Les vacances d’automne sont proches et le centre social ASBH du Maroc propose un accueil de loisirs sans hébergement à destination des jeunes de 3 à 13 ans pour la période du 19 au 23 octobre.
➤ Pour les 3 à 5 ans : le thème retenu est « La nature en automne » avec des activités manuelles et ludiques, des chants et des jeux. ➤ Pour les 6 à 13 ans : la semaine est placée sur le thème « L’automne et ses mystères », avec des activités ludiques et manuelles sur Halloween. Une sortie à la découverte du parc animalier de Sainte-Croix de Rhodes couronnera la semaine. Pour les inscriptions, s’adresser au centre social du Maroc au 9 rue de Bourgogne. Se munir de la notification Caf 2020, de l’attestation d’assurance et du carnet de santé de l’enfant. Il sera demandé un acompte de 50 % pour rendre l’inscription définitive. À noter qu’aucune inscription ne se fera par téléphone. Le CS Stiring a organisé, ce week-end des 10 et 11 octobre, le Vrai Foot Day afin de promouvoir les activités de foot-loisirs. Pratiquées dans la bonne humeur, ces activités sont également ouvertes à tous et permettent de garder la forme et de rompre la solitude. Ces samedi 10 et dimanche 11 octobre, le CS Stiring a organisé le Vrai Foot Day. Une initiative proposée par le magazine So Foot pour mettre en avant la bonne humeur et la convivialité du football amateur à travers toute la France.
L’ambition du CS Stiring est de faire découvrir le foot-loisir, des activités autour du foot conçues de manière ludique et non traumatique pour le corps. Elles peuvent donc être pratiquées par tous, même des personnes âgées ou celles ayant des problèmes de santé. Un bon remède « Notre souhait est d’attirer au club des personnes éloignées des pratiques sportives habituelles et leur faire prendre conscience que le sport est le meilleur remède pour prendre soin de soi et de sa santé », indique Sandra Brastenhoffer, éducatrice sportive. Il y a ainsi différentes activités autour du foot qui permettent de garder la forme. ➤ Le fit-foot : il allie le fitness et le foot et reprend les gestes de base du foot sur une musique rythmée. Cela permet de mettre l’ambiance pendant les séances. Ces séances sont actuellement en stand-by faute de salle. ➤ Le foot en marchant : comme son nom l’indique, il reprend les règles du foot, mais, sans courir. ➤ Le foot pétanque : le cochonnet est remplacé par un plot, les boules par un ballon de foot tiré au pied. Le but est d’arriver au plus près de la cible. Le traditionnel « Tu tires ou tu pointes » devient alors « Tu places ou tu déquilles ? » ➤ Le golf-foot : il reprend l’idée du golf. Bien entendu aucun trou n’est creusé dans le terrain. Il faut placer le ballon (toujours au pied) dans un cerceau. Le parcours est semé d’obstacles (haies, garde-corps, but, plots…) et ne se fait pas que sur du plat, il peut même commencer hors du terrain. Un lien social Si de prime abord ces façons détournées de faire du foot peuvent paraître simples, dans la pratique c’est autre chose. Ce qui donne lieu à de formidables moments de fous rires. Ces activités, en plus d’être un bon moyen de garder la forme, sont génératrices de lien social et rompent la solitude et l’isolement. Elles peuvent aussi se pratiquer avec peu de participants. Sandra Brastenhoffer aimerait aussi développer ces activités avec d’autres partenaires comme cela se fait déjà avec l’ASBH ou le Foyer Espoir. Info Foot-pétanque, foot en marchant et golf-foot les mercredis soir de 18h30 à 20h au stade de la Vieille Usine. Le club recrute aussi des joueurs U15 (nés en 2006-2007). Plus de renseignements auprès de Sandra Brastenhoffer : 06 33 62 04 99. facebook.com/csstiring1911 Schoeneck :Un accueil de loisirs sur le thème d’Halloween pour les vacances de la Toussaint14/10/2020
Les enfants seront accueillis au centre Prévert de Schoeneck du 19 au 23 octobre. La municipalité, en collaboration avec l’ASBH (association d’Action sociale et sportive du Bassin Houiller) , organise un accueil de loisirs sans hébergement : une semaine sur le thème d’Halloween, pour les enfants âgés de 3 à 12 ans.
