La façade du Cosec Nicolas-Untersteller avait grand besoin d’être rafraîchie. Cinq ados, qui font partie du programme Ateliers jeunes, s’en sont chargés. Ils ont ainsi pu mettre un pied dans le monde du travail et ont appris des notions comme le respect des horaires, des consignes, des adultes et d’eux-mêmes. Ils s’appellent Wissem, Maxime, Amin, Maël et Ilyes. Ces cinq ados font partie du programme Ateliers jeunes de Stiring-Wendel. A eux cinq, ils ont pris en charge la façade du Cosec Nicolas-Untersteller, qui avait bien besoin d’être rafraîchie.
« Pour ces travaux, ils se sont vus octroyer chacun une bourse de 70 € financée à 50 % par la Direction départementale de la cohésion sociale et 50 % par la ville , explique Mireille Cionqualbre, élu à l’environnement et au cadre de vue à Stiring-Wendel. Découvrir le monde du travail La municipalité a acheté le matériel nécessaire, fourni les encadrants techniques (Franco Medas, Giovanni Avanzato et Philipe Muller) et pris en charge une grande partie des repas tandis que Karima Ettayeby et Jamel Guesmia de l’ASBH se sont occupés de l’aspect pédagogique. Jamel Guestia, de l’ASBH, insiste : « Ce n’est pas l’argent qu’ils vont gagner le plus important. Ce projet a pour objectif de leur faire découvrir le monde du travail mais aussi ses différentes règles. Les jeunes sont rencontrés avec leurs parents pour les impliquer aussi dans la démarche. L’argent qu’ils gagnent doit obligatoirement faire partie d’un projet. Majoritairement, c’est payer une partie du permis de conduire ou alors payer une licence sportive ou une activité artistique. Nous les faisons aussi travailler sur l’équilibre alimentaire lors des repas ». Le programme des vacances Pendant la période du 15 juillet au 9 août de 18 h à 21 h, l’ASBH se mettra à l’heure de la plage puisque différentes activités seront proposées pour les 11-17 ans. Football Tennis Ballon du 15 au 19 juillet ; Volley foot du 22 au 26 juillet ; beach soccer, du 29 juillet au 2 août et tournoi du 5 au 9 août. Les vendredi un barbecue sera organisé pour tous les participants. Info et renseignements auprès de l’ASBH au 03 87 87 57 37. A la salle Rémy-Botz de Stiring-Wendel, jeudi dernier, parents et professionnels se sont rencontrés autour des bonnes pratiques éducatives. Des questions nutritionnelles et la relation aux écrans ont notamment fait l’objet de débats. Un forum concernant les bonnes pratiques éducatives s’est déroulé, à la salle Rémy Botz, jeudi dernier. Ce projet piloté par l’Action sociale et sportive du bassin houiller (ASBH), réunissait des parents, des acteurs de l’éducation et des professionnels. Deux thèmes ont été retenus : la nutrition et les écrans.
