de fournir des repas aux Ehpad les week-ends, en lien avec l’association Simone-Veil. Des plateaux festifs à base de fruits de mer
Ce mardi, juste avant midi, les équipes du CCAS et de l’ASBH se sont rendues à La Pergola pour récupérer « un petit plateau festif » concocté par les chefs. « Il fallait un menu qui puisse convenir à tout le monde », glisse Jean-Marie Haas. Et c’est donc vers les produits de la mer, spécialité de la maison, que l’on s’est tournés. Au menu, « une déclinaison de poissons et de crustacés, avec des bouchées, et en dessert, un tiramisu », détaille Karine Savo. Pour un savoureux Noël ! La ville de Freyming-Merlebach, le centre communal d’action sociale et l’ASBH ont décidé de maintenir, mais sous une autre forme, les repas solidaires organisés chaque année les 24 et 31 décembre. Les colis et les repas seront livrés. Chaque année, à Freyming-Merlebach, une opération “repas solidaire” était organisée le soir du réveillon de Noël. « Il y avait une centaine de personnes, avec le repas, des animations, remises de cadeaux… », explique Jean-Marie Haas, élu en charge du CCAS et de la politique de la Ville. Impossible à imaginer cette année. « Mais il faut savoir s’adapter. » Des colis et des repas Ainsi est née l’idée, en lien avec le centre communal d’action sociale (CCAS) et l’ASBH, d’organiser les choses différemment, avec deux actions. « La première est la distribution de colis cadeaux, des paniers garnis », fournis en lien avec l’enseigne Leclerc de Betting, mais aussi Greff papier, installé également sur la zone artisanale. L’autre consiste « à proposer la livraison de repas confectionnés par un restaurateur local le 24 décembre. » Un premier contact
C’est notamment l’ASBH qui assurera les livraisons. « Cela nous permet de toucher des personnes âgées en situation d’isolement », explique Sarah Halbeher, responsable du centre social. « Et voir ce que l’on peut proposer comme action sociale sur les différents secteurs de la ville. » Autre idée, investir « les résidences autonomes, où des personnes vont potentiellement se retrouver seules… » et sans l’assistance d’une équipe de soignants. « Là encore, cela permet de prendre un contact et voir ce que l’on peut faire, quelles actions mener pour améliorer leur quotidien », ajoute Kadda Moghraoui, directeur du CCAS. Après Noël, la Chapelle fêtera son Nouvel an solidaire Et l’on commence déjà à penser à Nouvel an. « Le centre social la Chapelle organisait lui aussi un réveillon de la Saint-Sylvestre, avec plus d’une centaine de personnes et des repas confectionnés sur place par les équipes de Lahcène Scherrer », rappelle Jean-Marie Haas. « C’est un moment de partage, essentiel pour des personnes isolées. » Si les bénévoles seront à nouveau aux fourneaux ce 31 décembre, pas question de se réunir dans la salle du centre. « Les personnes seront invitées à venir récupérer leurs repas avec des rotations précises pour éviter tout rassemblement. » Ce qui permettra tout de même des échanges. « Les réflexions sont en cours pour mener d’autres actions », jusqu’au déconfinement, avec toujours le délicat espoir qu’il n’y aura pas de troisième vague… Freyming-Merlebach : Presque comme de vrais geeks, les plus âgés apprennent à manier la tablette1/10/2020
Pour effectuer leurs démarches administratives, gérer leurs comptes bancaires, où simplement se divertir, les personnes âgées ont de plus en plus besoin de passer par le numérique. Une pratique qui ne va pas de soi. Déclarer ses impôts, consulter ses finances, localiser une adresse… Autant de choses compliquées voire impossibles aujourd’hui sans Internet. Si le numérique est désormais maîtrisé par beaucoup, il reste un mystère pour certains, en particulier les plus âgés. C’est pourquoi l’ASBH (Association d’action sociale et sportive du Bassin houiller) de La Chapelle à Freyming-Merlebach a mis en place des ateliers d’initiation à l’informatique, avec des tablettes comme support.
