Vendredi matin, 2 000 élèves rassemblés au stade du Schlossberg ont couru pour ELA. Cette année toutes les écoles élémentaires de Forbach ont participé à cette course solidaire ainsi que l’IME de Guise. Une belle réussite. « J’ai atteint mon objectif, toutes les écoles de Forbach sont là cette année », se réjouit Anne-Marie Parlagreco, responsable du centre social ASBH du Bruch. Ce vendredi, 2 000 écoliers forbachois ont chaussé leurs baskets pour ELA. Dès 9 h, les enfants se sont retrouvés sur la piste d’athlétisme du stade du Schlossberg afin de courir pour l’Association européenne contre les leucodystrophies. Ludovic Guerriero, ex-footballeur professionnel, originaire de Forbach, parrain d’ELA est venu soutenir les jeunes sportifs.
« Aujourd’hui, c’est le grand cross avec toutes les classes élémentaires, du CP au CM2, la Providence comprise, ainsi que l’IME de Guise », détaille la responsable ASBH. Les enfants des maternelles suivront. « Ils feront leur petit cross le 28 mai autour du foyer du Bruch pour ce qui concerne les écoles du Bruch, Bellevue et Marienau, et le 6 juin au Schlossberg pour l’école du Centre et du Wiesberg. » Anne-Marie Parlagreco est vraiment enchantée de cette belle participation à l’édition 2019. « Quand j’ai lancé ce cross, il n’y avait que 130 enfants qui couraient autour du Mille club du Bruch, rappelle-t-elle. J’ai réussi mon pari en arrivant à mobiliser l’ensemble des établissements scolaires. Les écoles du Wiesberg et du Creutzberg qui n’étaient pas là l’an dernier sont cette fois venues. » « Un message de bienveillance »En décembre, Anne-Marie Parlagreco prendra sa retraite. Elle ne cache pas son émotion. « C’est mon dernier cross ELA mais la relève est déjà assurée avec ma remplaçante, Nadera Gardinal, avec qui je travaille en doublon jusqu’à mon départ. » Pour la responsable ASBH, ce rendez-vous est important. « Il fait partie de parcours citoyen des enfants. À l’âge adulte, j’espère qu’ils se souviendront tous qu’ils ont fait des tours de pistes pour soutenir les personnes handicapées. C’est important de leur envoyer de bons messages dès le plus jeune âge, comme faire preuve de bienveillance, et de leur apprendre à vivre ensemble. » Samuel Parfeniuk, 30 ans, présent tous les ans dans son fauteuil roulant au milieu des écoliers, est là pour rappeler combien il est nécessaire d’accepter les différences. Josette BRIOT Une quarantaine de personnes étaient réunies, ce mardi, à l’occasion de la journée de la non-violence éducative. Être parent, qu’est-ce que c’est ? Plusieurs professionnels apportaient des réponses, sous la houlette de Ouahiba Reggam, éducatrice membre de l’équipe de prévention spécialisée.Cliquer ici pour modifier. Pour la troisième année consécutive, l’équipe de prévention spécialisée proposait aux familles une action dans le cadre de la journée de la non-violence éducative. en partenariat avec le dispositif de réussite éducatif (DRE), les référents ASBH des quartiers et le point accueil écoute jeunes et parents (PAEJEP).
Une quarantaine de personnes est venue échanger sur la violence éducative soit la violence physique, mais surtout la violence verbale et relationnelle, plus discrète. Il peut s’agir de chantage, de brimades ou d’insultes. « Pour éviter ce comportement, il faut favoriser l’écoute de ses émotions et de celles de son enfant, explique Ouahiba Reggam, éducatrice spécialisée. Il n’y a pas de parent modèle, mais il est important de se remettre en question. Communiquer en permanenceLes parents ont pu échanger sur le sujet avec un psychologue qui a multiplié exemples et des conseils. « Un enfant qu’on va critiquer tous les jours a forcément un potentiel de confiance largement diminué arrivé à l’âge adulte. Même s’il se reconstruit, cela laissera toujours une trace. » Le fonctionnement du cerveau a d’ailleurs fait l’objet d’une présentation aux parents. Ouahiba Reggam complète : « Au quotidien, il faut avoir des réflexes. On privilégie la première personne du singulier à la seconde. C’est moins culpabilisant. » L’après-midi, un temps de partage en famille avec des séances de massage et de yoga était prévu. Des pirates de 6 à 12 ans ont envahi les abords du centre social du Wiesberg, à Forbach cet après-midi. Au menu : une chasse aux trésors gigantesque rassemblant des enfants des quartiers du Wiesberg, du Bruch et de Bellevue. La rencontre est assurée par l'ASBH, dans le cadre des animations estivales. Une fois par semaine, les animateurs et les enfants des trois quartiers de la ville se retrouvent pour un après-midi ludique. Une première qui sera certainement renouvelée à l'avenir.
