Lundi 7 juin à l’hôtel de ville de Stiring-Wendel, les associations Cléa (Collectif pour les loisirs, l’éducation et l’animation) et ASBH ont signé une convention avec la municipalité afin de formaliser les actions menées conjointement.
L’un des buts de cette convention est « d’assurer la transition entre le public enfant/préadolescent, dont s’occupe le Cléa, et le public adolescent à la charge de l’ASBH », indique Ousman N’Diaye, responsable de l’ASBH de Stiring-Wendel. Pour ce faire, un animateur travaillant pour les deux associations a été recruté et la référente famille de l’ASBH assurera des séances au Cléa. Mais ce n’est pas l’unique but de cette convention. Elle permettra aussi de créer une synergie pour mener différentes actions communes. Sont ainsi prévus des ateliers parents-enfants les jeudis matin hors vacances scolaires au Cléa ; des ateliers d’écriture et conception musicale assistée par ordinateur en direction des adolescents, selon un planning à préciser, au centre social du Habsterdick ; des séjours de vacances pour les enfants et adolescents à l’été 2022 pour une durée de 15 jours ; l’accueil des enfants du Vieux Stiring dans le cadre de Moselle Jeunesse en demi-journée, durant les périodes des vacances scolaires ; la création et animation d’une webradio avec un studio d’enregistrement en lien avec l’association Banlieus’arts. La Ville de Stiring-Wendel assurera l’interface logistique en mettant notamment à disposition les locaux. Des bénéficiaires de chantiers d’insertion à Stiring-Wendel ont porté plainte pour harcèlement moral au travail contre leur encadrant. Les témoignages évoquent « des propos sexistes, racistes, atteignant à la dignité… », surtout envers les femmes. L’employeur, l’ASBH, prend l’affaire au sérieux. L’encadrant est mis à pied. Quatre femmes, bénéficiaires de chantiers d’insertion de l’ASBH à Stiring-Wendel, ont porté plainte, au commissariat de Forbach, pour « harcèlement moral par propos ou comportements répétés ayant pour effet une dégradation des conditions de travail pouvant attenter aux droits, à la dignité, à la santé ou à l’avenir professionnel ».
Ces accusations visent un encadrant technique. A bout, ces femmes ont décidé de révéler l’ambiance délétère qui règne à l’atelier couture ou sur les chantiers d’entretien du cimetière et de la voirie à Stiring-Wendel depuis quelques mois. Elles ont alerté leur direction mais aussi le maire de Stiring-Wendel , qui les a reçues, et l’inspection du travail. En appui de leur déposition, elles ont produit des témoignages de collègues confirmant leur version. « Il nous dénigrait au quotidien » Les stagiaires des chantiers d’insertion de Stiring-Wendel évoquent « des propos sexistes, racistes, vulgaires, à caractère sexuel, portant atteinte à la dignité… » de la part de l’encadrant et tenus au quotidien. « Des bénéficiaires ont quitté les chantiers d’insertion à cause de ça, d’autres sont en arrêt maladie. Nous étions sans cesse rabaissées, humiliées. Le cadre révélait en public des aspects de la vie privée de certaines d’entre nous, pour s’en moquer. C’était devenu l’enfer. Un encadrant d’insertion doit nous aider à retrouver une situation dans la vie. Là, c’était le contraire, il nous dénigrait et nous enfonçait encore plus », raconte une des plaignantes. Un chantier nouveau chantier d'insertion sociale et professionnelle à pris place au sein de l'école Grossfeld à Stiring-Wendel avec pour but, la réhabilitation et la réutilisation des meubles et de l’électroménager. Le constat est que le manque de meubles et d’électroménager se faisait ressentir pour une tranche de la population locale. Afin de venir en aide à ces personnes, le chantier d’éco-solidarité récupère des meubles chez des particuliers ou des bailleurs sociaux, les stocke puis les transforme ou les restaure pour leur donner une seconde vie. Seules des personnes recommandées par un travailleur social ou un organisme spécialisé peuvent en bénéficier. Un meuble coûte 5 euros. Un lot coûte le double. " Ce n'est pas parce-que des personnes ont, à un moment donné, des difficultés sociales, qu'elles doivent forcément avoir des meubles en mauvaise qualité, des meubles qui ne sont pas beaux. Donc on a voulu garder cet aspect de dignité. On a voulu aussi ne pas fournir les meubles gratuitement en mettant des tarifs vraiment adaptés, j'allais dire presque symbolique, parce-que c'était important pour nous que les personnes achètent leurs meubles, choisissent leurs meubles, achètent leurs meubles. " En cette fin d’année difficile, l’ASBH de Stiring-Wendel a tenu à apporter son soutien aux plus démunis. 28 tirelires ont été confiées aux commerçants de la ville. Près de 400 € ont pu être récoltés afin d’acheter les ingrédients nécessaires à la confection de biscuits et l’achat de chocolats par l’équipe du centre social et des bénévoles.