"Il faut aussi leur apprendre la pratique mais aussi la théorie : comment éviter les arnaques, ou encore choisir un bon mot de passe" Auriane Novat, référente famille La visée est avant tout utilitaire. « L’objectif est d’aider les plus âgés à se familiariser avec le numérique, qu’ils puissent être autonomes dans leurs démarches administratives », explique la référente famille Auriane Novat. La première session, répartie en douze séances de 1 h 30, a eu lieu en septembre. Deux autres suivront en octobre et novembre. Avec huit places chacune, celles-ci sont déjà complètes ! De l’administratif aux loisirs Chez les participants, tous ne sont pas de complets novices. Certains ont déjà une tablette, ou a minima un smartphone, même s’ils n’en connaissent pas tous les usages. « Je ne m’en sers que pour téléphoner et envoyer des messages », explique Astrid, habitante de Hombourg-Haut. « On nous a appris à utiliser un compte Ameli, à aller sur Wikipédia. Je ne connaissais pas trop, ça me sera sans doute utile pour faire des recherches. » "Je ne serai pas une vraie geek, mais je saurai me dépatouiller" Marie, en plein apprentissage de la tablette « Il n’y a pas que l’administratif, il y a aussi les loisirs, rappelle Auriane Novat. Que ce soit pour jouer, se cultiver, regarder des vidéos, lire des eBooks, consulter les informations. » Certains partaient de loin : « Pour ceux qui n’ont pas travaillé sur des machines à écrire, le clavier azerty c’est déjà compliqué pour eux. Et puis il faut aussi leur apprendre la pratique mais aussi la théorie : comment éviter les arnaques, ou encore choisir un bon mot de passe. » Des progrès visibles mais limités Si à l’issue de la session, les progrès sont visibles, les ambitions restent mesurées : « C’était surtout pour apprivoiser la ‘‘ Bête’’. De toute façon, on n’a plus trop le choix. Je ne serai pas une vraie geek, mais je saurai me dépatouiller », s’amuse Marie. « Je pense qu’il me faudra encore un peu d’aide. Mes neveux et nièces me seront utiles » ajoute Anne. Un sentiment globalement partagé chez la plupart des participants. Joachim, 76 ans au compteur, regrette lui aussi que la session se termine déjà : « Ce n’est pas suffisant, tout ne rentre pas comme ça, surtout à notre âge. » C’est pour cela que les nouveaux initiés repartent avec un petit livret récapitulatif, au cas où les réflexes disparaîtraient trop vite. Le centre social ASBH de Freyming-Merlebach et l’association Piou-piou, en partenariat avec le club Legioniarivs Team France, organiseront le dimanche 23 août une course d’orientation à destination des familles. Après deux mois de confinement et un déconfinement progressif, de nombreuses familles rêvent sans doute désormais d’activités en extérieur. C’est en tout cas le postulat du centre social ASBH de Freyming-Merlebach et de l’association Piou-piou. Cette dernière agit habituellement auprès des enfants malades , mais se diversifie aussi autour de l’été : « On crée beaucoup d’événements pour occuper les jeunes. Suite au confinement, il n’y a pas forcément beaucoup de choses à faire en ville, alors on a pensé à ce rallye du 23 août, pour re-sociabiliser tout le monde », explique Annette Sobieraj. Une course d’orientation L’idée est simple : rendez-vous à partir de 10 h au club Legios, partenaire de l’opération, rue du Soleil. Là, les participants se verront remettre une feuille de route avec huit à dix photos. Il leur faudra alors retrouver les endroits dans les rues environnantes où auront été pris ces clichés, et les reprendre à l’identique, avec leur téléphone par exemple. Le premier groupe à revenir avec les images reproduites gagnera une séance de sport gratuite en famille, proposée par le club freymingeois Legionarivs Team France. Mais les organisateurs l’assurent : tous les enfants gagneront quelque chose, quelle que soit leur performance. Pour Jennifer Beining, référente