Attention aux pirates ! Jeudi après-midi, les enfants du centre aéré ASBH du Wiesberg, du Bruch et de Bellevue ont participé à une chasse aux trésors aux abords du centre social du Wiesberg, à Forbach. Répartis en six groupes, les jeunes, âgés de 6 à 12 ans, ont testé différents ateliers. « Nous avons mélangé les enfants, afin qu’ils apprennent à se connaître. Et que les équipes apprennent à travailler ensemble. Une fois par semaine, les trois centres sont réunis dans un quartier différent. C’est une première, et on espère renouveler cette expérience le plus souvent possible ! », explique Cécile Masachs, la directrice ALSH du Wiesberg./Photo RL À l’occasion de la Coupe du monde en Russie, l’ASBH a organisé un tournoi intersites de football sur les terrains du Football-club de L’Hôptal. Plus de 100 jeunes venus de Cocheren, Creutzwald, Farébersviller, Freyming, Forbach, Hombourg – Haut et L’Hôpital se sont retrouvés tout au long de la journée pour un tournoi de football qui s’est déroulé sur les terra ins de L’Hôpital prêtés par le FC L’Hôpital et la municipalité à l’association. Les responsables de l’ASBH et 22 animateurs étaient présents pour encadrer et encourager les adolescents.
Durant les pauses, ces derniers ont fait découvrir d’autres sports à ces jeunes comme le volley, de badminton, de zumba, tennis ballon. Les deux vainqueurs pour les préadolescents ont été Farébersviller et Cocheren, pour les adolescents les vainqueurs sont Creutzwald et le Wiesberg de Forbach. Le trophée du fair-play (un ballon de foot) a été remporté par Access de Hombourg-Haut. Patricia Boeglen a remis les coupes aux vainqueurs. Après l’effort le réconfort, un barbecue a été offert aux jeunes et ensuite ils ont pu assister ensemble au club house à la demi-finale de la Coupe du monde Angleterre - Croatie, avant de rentrer chez eux. Le Républicain Lorrain : les événements de la semaine (coups de feu, interpellations, incarcérations) vous inquiètent-ils ?
Anna Giglia : Les coups de feu dans la rue, nous ne sommes pas habitués. Cela reste un événement isolé. Il y a de la petite délinquance mais ce n’est pas propre à Bellevue. Moi je ne me sens pas en insécurité dans ce quartier où je travaille quotidiennement. Maintenant, les difficultés sont réelles. Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est l’augmentation de la précarité, de la pauvreté. Aujourd’hui, on se rend compte que certaines familles n’ont même plus les ressources suffisantes pour offrir qu’une journée de loisirs à leurs enfants au centre social. Alors on use du système D. On fait des actions pour financer d’autres actions. Vous pensez que cette grande précarité est liée à la délinquance constatée ? Hélas, pauvreté et délinquance vont souvent de pair. Nous, nous tentons d’avoir une démarche éducative, de faire de la prévention. Mais il nous faudrait plus de moyens pour occuper les jeunes. Or, nos moyens baissent considérablement. Vous êtes pourtant dans un quartier dit prioritaire. Et vos subventions baissent ? Oui, c’est le grand paradoxe. C’est flagrant cette année. Nos subventions de la politique de la ville ont chuté de façon spectaculaire. Nous n’avons eu qu’1/5e de la somme octroyée l’an dernier. Pour l’instant, les collectivités locales, la municipalité, nous soutiennent, heureusement. Vous parvenez néanmoins à rester optimiste ? Oui. Nous essayons de positiver. On connaît de bons jeunes dans le quartier. Nous attendons beaucoup de la rénovation urbaine qui doit passer aussi par Bellevue. D’ailleurs, notre centre social doit déménager car nos locaux se dégradent beaucoup. Propos recueillis par Stéphane MAZZUCOTELLI Même si le temps n’était pas forcément de la partie, les habitants du quartier de Bellevue à Forbach ont eu plaisir à se retrouver ce dimanche après-midi lors de la traditionnelle fête de quartier. Balades à poneys et chevaux proposées par le centre équestre de Woustviller, structure gonflable, atelier de maquillage, ring de boxe du cercle pugilistique de Forbach et évidemment restauration, tout a été pensé afin que les riverains passent un moment convivial.