Un planning concerté« Pour déterminer les thèmes, nous avons dialogué avec les écoles, indique Jamel Guesmia de l’ASBH. D’autre part, nous avons sondé notre réseau de parents pour comprendre leurs pratiques et leurs besoins. » Catherine Lapp, diététicienne, collaboratrice du Réseau de santé de Moselle-Est (Résamest) et Frédéric Amella, professeur chargé de mission pour l’Éducation nationale et président du collectif pour les loisirs, l’éducation et l’animation (CLéA), étaient présents pour animer les échanges. Cet événement avait pour but de donner des pistes. En ce qui concerne la nutrition, Catherine Lapp a surtout mis l’accent sur l’importance du mimétisme de l’enfant. « Beaucoup de parents ne prennent pas de petit-déjeuner, indique Catherine Lapp. Or, ils doivent montrer l’exemple. Ils sont un maillon de la chaîne éducative. » Un petit-déjeuner équilibré se compose d’une boisson, d’un féculent, d’un produit laitier, d’un fruit et éventuellement d’un plaisir sucré. La gestion des écransQuant aux écrans, Frédéric Amella, a souligné l’importance d’apprendre les bonnes pratiques. « Lorsque vous apprenez à conduire, on ne se focalise pas sur les dangers qui peuvent survenir. On apprend les règles pour les éviter, illustre l’intervenant. Pour les écrans, c’est la même chose. Ils sont tout autour de nous. Il faut les appréhender correctement. » Frédéric Amella a également rappelé quelques règles. Avant l’âge de trois ans, les écrans sont prohibés. Avant l’âge de six ans, il faut éviter les consoles. Avant l’âge de neuf ans, l’enfant ne doit pas avoir accès à Internet. Enfin, il peut s’y rendre, mais accompagné, de 9 à 12 ans. Aussi, il ne doit pas y avoir d’écrans impliqués le matin, pendant les repas au coucher et dans la chambre. Aux commandes du FestivalActu dans les écoles, Frédéric Amella transmet aux enfants les bons comportements en matière d’écrans. Les films productions des élèves, réalisés cette année, seront d’ailleurs visibles les 6 et 7 juin prochains au cinéma le Paris de Forbach. Cinq jeunes de Stiring-Wendel ont travaillé durant ces vacances pour préparer le futur jardin pédagogique de l’école du Habsterdick. Ils ont aussi repeint les vestiaires du Cosec Untersteller et le mur de l’école verrerie-Sophie. Un atelier, encadré par l’ASBH, bien rempli. C’était pour eux une première expérience du monde du travail qui, hormis l’aspect technique, leur a aussi appris la ponctualité, le respect des consignes ou le travail en groupe. Encadrés par Franco Medas des ateliers municipaux et d’une équipe pédagogique de l’ASBH (Karima Ettayeby, Jamel Guesmia et Joradan Mayer), cinq jeunes ont travaillé d’arrache-pied pour préparer le futur jardin pédagogique de l’école du Habsterdick. Au menu : décaissement du terrain, bêchage et ajout de terre végétale), mais aussi à l’entretien de lieux collectifs puisqu’ils ont repeint les vestiaires du Cosec Untersteller qui avaient été tagués ainsi que le mur de l’école Verrerie-Sophie. Pour ces travaux, ils se sont vus octroyer chacun une bourse de 70 € financée à 50 % par la Direction départementale de la cohésion sociale et 50 % par la ville. La municipalité a acheté le matériel nécessaire, fournit l’encadrant technique et pris en charge une grande partie des repas tandis que l’ASBH s’est occupée de l’aspect pédagogique.
Pour financer un projet Jamel Guesmia de l’ASBH explique. « Avec cette bourse, le but n’est pas de gagner de l’argent mais avant tout de financer un projet, permettre au jeune de faire un pas en avant vers l’autonomie. Avant d’être sélectionné, son projet est étudié en amont avec sa famille afin de l’impliquer elle aussi. Cela peut être le financement d’une licence sportive ou d’une pratique culturelle. Pour quatre d’entre eux, il s’agissait de financer une partie du permis de conduire et pour un autre une partie du brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (BAFA). » Audrey Escoin, responsable de la bibliothèque municipale, a organisé la « semaine nationale de la marche et du vélo », opération proposée par l’Éducation Nationale.
Avec les autres membres de l’association Stiring Animations, elle s’est déplacée dans les écoles pour proposer trois ateliers aux classes de CM1 et CM2 et de la classe Ulis de l’école du Centre : un atelier piste cyclable (par l’ASBH et la Police municipale), un quiz vidéo sur la sécurité routière (par Stiring Animations) et une initiation aux premiers secours et au défibrillateur (par les sapeurs-pompiers). Le service technique de la ville a aussi participé à la manifestation en transportant le matériel d’une école à l’autre. Dix vélos et casques Pour sa troisième participation à l’événement, Stiring Animations a acquis dix vélos et casques. Une subvention de 500 € a été octroyée par le conseil départemental dans le cadre de son soutien en faveur de la sécurité routière, 200 € des assurances AXA Agence Greff et la ville a subventionné le reste. L’opération a eu un vif succès auprès des 250 jeunes qui ont obtenu l’Aper (Attestation de Première Éducation à la Route). L’initiation au défibrillateur les a grandement intéressés. Ils ont été rassurés quant à la conduite à avoir en cas d’incident, les numéros d’urgence à connaître et la Position latérale de Sécurité. Ils ont pu aussi combler leurs lacunes quant à la connaissance des panneaux de signalisation et des marquages au sol. Jordan Mayer est l’un des jeunes engagés dans le service civique volontaire auprès de l’ASBH. Il a toujours connu le centre social. Il y venait déjà lorsqu’il était gamin et a toujours souhaité travailler dans ce domaine. A 17 ans Jordan Mayer obtenait son BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) et plus tard le BPJEPS (Brevet professionnel de la jeunesse de l’éducation populaire du sport). C’est après l’obtention de ce diplôme qu’il décide d’effectuer son service civique, toujours dans le domaine du social et de l’animation.