Plus d’une centaine de sachets ont été remis à Philippe Halasz , responsable des Restos du Cœur de Stiring-Wendel, afin d’agrémenter les colis alimentaires de fin d’année. Il souligne « une plus grande mobilisation des particuliers cette année via divers dons (jouets, vêtements, etc.) ». Des sachets ont aussi été remis aux collègues du chantier d’insertion ASBH de Stiring-Wendel et aux mineurs non accompagnés pris en charge par l’association Moissons Nouvelles à Stiring-Wendel. L’équipe du centre social de Stiring-Wendel apportera les colis alimentaires à des personnes ne pouvant se déplacer en raison d’un handicap ou de difficultés de mobilité. Elle continue aussi d’effectuer des courses et assure une présence téléphonique pour les personnes les plus isolées, notamment orientées par le Centre communal d’action sociale au 03 87 87 57 37. Le CS Stiring a organisé, ce week-end des 10 et 11 octobre, le Vrai Foot Day afin de promouvoir les activités de foot-loisirs. Pratiquées dans la bonne humeur, ces activités sont également ouvertes à tous et permettent de garder la forme et de rompre la solitude. Ces samedi 10 et dimanche 11 octobre, le CS Stiring a organisé le Vrai Foot Day. Une initiative proposée par le magazine So Foot pour mettre en avant la bonne humeur et la convivialité du football amateur à travers toute la France.
L’ambition du CS Stiring est de faire découvrir le foot-loisir, des activités autour du foot conçues de manière ludique et non traumatique pour le corps. Elles peuvent donc être pratiquées par tous, même des personnes âgées ou celles ayant des problèmes de santé. Un bon remède « Notre souhait est d’attirer au club des personnes éloignées des pratiques sportives habituelles et leur faire prendre conscience que le sport est le meilleur remède pour prendre soin de soi et de sa santé », indique Sandra Brastenhoffer, éducatrice sportive. Il y a ainsi différentes activités autour du foot qui permettent de garder la forme. ➤ Le fit-foot : il allie le fitness et le foot et reprend les gestes de base du foot sur une musique rythmée. Cela permet de mettre l’ambiance pendant les séances. Ces séances sont actuellement en stand-by faute de salle. ➤ Le foot en marchant : comme son nom l’indique, il reprend les règles du foot, mais, sans courir. ➤ Le foot pétanque : le cochonnet est remplacé par un plot, les boules par un ballon de foot tiré au pied. Le but est d’arriver au plus près de la cible. Le traditionnel « Tu tires ou tu pointes » devient alors « Tu places ou tu déquilles ? » ➤ Le golf-foot : il reprend l’idée du golf. Bien entendu aucun trou n’est creusé dans le terrain. Il faut placer le ballon (toujours au pied) dans un cerceau. Le parcours est semé d’obstacles (haies, garde-corps, but, plots…) et ne se fait pas que sur du plat, il peut même commencer hors du terrain. Un lien social Si de prime abord ces façons détournées de faire du foot peuvent paraître simples, dans la pratique c’est autre chose. Ce qui donne lieu à de formidables moments de fous rires. Ces activités, en plus d’être un bon moyen de garder la forme, sont génératrices de lien social et rompent la solitude et l’isolement. Elles peuvent aussi se pratiquer avec peu de participants. Sandra Brastenhoffer aimerait aussi développer ces activités avec d’autres partenaires comme cela se fait déjà avec l’ASBH ou le Foyer Espoir. Info Foot-pétanque, foot en marchant et golf-foot les mercredis soir de 18h30 à 20h au stade de la Vieille Usine. Le club recrute aussi des joueurs U15 (nés en 2006-2007). Plus de renseignements auprès de Sandra Brastenhoffer : 06 33 62 04 99. facebook.com/csstiring1911 Mardi, à l’espace culturel des Anciennes Forges, le maire, Jean-Claude Holtz, avait invité les services de la ville et les partenaires de la municipalité ayant œuvré pendant le confinement. Deux raisons ont motivé cette réception : d’abord remercier ceux qui ont été présents aux côtés de la municipalité pendant le confinement ainsi qu’au début du déconfinement. ; ensuite, une remise de chèque à l’attention du centre communal d’action sociale (CCAS).