Organisée par l’ASBH de Bellevue ainsi que les conseils de quartier et citoyen, avec l’appui de la Ville, cette fête permet avant tout de faire sortir de chez eux les habitants de Bellevue. « Regardez ce monde. Vous voyez, malgré ce temps, les gens sont venus pour passer un bon moment. Il nous faut vraiment cette fête une fois par an, c’est indispensable », sourient Déborah Ehrlich et Magali Donisi, bénévoles. Anna Giglia, responsable du centre ASBH du quartier, est également de cet avis. Rien de tel qu’un bon moment partagé en commun. Elles sont le reflet du Wiesberg ou de Bellevue, leurs quartiers : elles y vivent et le font vivre. Jeudi matin, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, une dizaine de dames a été invitée à témoigner au centre social du Wiesberg. Une action menée en partenariat avec la régie de quartier, l’ASBH de Bellevue, la Ville de Forbach et le CIDFF (Centre d’informations sur les droits des femmes et de la famille) de Moselle-Est. « Ce tour de table est assuré par des femmes qui parlent de leur investissement quotidien. Les intervenantes, qui ont été invitées, sont des femmes que nous voyons quotidiennement », explique Stéphanie Bulzomi, coordinatrice pour la régie de quartier. Ces femmes fréquentent le centre social, appartiennent aux conseils citoyen ou de quartier… « On a besoin de vous pour faire vivre le quartier, et le centre-ville », exhorte une des intervenantes, en s’adressant au public. Les auditrices sont bien entendu reparties avec une rose rouge. Après la pause méridienne, un autre temps d’échanges était programmé. D’autres femmes ont été mises à l’honneur pour leurs parcours professionnels ou de vie. Dans la salle principale du centre social, un mur de paroles a été mis en place. Une manière de délier les langues, de soulever les difficultés mais aussi les réussites, et le temps d’une journée de redonner à la femme la place qu’elle mérite. V. PE. L’ASBH de Forbach Bellevue organise, ce samedi 17 février, un carnaval à la salle des fêtes de la rue Bauer.
Le tarif d’entrée est de 3 € par enfant, en prévente au centre social, situé 114, rue Henri-Kaufmann. 5 € le jour même, et gratuit pour les parents. Différentes animations pour les enfants auront lieu mais également un concours de déguisement, restauration et buvette sur place. Jeux de société à la médiathèque La médiathèque de Forbach, avec les bibliothécaires et les animateurs, organise sa quatrième édition d’« 1, 2, 3, jouez ! », après-midi autour des jeux de société, mercredi 28 février de 14 h à 18 h. En famille ou entre amis, vous découvrirez des jeux géants (Pylos, Quarto, etc.), des nouveautés (Photosynthesis, Number 9, etc.) et des jeux traditionnels, parfois revus et corrigés (Bazar Bizarre, Le tour du monde en 80 jours, Dobble). Du petit jeu d’ambiance aux grandes épopées stratégiques pour joueurs avertis en passant par des jeux familiaux capables de séduire petits et grands, il y en a désormais pour tous les goûts, tous les âges. Les bouts d’chou à partir de 5 ans, accompagnés bien sûr, y trouveront également leur bonheur. Entrée libre et gratuite. Renseignements tél. 03 87 84 61 90. Le centre social ASBH organise ce samedi 17 février à la salle des fêtes de Forbach de 14 h à 18, un carnaval des enfants. Entrée 3 € enfants en prévente et 5 € sur place et gratuit pour les parents. Animation pour les enfants, concours du plus joli déguisement, restauration sur place.
Pour tout renseignement, appeler au centre social de Bellevue au 03 87 88 59 35. Dans le cadre du Festival de la solidarité, douze enfants de l’école élémentaire de Bellevue ont confectionné des poupées frimousses. Une action de solidarité réalisée en partenariat avec l’Unicef. Les fonds seront reversés par l’ASBH à l’Unicef.
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