La première phase de son service est de prendre contact avec le public et, conjointement avec les animateurs, élaborer des projets réunissant les deux publics cibles de l’ASBH les enfants de 11 à 18 ans et leurs parents. Ce qu’il aimerait c’est que puisse se concrétiser un séjour parents-enfants. « Dans un premier temps, il faut pouvoir toucher les jeunes. » Jordan s’est rendu compte que la majorité de ceux qui venaient à l’ASBH connaissaient l’association grâce à leurs parents. Cela s’est vérifié la seconde semaine des vacances d’hiver, où la majorité des jeunes venus s’inscrire étaient les enfants des parents qui fréquentent les café détente animés par Karima Ettayeby. Mais qu’en est-il des autres ? Difficile de toucher les jeunes « L’autre jour je parlais avec des ados au city stade, et j’ai très étonné de voir qu’ils ne connaissaient pas l’ASBH alors que le centre social se situe seulement à quelques mètres et qu’ils passent devant tous les jours. » Face à ce constat, il essaie de trouver un moyen d’attirer les jeunes vers l’ASBH. Il a déjà essayé de leur parler directement dans la rue ou par l’intermédiaire des réseaux sociaux, mais il n’y a eu aucun retour. Alors il va essayer de les atteindre via les collèges et les lycées. Et si cela ne marche toujours pas, il testera encore différentes approches pour trouver la meilleure. Pas de journée type Une autre contrainte subsiste aussi. En tant que volontaire au service civique il ne peut agir seul et doit toujours être accompagné un animateur. Ce qui n’est pas chose aisée puisqu’il doit effectuer 24 heures par semaines minimum et que les animateurs sont sur des contrats qui varient entre 12 et 24 heures par semaine. « Je n’ai pas de journée type, confie-t-il, et mes horaires sont variables. Mais c’est aussi ce que j’aime, aucun jour ne ressemble à un autre. » A la fin de son service civique il espère avoir pu concrétiser ses projets. L’ASBH a obtenu un agrément auprès de la Direction départementale pour accueillir de jeunes volontaires pour le service civique. Après un an d’un parcours du combattant administratif, l’ASBH a pu obtenir un agrément au titre de l’engagement au service civique.