Le maire a rendu hommage à la police municipale, aux agents du CCAS, Monique Scarpino et Noémie Gamel, de l’état civil, des services techniques, de la voirie, du service population, le secrétariat, mais aussi les agents d‘entretien ainsi qu’à Angelo, le nouveau concierge de la mairie, présent tous les jours dans la maison commune, et Sébastien Korn et son aide précieuse dans la recherche de produits indispensables à la protection contre le Covid-19. Associations et bénévoles remerciés Hervé Grosius et Anthony Médas étaient aussi présents pour distribuer des colis aux plus démunis préparés par les Restos du Cœur ou les bénévoles de Solidarité les Stiringeois. Mais ils ont aussi fait les courses des plus fragiles. Le maire a aussi remercié l’ASBH, les Restos du Cœur et la Protection civile présente pour la distribution de masques. Il a rappelé que le « CCAS a connu une activité intense pendant cette période difficile, s’occupant des bénéficiaires habituels, mais aussi en octroyant plusieurs centaines de bons alimentaires, mais aussi plusieurs milliers d’euros en aide au paiement de loyers ou de factures d’énergie ». Précarité grandissante La crise a généré plusieurs nouveaux cas de précarité et des familles ayant perdu une partie de leurs revenus ont maintenant du mal à assumer leurs dépenses. Le maire, ses adjointes, adjoints, conseillères et conseillers, mais aussi un généreux donateur anonyme ont fait don d’un chèque de 4 800 € au CCAS. Ousman N’Diaye, responsable du Centre Social de l’ASBH et Thierry Piquard, président de l’Association culturelle et sportive, souhaitent mettre en place une section informatique partagée. Ils veulent ainsi mutualiser les compétences de chacun. Partageant une salle dédiée à l’informatique au centre social mise à disposition par la mairie, c’est quasi naturellement que Ousmane N’Diaye, responsable de l’ASBH et Thierry Piquard, président de l’ACS (Association Culturelle et Sportive) ont l’ambition de mener un projet.