Une sortie au parc animalier Sainte-Croix à Rhodes est notamment prévue. D’autres activités culinaires et manuelles, adorées par les petites mains, seront par ailleurs au programme pour préparer la fête d’Halloween à la fin de la semaine de vacances. Horaires et inscriptions L’accueil au centre aura lieu de 8 h à 18 h pour les enfants inscrits à la semaine avec repas. Pour les enfants inscrits sans le repas, l’accueil se fera de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h. Pour s’inscrire, rendez-vous le mercredi 14 octobre, de 9 h à 12 h, et le mercredi 21 octobre, de 14 h à 17 h, au périscolaire à l’école de la Forêt, 5 rue des Écoles à Schoeneck. L’inscription ne sera effectuée qu’avec le règlement de la semaine et aucune réservation ne sera prise au téléphone. Concernant les tarifs, se renseigner au périscolaire lors de l’inscription ou auprès de la directrice Mina Idazza au 07 75 11 21 14. Les équipes du centre social de Faulquemont retrouvent le sourire. Après la crise et les perturbations engendrées, la structure revient petit à petit à un fonctionnement presque normal. Et des travaux vont bientôt pouvoir débuter. Le centre social géré par l’ASBH a repris ses animations. Qu’il s’agisse d’activités physiques douces, de loisirs ou issues du secteur famille, des mesures sanitaires ont été mises en place pour garantir la protection des utilisateurs.
« Excepté le club de belote du jeudi, toutes les activités ont redémarré progressivement. Ce club, qui accueille un public fragile, devrait reprendre en janvier si le contexte sanitaire le permet », précise la directrice Marjorie Kobler. « Les associations utilisatrices du centre doivent suivre un protocole sanitaire spécifique, à savoir un nombre de personnes limité par salle, le maintien de la distanciation sociale, et désinfection des mains obligatoire à l’entrée et du matériel utilisé. En raison des conditions sanitaires, la bourse aux jouets et vêtements du 6 octobre est annulée. La sortie du 12 novembre pour assister au spectacle Vitaa et Slimane est quant à elle reportée. Enfin, la sortie marché de Noël est encore en discussion. » En juin 2019, la direction de B’Est signait une convention avec l’ASBH pour lui confier l’exploitation de ses jardins et vergers, situés à l’arrière du centre commercial. Sur ces parcelles, l’association d’action sociale a mené différents chantiers d’insertion. Pour les deux partenaires, le bilan est positif. « Ce n’est que le début d’une histoire, les deux premières années de notre partenariat laissent présager de beaux projets de développement », se félicite Barthélemy Jeanroch. En juin 2019, le directeur de B’Est a signé une convention avec l’Association d’action sociale et sportive du bassin houiller (ASBH) pour lui confier l’exploitation de ses jardins et vergers situés à l’arrière du centre commercial de Farébersviller. Avec pour objectif que l’association utilise ces lieux pour ses chantiers d’insertion.
« L’ASBH a depuis l’usufruit des 14 parcelles avec leurs abris de jardin et des vergers qui comptent plus d’une centaine d’arbres. Des pommiers, cerisiers, mirabelliers, poiriers », précise le dirigeant, rappelant qu’« on a sept hectares derrière notre site qui constitue un superbe corridor pour préserver la faune et la flore ». « Créer du lien social » Pour les deux partenaires, le bilan est totalement positif. « Le but était clair dès le départ. Nous voulions faire en sorte que ces jardins soient exploités tout en créant du lien social. L’ASBH a parfaitement répondu à nos attentes, indique Barthélemy Jeanroch. L’objectif de Codic en construisant ce centre ici n’était pas de créer un ovni au milieu de nulle part, mais de s’insérer dans le paysage et dans la vie locale, avec du soutien aux associations. Je suis satisfait de constater qu’avec l’ASBH nous sommes arrivés à monter un projet très humain. » « Pour nous, ces jardins représentent un magnifique support qui nous permet de travailler avec des personnes en insertion et de voir ce qu’elles sont capables de faire ou non, notamment avant d’entamer une formation », note Jean-Luc Staub, référant des chantiers de l’ASBH. « Un chantier d’insertion valorisant » « Cultiver ces parcelles, récolter le fruit de leur travail est extrêmement valorisant pour ces gens qui viennent jardiner avec un vrai plaisir, renchérit