Il prendra fin d’ici trois ans, en janvier 2021, et pourra être renouvelé. Cet agrément prend son sens dans le partage de valeurs entre le service civique et l’ASBH telles que : le renforcement du lien social et la transmission des valeurs républicaines. L’ASBH sera le support des volontaires mais n’interviendra pas dans leurs missions dans les cas d’intermédiations. Derrière ce terme quelque peu barbare se cache le détachement de missions auprès d’associations partenaires. Ces missions répondent à un besoin concret issu de différents diagnostics effectués au préalable. Le volontaire devra donc postuler à une mission spécifique. S’engager dans la société Le service civique ne requiert ni diplôme, ni compétence particulière si ce n’est de la motivation à s’engager dans la société. Pour que ce service civique se passe au mieux, chaque structure accompagnante a élaboré un livret d’accueil afin que chaque volontaire puisse découvrir ses valeurs et ses engagements. Durant les vacances scolaires, l’ASBH propose diverses activités sportives et culturelles. Il reste encore des places disponibles alors pour ceux qui seraient intéressés, nous rappelons le programme :
• Semaine du 17 au 21 juillet sur le thème "Sorties en ville"avec visites des villes (Saarebruck, Metz, Zweibrucken, Strasbourg et Nancy). • Semaine du 24 au 28 juillet sur le thème "équitation/baignade au lac avec un stage d’équitation (Saint-Avold) et sortie baignade. • Semaine du 31 juillet au 4 août sur le thème "Expressions" avec sortie aux jeux du grand combat et Europark. • Semaine du 7 au 11 août sur le thème "Autour de l’eau" avec sortie à Tepacap. Petite nouveauté cette année, des animations de rue auront lieu dans différents quartiers de la ville. Pour s’inscrire, se munir de la carte d’usager ASBH 2017, n° d’allocataire CAF, attestation d’assurance extrascolaire, carnet de santé de l’enfant, montant du quotient familial ou le cas échéant du dernier relevé d’imposition ou de non-imposition, bons Aides aux Temps Libres de la CAF. Renseignements et inscriptions au 03 87 87 57 37 ou au centre social du Habsterdick, rue Pierre-Curie. Le soleil n’a pas manqué le rendez-vous de Sport et culture en fête, organisé par l’ASBH en partenariat avec la ville et les clubs sportifs locaux. Cette fête intergénérationnelle bouclait un projet commun avec l’ASBH de Cocheren (danses et chorégraphies), initié par les jeunes des deux secteurs (Stiring et Cocheren) et financé en partie par le Conseil départemental et l’ouverture des Accueils de loisirs ASBH et de l’opération Moselle Jeunesse été 2017, sur la commune.
Cette manifestation avait également pour objectif de valoriser les jeunes talents engagés dans des actions ou des clubs locaux. Ainsi, une exposition au public a permis de montrer tout le travail réalisé par ces derniers. A partir de 15 h, plusieurs ateliers avaient été mis en place pour le plaisir des petits et grands. Le terrain avait été reconverti en terrain de sandball (proposé par le club de handball) et de beach soccer (proposé par le CS Stiring) ainsi que de beach wrestling (lutte sur sable proposé par le club ETL Espérance). Sur scène DJing, et démos de danse avec les troupes Arizona Dance de Sarre-Union, Fire Crew de Stiring (ASBH), Fugitifs Crew (ASBH), Zumab de Stiring (ASBH), Joker Pop, M’hamed Mam et le crew Être Humain de Metz et Funkmaz. Et pour terminer la fête en beauté, la soirée s’est achevée avec la projection d’un film en plein air. Kevin Schweitze, conseiller départemental jeunesse et membre de la commission jeunesse du centre social depuis trois ans, est venu parler des projets du Département ayant pour but de favoriser le dialogue avec les jeunes souhaitant développer leurs compétences et participer à la mise en œuvre de projets au niveau de la commune et du canton. Comme chaque année, le dispositif ateliers jeunes financé par la DDCS (Direction départementale de la cohésion sociale) et par la commune (matériel et encadrant technique) permet à des jeunes de 14 à 21 ans de se rendre utiles, d’avoir une première expérience du travail, mais aussi de toucher une bourse de 70 € à la fin de la semaine.