Réduire les coûts Une section informatique partagée avec pour démarche de réduire la fracture numérique au sein de la population intercommunale. Dans cette démarche il y a aussi une volonté de réduire les coûts et de mutualiser les compétences de chacun. L’ACS a déjà fourni du matériel et l’ASBH fera bientôt l’acquisition de nouveaux ordinateurs. Ce projet commun aux deux associations est composé de trois ateliers à savoir : une aide aux démarches administratives, un apprentissage sur l’environnement informatique et un atelier d’apprentissage bureautique (Word et Excel). Si l’apprentissage sur l’environnement informatique et l’atelier d’apprentissage bureautique sont toujours à la recherche de bénévoles, celui de l’aide aux démarches administratives a trouvé le sien en la personne d’Habib Noura. Aide aux démarches administratives en ligne Ce jeune retraité de la SNCF au service administration aime partager ses compétences. Les démarches administratives se font aujourd’hui presque toutes en ligne. Mais l’outil informatique n’est pas forcément à la portée de tout le monde. Habib Noura accompagnera les moins aguerris et même ceux totalement perdus face aux technologies pour les aider dans les démarches telles que les cartes grises, les cartes d’identité, les passeports ou encore les billets de train. Il est présent au centre social les lundis de 14 h à 16 h et les jeudis de 9 h à 11 h. Pour bénéficier de son aide, il faut être à jour de sa cotisation au centre social. Pour tout renseignement supplémentaire ou si une personne est intéressée pour mener l’un des deux ateliers suivants : apprentissage sur l’environnement informatique et apprentissage bureautique (Word et Excel) contacter l’ASBH au 03 87 87 57 37 ou l’ACS via leur site web https://www.acs-stiring-wendel.fr/. L’ASBH doit renouveler son agrément pour 4 ans auprès de la Caisse d’allocations familiales. Des réunions de travail, mêlant habitants, élus, membres d’associations…, sont organisées afin de relever les forces et les faiblesses de la ville. Ils ont décidé de s’unir pour continuer à faire vivre l’ASBH de Stiring-Wendel. L’agrément de la structure devant être révisé tous les quatre ans, les divers intervenants travaillent ensemble afin de définir le nouveau projet.
Cette concertation est entrée dans une 2e phase. Habitants, élus, membres d’associations stiringeoises ont été réunis. Le but : travailler sur les actions à mener pour répondre aux manquements répertoriés lors d’une première réunion il y a quelques semaines. Un tour de table a permis à chacun de s’exprimer et d’apporter des propositions. ➤ Yves Ludwig. « Cette réunion aurait pu tourner au débat politique puisque les candidats pour les prochaines municipales étaient là. Mais tout le monde a joué le jeu et les échanges ont été constructifs. Il y a eu de nombreuses propositions et actions en direction des familles et des adolescents, ainsi que pour le fonctionnement des structures communes. Il faut concrétiser cela en projet social. » ➤ Noura Nadia, bénévole et partenaire du secteur famille. « Je regrette qu’il n’y ait pas plus de monde qui veuille s’investir à Stiring-Wendel. Il y a tant de choses à faire. Pour les jeunes, il n’y a rien. J’espère que ça fera changer les choses. Les gens ont du mal à venir et beaucoup ne se connaissent même pas le centre social. Certains prennent ça pour une garderie. Pour ma part, je me sens plus impliquée dans la vie de la ville. » ➤ Ousmane N’Diaye, Responsable du centre social de l’ASBH. « Je suis satisfait de l’adhésion de ce public, venu d’horizons différents, autour d’un projet commun. Beaucoup de matière a été produite, les participants se sont beaucoup investis. » Les problématiques retenues sont les carences éducatives, le manque d’action destinée aux ados ainsi que les manifestations festives fédérant tous les âges et toutes les populations. « Nous allons maintenant nous appuyer sur ces propositions pour décliner des axes de travail qui se transformeront en action. Le but est d’améliorer la qualité de vie des gens et résorber les carences éducatives. » La prochaine réunion est fixée au mardi 21 janvier 2020. Comme les précédentes, tout le monde est le bienvenu. Partenariat avec l'ACS Pour Thierry Picard, Président de l’ACS l’association a déjà pris les devants. « Comme l’ASBH, nous sommes là pour répondre au tissu associatif intercommunal. De ce fait, deux projets sont déjà nés d’un partenariat entre les deux associations. Nous proposons d’une part aux jeunes fréquentant l’ASBH de rejoindre la section adulte de running de l’ACS le vendredi soir pour du renforcement musculaire, puis après tous jouent au footsal. D’une autre part nous avons fourni le matériel informatique pour que l’ASBH puisse proposer un atelier d’aide aux démarches administratives. » La commission jeunes mise en place par l’ASBH et le conseil départemental permet aux ados de participer à la vie du centre social.