Stéphane Rey, encadrant technique du chantier. Cette année, nous avons accueilli ici une trentaine de femmes et d’hommes en insertion. Nous avons planté des légumes, dont 1 050 pieds de pommes de terre, 50 de tomates, des salades, des courgettes et la récolte a été bonne. » Avec les fruits des vergers, l’ASBH a fabriqué 1 000 pots de confiture, 200 conserves et plus de 500 litres de jus de pommes. « Nous avons également distribué une partie des fruits dans les hôtels sociaux de Forbach. » Pour valoriser toute cette dynamique, la direction de B’Est a proposé à l’association de confectionner des paniers gourmands avec ses produits made in Farébersviller. « On pourra les mettre en vente pour Noël dans le centre commercial. Nous y ajouterons le miel de nos ruches », annonce Barthélemy Jeanroch. Très active sur le terrain durant le confinement et durant les semaines qui ont suivi, l’ASBH avait décidé de repousser son assemblée générale, prévue initialement en juin. Elle a finalement eu lieu il y a quelques jours à Hombourg-Haut. Où il a surtout été question d’évolutions en interne. L’assemblée générale de l’ASBH (Association d’action sociale et sportive du bassin houiller) s’est tenue à l’espace de Wendel de Hombourg-Haut, là même où aurait dû se dérouler la clôture de son festival Migrations au printemps, stoppé en raison de la pandémie de Covid-19. Cette assemblée générale devait d’ailleurs se tenir en juin dernier, mais elle a été repoussée à cet automne. Une structure incontournable Si l’ASBH est restée très active sur le terrain durant le confinement et dans les semaines qui ont suivi , ce n’est pas de ces activités et missions dont il a été question lors de la réunion, suivie par 120 personnes. En effet, elle portait sur le bilan de l’année 2019. Pour évacuer le volet financier d’emblée, « il faut saluer la maîtrise de gestion, puisque nous sommes à l’équilibre depuis deux ans maintenant », souligne Rocco Saccucci, directeur de l’association. L’ASBH dispose d’un budget annuel de 11,5 millions d’euros, emploie quelque 180 personnes à temps plein ou temps partiel, et en a accompagné 320 autres en contrat d’insertion en 2019. La structure gère 15 centre sociaux dans le bassin houiller, a mené dix chantiers d’insertion l’an passé, et œuvre aussi dans les domaines de la petite enfance ou de la formation. Voilà pour les données chiffrées. Un chantier interne Mais lors de l’assemblée générale, il a surtout été question de réorganisation interne, enclenchée depuis quelques mois à l’ASBH. « Nous avons abandonné notre système de direction bicéphale et Rocco Saccucci est devenu directeur général. Dans le même temps, nous avons entamé un travail sur le fonctionnement et l’organisation de l’association. Pendant une quinzaine d’années, suite à une multitude de sollicitations, tous nos moyens ont été déployés sur le terrain, pour les usagers », indique Sébastien Goeury, président du conseil d’administration. Par contre, « les coulisses ont été un peu oubliées », admet-il. Des projets à foison Différents chantiers et réflexions ont donc été lancés, avec l’objectif d’améliorer les conditions de travail et de bien-être de salariés. Par exemple, « un audit interne a été effectué pour le service Animation ». Des évolutions sont ainsi en cours, « nous laisserons plus de latitudes aux directeurs et responsables de centre là où c’est possible », explique Sébastien Goeury. Outre ces changements interne, l’ASBH planche aussi sur différents projets : les chantiers d’insertion s’orientent vers de nouveaux métiers , un atelier de réparation de vélos est dans les cartons. Tout comme un atelier de récupération et de remise en état de mobilier et de petit électroménager pour des personnes dans le besoin, sur prescription d’un CCAS ou d’une assistante sociale. Enfin, l’ASBH a l’ambition, à plus long terme, de créer un pôle solidaire à l’ancienne école du Grossfeld à Stiring et de renforcer sa présence dans le secteur de la petite enfance. Comme beaucoup d’autres initiatives, le vestiaire solidaire mis en place au foyer du Bruch a connu un arrêt brutal avec le confinement. Un peu plus de six mois plus tard, le voici de nouveau ouvert. « C’est une action qui nous tient à cœur. La solidarité est l’une des neuf valeurs de l’ASBH, c’est vraiment un pilier de notre action », explique Nadera Gardinal.