famille au centre social ASBH, « le but de ce rallye est d’une part de renforcer les relations entre parents et enfants. Et d’autre part de leur apprendre à développer l’orientation et l’observation ». Pas de difficulté majeure Les organisateurs espèrent la participation de 30 à 50 familles. En cas de succès, l’opération pourrait bien être reconduite à l’avenir. « On pourrait même la complexifier, ou bien l’étendre à d’autres secteurs », avance ainsi la toute nouvelle responsable du centre social, Sarah Halbeher. La difficulté ne devrait pas être trop élevée, et l’exercice faisable en une bonne heure. « Il faudra par exemple retrouver des parties spécifiques d’endroits assez connus ou visibles. Des choses à côté desquelles on passe sans y faire attention ». Penser cependant à prévoir eau et chapeaux avant de se lancer dans l’expédition ! > Le site internet de l'ASBH : https://www.asbh.fr/ev-freyming-merlebach.html partir de 10 h, ce dimanche matin, le club Legionarivs Sports Team de Forbach avait rouvert ses portes pour accueillir le rallye mis en place par le foyer ASBH de Freyming-Merlebach et l’association Piou-piou. Le principe pour les participants : retrouver, à l’aide d’une carte, les endroits où ont été prises huit photos et les reproduire.
Sur les trois familles arrivées le matin, aucune n’était originaire de Freyming. Mylène est venue avec son mari et ses deux enfants. Ces quatre Stiringeois ont vu là l’occasion de redécouvrir un peu la ville : « C’est le côté aventure qui nous a tentés, c’est sympa, ça nous fait une petite sortie. Et puis bon ça n’a pas l’air trop difficile » Une course d’orientation et d’observation Première étape : la rue du Dauphiné pour y saisir le kiosque qui trône sur la place. Puis le jardin municipal non loin, pour photographier la mare aux cygnes. Cette fois-ci, la photo est plus compliquée à imiter. Sur quelle rive prendre la photo ? À gauche du pont u plutôt à droite ? Finalement, les marcheurs du jour arrivent à un cliché plutôt satisfaisant. Direction ensuite l’hôtel de ville, la poste, l’espace Théodore-Gouvy, la maison de quartier, la résidence Soleil et finalement l’école Saint-Exupéry. Chaque enfant remportait un petit paquet surprise, tandis que la famille la plus rapide recevait une séance de sport gratuite au sein du Legionarivs Sports Team. « Il s’agit d’une séance d’initiation aux disciplines qu’on pratique ici, explique le président Alexandre Ariganello. Essentiellement de la MMA (arts martiaux mixtes), mais plutôt des bases de lutte pour les enfants qui eux sont trop jeunes pour ça. » Des participants peu nombreux mais satisfaitsCe sont finalement Baptiste et son papa, de Cocheren, qui ont réussi les premiers à finir l’épreuve. « C’était plutôt facile, assure le garçon du haut de ses huit ans. Il y a juste vers l’ensemble périscolaire où on a tourné un peu et on a trouvé par hasard ». « C’est le petit sportif de la famille, s’amuse son père. Il faudra peut-être songer à agrémenter le jeu de petites énigmes pour se creuser un peu les méninges… » Une suggestion bien notée par les organisateurs, confortés par la satisfaction des participants malgré la participation assez faible. « On attendait un peu plus, c’est sûr, mais on adaptera la communication la prochaine fois. On s’adressera aussi aux seniors, que le format peut intéresser, et plus seulement aux familles », songe Sarah Halbeher, responsable du centre social. Le défi devrait donc revenir un jour dans une seconde version améliorée. Après un barbecue en compagnie de parents et un spectacle de Guignol, les enfants du foyer du centre ASBH de Freyming-Merlebach naviguent de jeu en jeu. Tir à l’arc, pêche au canard, quilles, chamboule-tout et autres jeux de tir à la balle, en attendant le spectacle de magie et de clown… Une façon pour eux de fêter un été qui a comme partout été nettement perturbé par le Covid.