Lundi, cinq jeunes se sont attelés à effacer les graffitis aux abords de l’école du Habsterdick, Pour la partie technique, c’est Franco Medas, responsable des ateliers municipaux, qui est venu les guider. Puis les quatre jours suivants, ils repeindront la piste cyclable de l’école du Vieux-Stiring. Jamel Guesmia, animateur au centre social, explique : « Deux de ces cinq jeunes vont profiter de la bourse pour financer une partie de leur permis de conduire, et les trois autres pourront s’inscrire aux activités proposées par l’ASBH pendant l’été. Ces ateliers permettent aussi aux jeunes qui voudraient arrêter l’école de relativiser et de s’accrocher en cours. Mais cela fait naître aussi des vocations chez certains qui, par la pratique, trouvent la voie qu’ils veulent prendre professionnellement. » Rania et Wafa, ont découvert les ateliers jeunes par le biais d’une affiche à la salle omnisports alors qu’elles se rendaient à leur entraînement de handball. Se rendre utile« Cela nous permet de nous rendre utiles auprès des habitants de la ville, mais aussi de se rendre compte de la charge de travail que représente le nettoyage des dégradations commises par d’autres. De plus, on pourra financer une partie de notre permis de conduire avec la bourse reçue. Et puis, c’est toujours une expérience professionnelle en plus. » Mireille Cinqualbre, élue à l’environnement et au cadre de Vie nous précise que « la municipalité est toujours là pour accompagner et soutenir ces jeunes. Et puis ces ateliers les responsabilisent quant au respect des biens publics dont peuvent profiter leurs frères, sœurs, cousins, cousines ou amis. Ils seront fiers de dire que si la structure qu’ils utilisent est propre, c’est grâce à eux. » Le Cléa note une stabilisation de sa fréquentation pour 2016 et voit deux nouvelles actions se déployer. L’association CléA (collectif pour les loisirs, l’éducation et l’animation), a tenu son assemblée générale. Le président Frédéric Amella a ouvert la séance. La hausse de fréquentation de de 2015 s’est stabilisée en 2016. La volonté de couvrir tous les champs de l’éducation populaire et d’encourager l’échange, le partage, la collaboration reste l’engagement du CléA avec la consolidation du lien avec l’école, lien entamé en 2015.
Deux nouvelles actions : les "Foulées de Noël" et le "Festival du Film d’Actualité dans les Ecoles" se sont déployés en 2016. Ces nouvelles actions ont été l’occasion d’accueillir deux nouveaux responsables : Romain Biard et Pierre Oswald. En ce qui concerne l’Accueil de loisirs pendant les petites et grandes vacances scolaires, les séjour de vacances en été, l’accueil de loisirs mercredi et le périscolaire, les effectifs sont toujours au complet. Les actions vidéos Des actions vidéos ont été menées dans le cadre des accueils de loisirs, du séjour de vacances et de l’accueil périscolaire. Ainsi que dans le cadre de projets d’animation en direction de partenaires sollicitant le Cléa ou en partenariat avec d’autres structures. Plusieurs projets ont été conduits avec le lycée Cuvelette de Freyming-Merlebach et le lycée Hurlevent de Behren-lès-Forbach. Mais aussi avec l’accueil périscolaire ASBH de Forbach Bellevue et du Wiesberg. Cela a donné lieu à la réalisation de courts métrages avec les élèves et leurs professeurs. Le festival du film d’actualité dans les écoles a lieu tous les ans en juin. Ce festival a plusieurs ambitions : éduquer à l’image et aux médias, être à la croisée des chemins entre l’art visuel et la construction de la citoyenneté, etc. Le Cléa y a participé. Pour 2017 les efforts se sont portés sur le développement de ce festival, dans les domaines de la communication, de la relation aux médias, de la recherche de nouveaux partenaires, de l’accueil de nouvelles équipes de réalisation et d’une nouvelle offre de diffusion. Près de 400 DVD ont été réalisés et distribués à l’ensemble des participants, ces derniers ayant été fabriqués par l’association CléA de l’encodage jusqu’à l’impression de la jaquette en passant par la gravure… Les Foulées de Noël Après une année de suspension de la manifestation pour cause d’état d’urgence, l’édition 2016 était très attendue. C’est, au final plus de 500 participants qui se sont retrouvés au sein du marché de Noël de la place de Wendel, assurant une retombée pour toutes les associations présentes sur place. Développement web Le Cléa propose la création de site internet et de campagnes de communication utilisant les médias sociaux. Divers établissements scolaires du secondaire les ont sollicités, ainsi que le club de Triathlon de Forbach. Côté financier, le résultat de l’exercice 2016 est excédentaire, pour un montant de 17 269 €. « Ce résultat s’explique par une gestion au plus juste des ressources humaines et matérielles. 7 269 € seront imputés en report et 10 000 € en fond associatif », indique le président. Au comité, Laurent Houselle a été réélu et Geneviève Hammerschmidt ne souhaitant plus se représenter a été remplacée par Mireille Cinqualbre. |
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