L’ASBH Chapelle de Freyming-Merlebach et Hombourg-Haut propose, ce samedi soir, un réveillon solidaire. Pour le préparer, six jeunes du quartier ont mis la main à la pâte, aidés de mamans-bénévoles. Les jeunes du quartier Chapelle ont beaucoup travaillé pour offrir ce réveillon solidaire aux habitants du quartier. Photo Philippe RIEDINGER Les demoiselles peaufinent le menu en cuisine. Les jeunes garçons s’occupent de disposer les assiettes et les couverts sur la table. À quelques heures du réveillon solidaire proposé par l’ASBH Chapelle, à Freyming-Merlebach, les adolescents du centre social s’activent. Le soir du 31, entre 110 et 120 convives passeront les dernières minutes de 2016 ensembles.
Un menu de fête pour 5 € « C’est la troisième fois que nous proposons ce repas , indique le directeur Lahcène Scherer. Chaque année, le succès est plus grand. Au départ, nous l’avons fait pour les personnes ayant de petits moyens mais très vite, les gens seuls ou isolés ont voulu nous rejoindre. Nous en sommes ravis. » Au menu du repas, des fruits de mer, un veau Marengo et des desserts. « Le prix fixé est de 5 € par personne , reprend Lahcène Scherer. Une somme symbolique et abordable. Nous avons la chance d’être financés en grande partie par les communes de Freyming-Merlebach et Hombourg-Haut. » Si ce repas est possible, c’est aussi grâce à l’implication des jeunes du centre social. « Toute cette semaine, nous avons organisé un chantier citoyen , complète le directeur. Six ados sont venus aider à la préparation des festivités le matin et ont effectué des sorties l’après-midi. » Une occupation qui a beaucoup plu à Inès, 13 ans et Laura, 14 ans. « On a beaucoup appris cette semaine. Dans la cuisine mais aussi pour la décoration. C’est agréable de savoir que nos plats vont être mangés par d’autres gens. Cela nous fait plaisir mais ça stresse aussi ! » Timothée, 11 ans, a également tiré profit de cette expérience. « J’ai passé toutes ces journées avec mes amis. En plus, c’est pour faire plaisir aux habitants du quartier. C’est vraiment bien. Il y a une bonne ambiance avec les jeunes et avec les mamans-bénévoles qui aident aussi. » Après le succès du repas de Noël solidaire qui a reçu 80 convives à la maison des associations, ce réveillon permettra à tout le monde de passer à 2017 dans la joie. Les enfants sont partis à la découverte des maisons illuminées de Cocheren et ont même pu déguster un bon chocolat chaud. Photo RL La nuit n'était pas un obstacle pour la jeunesse de Cocheren Photo RL Dans le cadre de l’activité périscolaire organisée sur la ville de Cocheren, les animateurs ont proposé différentes actions, en lien avec les fêtes de fin d’année, qui sont de vraies opportunités pour réunir petits et grands.
Ainsi, sous la houlette de Jarmila, la directrice, les parents ont été invités par les enfants à un goûter de Noël. Autour d’un café gâteau préparé par les enfants, plusieurs parents ont apprécié le moment convivial passé avec leur progéniture ainsi qu’avec les autres personnes présentes. Illuminations des maisons C’était une bienfaisante occasion de mieux se connaître. Toujours pour rester dans la féerie de Noël et du côté magique de cette célébration, les chérubins ont été invités par des riverains et par l’association AAACVBR (qui s’occupe des habitants du quartier Belle-Roche de Cocheren) à venir contempler les illuminations de maison et à partager un chocolat chaud et du pain d’épices, gracieusement offert par l’association à toutes les personnes présentes. Améliorer le quotidien « En ces temps difficiles pour la cohésion sociale et le vivre ensemble, apprendre à partager, inviter son voisin, se tourner vers l’autre, sont autant de petites choses qui permettent d’améliorer le quotidien de certains, d’éviter les ruptures avec d’autres, et d’espérer que 2017 soit une année placée sous le signe de la sérénité », formule Carlo D’Angelo, le responsable principal du centre Daniel-Balavoine. Cette activité est soutenue par la ville de Cocheren, la CAF de la Moselle l’ASBH et la DDCS de la Moselle. À l’école élémentaire de Bellevue, Antoinette Louyot et les animatrices de l’ASBH ont organisé une fête de Noël pour les enfants du périscolaire. Les enfants ont entonné des chansons de Noël en français et en allemand et ont également dansé avant de partager un goûter et d’être gâté par le père Noël avec de jolis cadeaux.