Plusieurs idées ont fusé lors de cette première rencontre entre les jeunes, les animateurs et Elona Lambiné, conseillère départementale jeunes. Des sorties, des activités sportives ou encore des travaux pour repeindre une pièce du centre social pour en faire leur lieu et se l’approprier ont été proposés. Transmission de valeurs Selon Djamel Guesmaia, animateur à l’ASBH, « au-delà de la simple activité, il y a toute une transmission de valeurs et de compétences. L’idée, c’est que les jeunes mènent leur projet de A à Z. S’organiser, prendre en compte les limites ou les contraintes. Qu’elles soient budgétaires, techniques ou humaines. Mais aussi les possibilités de les dépasser ou de réajuster les projets. Les conditions de réunion leur permettent de s’écouter, partager des opinions contraires, débattre et de créer de vrais projets collectifs où chacun peut s’impliquer ». Les jeunes sont motivés. Le défrichage des premières idées se concrétisera lors de prochaines réunions pour la réflexion et la mise en place des différents projets. Tous les quatre ans, l’ASBH doit renouveler son agrément auprès de la CAF. Pour l’écriture du nouveau projet, Ousman N’Diaye, le nouveau directeur du centre social de Stiring-Wendel, a voulu associer les différents partenaires dans un comité de pilotage. L’union fait la force. C’est pourquoi le nouveau directeur du centre social ASBH, Ousman N’Diaye a souhaité associer différents partenaires dans un comité de pilotage pour l’écriture d’un nouveau projet. Ce dernier entre dans le renouvellement d’agrément que doit obligatoirement faire l’ASBH, tous les quatre ans.
Travail en commun « Dans cette démarche, nous voulions surtout gagner la confiance de la population. Leur attribuer un rôle, les faire devenir acteurs. Qui mieux qu’eux peut préconiser des actions pour développer l’attractivité de la ville ? Ce travail en commun de personnes ne travaillant pas habituellement ensemble permet une transversalité des idées et des compétences de chacun et établit des échanges qui assurent une cohésion sociale. Cela permet aussi d’avoir un point de vue interne », insiste le responsable du centre social ASBH. Des habitants de Stiring ; les adjoints au maire, Yves Ludwig, Mireille Cinqualbre, Nicole Dahlem et Roger Bour ; le Cléa ; les Motards du Cœur et Olivier Gander, directeur de l’école du Bruch ont souhaité être présents. Par petits groupes de 3 ou 4, ils ont relevé ensemble les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces de la ville. Dialogue et échange « Le centre social doit être comme une maison, on doit s’y sentir chez soi. Instaurer une relation de confiance par le dialogue et l’échange. L’écoute et l’accueil doivent être les fondations de cette maison afin de pouvoir échanger, dialoguer autour des contraintes du territoire et planifier des actions qui répondent aux attentes de la population locale », explique Ousman N’Diaye. Pour Fatima, une habitante c’est une très bonne chose que d’avoir pu échanger avec les élus. « On sentait un réel échange de part et d’autre. Une envie de résoudre les problèmes. Il y a une possibilité de faire des actions avec la municipalité. On a le sentiment d’être autre chose que des spectateurs qui attendent que ça se passe. Les gens ne savent pas que ce genre de réunion existe et qu’ils peuvent aussi agir. Il faut aussi le faire comprendre aux ados. » Prochaine réunion : le 19 novembre Yves Ludwig, 1er adjoint au maire, a quant à lui été très surpris de la mise en avant des atouts de la ville de la part des habitants. « Nous avons pu relever que nous avions des écoles de qualité, de très bonnes infrastructures, un très bon commerce de proximité. » Cette première phase est la phase de diagnostic. La seconde phase sera celle de la préconisation. La prochaine réunion aura lieu le mardi 19 novembre prochain à partir de 17 h au centre social. Tous les Stiringeois, qu’ils soient simples habitants, membres d’associations, commerçants, artisans peu importe. Un format court (1h30) a été privilégié afin que tout puisse venir et faire part de ses idées. |
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