« Un échange, une écoute » Suite à l’appel au don lancé il y a trois semaines, le foyer a refait le plein d’affaires. Des vêtements pour enfants notamment, mais aussi des couettes et quelques jouets. « On a souvent des femmes enceintes qui viennent nous voir, pour nous demander une poussette par exemple », raconte Nadera Gardinal. « On leur propose aussi du café, des brioches, c’est l’occasion d’un échange, d’une écoute. » Un rôle social confirmé par Fatiha, bénéficiaire régulière de ce vestiaire solidaire. « L’association nous aide financièrement, mais le vestiaire nous fait aussi sortir, voir du monde » Ces contacts lui ont beaucoup manqué pendant le confinement : « Je me sentais trop isolé, d’autant que je n’ai pas de jardin, pas de balcon. On est vraiment très heureuses que ça ait rouvert. » Les dépôts d’affaires peuvent se faire au foyer le mardi et le jeudi de 9 h à 17 h, et les récupérations le mardi de 13 h 30 à 18 h. Centre social ASBH, place des Bouleaux. Tél. 03 87 88 53 34. Freyming-Merlebach : Presque comme de vrais geeks, les plus âgés apprennent à manier la tablette1/10/2020
Pour effectuer leurs démarches administratives, gérer leurs comptes bancaires, où simplement se divertir, les personnes âgées ont de plus en plus besoin de passer par le numérique. Une pratique qui ne va pas de soi. Déclarer ses impôts, consulter ses finances, localiser une adresse… Autant de choses compliquées voire impossibles aujourd’hui sans Internet. Si le numérique est désormais maîtrisé par beaucoup, il reste un mystère pour certains, en particulier les plus âgés. C’est pourquoi l’ASBH (Association d’action sociale et sportive du Bassin houiller) de La Chapelle à Freyming-Merlebach a mis en place des ateliers d’initiation à l’informatique, avec des tablettes comme support.
"Il faut aussi leur apprendre la pratique mais aussi la théorie : comment éviter les arnaques, ou encore choisir un bon mot de passe" Auriane Novat, référente famille La visée est avant tout utilitaire. « L’objectif est d’aider les plus âgés à se familiariser avec le numérique, qu’ils puissent être autonomes dans leurs démarches administratives », explique la référente famille Auriane Novat. La première session, répartie en douze séances de 1 h 30, a eu lieu en septembre. Deux autres suivront en octobre et novembre. Avec huit places chacune, celles-ci sont déjà complètes ! De l’administratif aux loisirs Chez les participants, tous ne sont pas de complets novices. Certains ont déjà une tablette, ou a minima un smartphone, même s’ils n’en connaissent pas tous les usages. « Je ne m’en sers que pour téléphoner et envoyer des messages », explique Astrid, habitante de Hombourg-Haut. « On nous a appris à utiliser un compte Ameli, à aller sur Wikipédia. Je ne connaissais pas trop, ça me sera sans doute utile pour faire des recherches. » "Je ne serai pas une vraie geek, mais je saurai me dépatouiller" Marie, en plein apprentissage de la tablette « Il n’y a pas que l’administratif, il y a aussi les loisirs, rappelle Auriane Novat. Que ce soit pour jouer, se cultiver, regarder des vidéos, lire des eBooks, consulter les informations. » Certains partaient de loin : « Pour ceux qui n’ont pas travaillé sur des machines à écrire, le clavier azerty c’est déjà compliqué pour eux. Et puis il faut aussi leur apprendre la pratique mais aussi la théorie : comment éviter les arnaques, ou encore choisir un bon mot de passe. » Des progrès visibles mais limités Si à l’issue de la session, les progrès sont visibles, les ambitions restent mesurées : « C’était surtout pour apprivoiser la ‘‘ Bête’’. De toute façon, on n’a plus trop le choix. Je ne serai pas une vraie geek, mais je saurai me dépatouiller », s’amuse Marie. « Je pense qu’il me faudra encore un peu d’aide. Mes neveux et nièces me seront utiles » ajoute Anne. Un sentiment globalement partagé chez la plupart des participants. Joachim, 76 ans au compteur, regrette lui aussi que la session se termine déjà : « Ce n’est pas suffisant, tout ne rentre pas comme ça, surtout à notre âge. » C’est pour cela que les nouveaux initiés repartent avec un petit livret récapitulatif, au cas où les réflexes disparaîtraient trop vite. |
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