L’atelier cartes de Noël. Photo RL Dans le cadre des Noëls de Moselle, le conseil départemental a mis à disposition de la bibliothèque de L’Hôpital une exposition sur les Noëls à croquer. Les différentes traditions telles que saint Nicolas et sa gourmandise en pain d’épices y sont expliqués, ainsi que la maison en pain d’épices tirée du conte de Hansel et Gretel; l’histoire du bonhomme de pain d’épices; le rôle des épices; les spécialités de nos pays voisins, les Belges fabriquent des cougnolles, les Allemands des Weckemanns, les Luxembourgeois des Basamännechers qui sont des sortes de brioches, sans oublier les spécialités lorraines comme les spritzs, les mannalas, le pain d’épices de Sarreguemines et les petits fours à l’anis.
Une autre tradition y est révélée comme la bûche surprise qui est évidée puis on la remplit de gâteaux secs, de noix, de noisettes, de friandises puis on bouche les deux extrémités avec de la glaise et de la sciure et après la messe de minuit on l’ouvre et une fois vidée on la brûle dans l’âtre car elle fait figure de purification collective permettant de se débarrasser de toutes les injustices de l’année. Tous les mercredis des activités sont organisées à la bibliothèque. La semaine dernière était dédiée aux tout petits avec un atelier de lecture de contes, cette semaine place à l’ atelier de création des cartes de Noël et en partenariat avec l’ASBH un atelier biscuit. L’Association intercommunale de prévention spécialisée a rassemblé, jeudi à Freyming-Merlebach, une soixantaine de professionnels, qui travaillent avec les jeunes. Objectif : les former aux questions de citoyenneté et de laïcité. Une soixante de professionnels, qui travaillent avec des jeunes, ont participé à cette première journée de formation, organisée par l’AIPS. Photo Philippe RIEDINGER D ans la période actuelle, il est indispensable que les professionnels, qui sont en première ligne, puissent être formés et outillés sur les questions de valeurs républicaines et de laïcité », insiste Daniel Dose, le directeur de l’Association intercommunale de prévention spécialisée. L’AIPS, basée à Freyming-Merlebach, rayonne également sur les communes de Farébersviller, Hombourg-Haut et Théding.
L’association a rassemblé jeudi une soixantaine de professionnels, qui travaillent au contact des jeunes, à la Maison des associations (MDA) de Freyming-Merlebach. « Il s’agit d’animateurs de centres sociaux, d’éducateurs de prévention spécialisée, de personnes de l’Éducation nationale, d’élus locaux, d’agents de l’État… qui interviennent dans la Communauté de communes de Freyming-Merlebach. » La loi et la réalité Pour mettre sur pied cette première journée de formation, les organisateurs ont été aidés par la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de la Moselle. « Nous avons aussi été soutenus par des partenaires locaux, comme l’ASBH et Acces. » La matinée a été consacrée à la partie juridique avec l’intervention de Me Jean-Marc Dubois, du Barreau de Nancy. « Il est déjà intervenu dans ce type de rencontre. Me Dubois possède une vision plus large que celle du Barreau. Et il apporte des informations considérables en termes de droit français et européen. C’est une source sûre ! » Durant l’après-midi, les participants ont été répartis en quatre groupes, avec chacun une thématique différente : postures professionnelles, question alimentaire, signes religieux et pratique du culte, et mixité des usagers. « Cela va permettre de travailler sur des cas concrets. Pour tenter de trouver ensemble une réponse éducative », souligne Daniel Dose. Vivre ensemble Avec les fêtes de fin d’année, il peut arriver que certains jeunes refusent de participer aux festivités de Noël. Comment répondre à cela ? « C’est le vivre ensemble qui est mis à mal actuellement. Autrefois, lorsqu’il y avait encore une activité minière, c’était des périodes qui rassemblaient les gens. Quelle que soit leur religion, au fond ils étaient tous des Gueules noires. Jusque-là, c’était naturel. Des interrogations apparaissent à présent. Ça nous demande de mieux réfléchir », continue le directeur de l’AIPS. Il s’agit donc de s’adapter à cette nouvelle problématique, « de façon à ce que la cohésion sociale reste majoritaire sur des revendications qui peuvent être légitimes ». Cette journée s’inscrit dans un cycle de formations. La prochaine rencontre aura lieu au courant du premier trimestre 2017. « Nous aborderons la prévention de la rad icalisation, comment être vigilant et comment orienter si on est confronté à ce problème. Il s’agit surtout de prévention ! », insiste Daniel Dose. Aux participants ensuite de faire le relais dans les différentes structures, afin que naissent des échanges. « Et que les acteurs de terrain se saisissent de ces questions pour proposer des actions. » Après six mois d’ouverture dans un immeuble de la rue des Lièvres, quartier du Beerenberg à Freyming-Merlebach, la Boutique sans argent Troc’et SEL à vie affiche un beau succès. L’ASBH et Néolia veulent aller plus loin. La boutique sans argent reçoit prsè de 225 personnes par mois. Photo Philippe RIEDINGER Trois objets donnés gracieusement chaque semaine à tous ceux qui le souhaitent. Le concept de la Boutique sans argent mise en place par l’ASBH et le bailleur social Néolia est une grande première en Moselle-Est.