« On n’a qu’une petite trentaine de 3-14 ans, alors que d’habitude la jauge est plutôt à 50. Par ailleurs, le programme des activités a été modifié », explique la responsable du centre social Catherine d’Anico. Oubliées donc les sorties en lieu clos. Cette année, l’encadrement a privilégié les animations avec des intervenants, avec notamment une visite de policiers pour parler aux préados des dangers des réseaux sociaux, et au plus âgés de ceux des drogues. Les plus grands ont aussi reçu une formation au permis de conduire. La référente famille a également organisé avec l’office de tourisme des visites familiales sur des sites en extérieur comme la carrière Barrois. « C’était super car certains ont découvert un environnement proche qu’ils ne connaissaient pas du tout et qu’ils peuvent refaire. On a été très bien accompagnés ». Les réservations cette année se sont faites uniquement à la semaine. Les groupes, occupant chacun une salle pour limiter les désinfections, ont consacré leurs matinées à des révisions d’été, dans le cadre du dispositif national Vacances apprenantes. La saison estivale se terminera le 14 août pour le centre, qui est d’ailleurs toujours à la recherche d’une fanfare pour l’événement. Plus de photos en cliquant ici Georges Zielinger, président de l’association « Du Bonheur pour l’autre » a remis un chèque de 1 000 € aux jeunes du quartier, en présence d’Anne-Marie Parlagreco, vice-présidente de l’association, de Mme Boucheliga, adjointe en charge de la politique de la ville de Hombourg-Haut ainsi que de Jean-Marie Haas, conseiller municipal en charge de la politique de la ville de Freyming-Merlebach, Rocco Saccucci, directeur de l’ASBH et du commandant de police adjoint de Freyming-Merlebach. Ce don s’inscrit dans le projet mis en place dans le cadre de la politique de la ville à destination de 21 jeunes pour des formations : Prévention et secours civiques de niveau 1, permis de conduire et brevet de sécurité routière.
Des ateliers jeunes de trois semaines complètent ce projet d’insertion. Vingt élèves de l’école élémentaire La Chapelle de Freyming-Merlebach sont accueillis au centre social ASBH du quartier toute cette semaine pour travailler et s’amuser. Encadrés par deux enseignantes, ils sont pris en charge dans le cadre du dispositif "Vacances apprenantes". Des révisions et du soutien scolaire le matin, des activités ludiques l’après-midi : toute cette semaine, 20 élèves de l’école élémentaire La Chapelle de Freyming-Merlebach sont accueillis au centre social ASBH, dans le cadre du dispositif "Vacances apprenantes". Cela concerne des enfants du CP au CM2 qui peuvent rencontrer des difficultés ou qui ont "décroché" pendant le confinement avec l’école à distance.
« Il y a trois heures d’enseignement en matinée et des activités sportives ou culturelles après le déjeuner : la visite du Vieux Hombourg avec l’office de tourisme, une course d’orientation dans la carrière Barrois, une sortie au bowling, une autre au cinéma et enfin une dernière aux Jardins fruitiers d’Ars-Laquenexy », énumère David Delafuente, directeur de l’école. Deux enseignantes volontaires sont présentes pour encadrer les élèves. Un partenariat efficace Pour cette semaine de vacances apprenantes, l’école et le centre social ASBH travaillent main dans la main. « On craignait d’entrer en concurrence avec les activités des associations du quartier et le centre de loisirs », souligne David Delafuente. Un partenariat a donc été mis en place : les activités scolaires et ludiques pour l’Éducation nationale ; l’accueil de 7 h 30 à 9 h, pour le déjeuner et de 16 h à 18 h pour l’ASBH. « De cette manière, cette semaine est accessible à tout le monde, même si les parents travaillent », indique Catherine D’Amico, directrice du centre social. Ce partenariat n’est pas vraiment une nouveauté : l’école et l’ASBH de La Chapelle ont l’habitude de collaborer dans le cadre du Contrat local d’accompagnement à la scolarité tout au long de l’année. |
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Janvier 2021
L'ensemble des articles et photos sont tirés du site Républicain-Lorrain.fr
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