Un vrai lien social Après six mois d’activité dans l’un des collectifs de la rue des Lièvres au Beerenberg, le drôle de magasin affiche une belle fréquentation. « Entre les donateurs et les bénéficiaires, nous avons 225 personnes par mois qui passent par notre boutique , assure Elina Faubel, permanente de l’ASBH. Nous avons des gens du quartier, de la ville mais aussi de plus loin. Des Allemands font régulièrement le déplacement, tout comme des habitants de Metz. » Conçue comme un magasin classique, la boutique sert aussi de lien social. « C’était notre volonté , indique Jérôme Dal Borgo, directeur de la gestion locative de Néolia Lorraine. Ce partenariat avec l’ASBH, financé en grande partie par le fonds d’innovation sociale, devait permettre de rassembler les habitants. Qu’ils partagent leur quotidien. J’estime que c’est réussi. Je pense également que l’image du quartier a été modifiée par cette action. » Pour y être régulièrement, Elina Faubel témoigne de cette réussite. « Beaucoup viennent chez nous pour trouver des objets mais aussi pour boire un café et discuter. Ici, c’est devenu un lieu de vie et d’échange. Nous en sommes ravis. » Néolia et l’ASBH aimeraient dupliquer cette action dans d’autres quartiers. « Si nous trouvons des partenaires comme nous en avons eu à Freyming-Merlebach, nous le ferons », confirme Jérôme Dal Borgo. Échange de services Mais avant cela, les responsables de la Boutique sans argent comptent développer le principe de système d’échange local. « Il s’agit d’un troc de compétences entre personnes , indique Laura Piazza, responsable du centre social de Freyming-Merlebach. La boutique sert de plateforme pour mettre les gens en relation. Pour que les échanges soient équitables, nous avons une monnaie -le grain de Sel- qui correspond à une minute de temps passé à rendre service. » Par exemple, quelqu’un peut proposer un cours de repassage contre la taille d’une haie… Pour son bon fonctionnement, la boutique attend des dons. « Ce qui est le plus demandé, c’est l’électroménager , note Elina Faubel. Ainsi que les jouets pour enfants. Si c’est en bon état, nous le prenons ! » Dimanche, les enfants étaient à la fête avec une belle manifestation organisée par les parents d'élèves, l'atelier des artistes et l'ASBH. Photo RL Noël approche et les gens se rapprochent. Il suffisait, dimanche de pousser les portes de la salle socioculturelle pour s'en convaincre. Elle était bondée de parents et d'enfants. Cette fête avait été organisée par l'Association des parents d'élèves de l'école des Genêts, mais aussi par l'association L'atelier des artistes et l'ASBH, à travers les enfants du service périscolaire. Le matin, les écoliers ont joué des saynètes, accompagnées de chants et de récitations sur un podium aménagé en fond de salle, devant un auditoire de parents mais aussi de papys et mamies. Toute la journée avait également lieu un marché de Noël, bien fourni par les parents d'élèves et enfants du périscolaire. On y trouvait de tout pour les fêtes, des biscuits au objets décoratifs, mais pas pour longtemps. Car vers midi, les étals avaient déjà bien diminué. Après le repas pizzas, saint Nicolas est venu rendre visite et les jeunes élèves des maternelles et primaires l'ont accueilli en chansons.
Un peu plus tard après bien des jeux ce fut au tour de la chanteuse Tara Lawson de rendre hommage en chanson aux victimes des attentats sur une composition de John Lennon Imagine et un envol de lanterne en papier. A noter que les bénéfices récoltés durant cette fête seront reversés aux écoles de Ham et à l'ASBH qui gère le périscolaire. Les acheteurs ont trouvé leur bonheur ce dimanche au centre social grâce au marché aux puces organisé par l'ASBH. Photo RL L'ASBH centre social Saint-Exupéry a organisé un marché aux puces ce dimanche au centre social. Salima, animatrice et responsable de l'événement, avait le sourire: « J'avais donné rendez-vous aux 46 exposants pour 7 h et tous étaient présents avant l'heure. Il y avait même un véritable embouteillage devant l'entrée du parking! » Tout au long de la journée, les acheteurs ont défilé entre les allées. « Il y avait de nombreuses bonnes affaires à faire ce dimanche. L'occasion de trouver des cadeaux de Noël à tous petits prix. Les vêtements ont bien fonctionné.Visiteurs comme vendeurs sont satisfaits ».
La partie restauration était assurée par l'association GR de Far. Salima donne rendez-vous en début d'année pour cette fois-ci une bourse aux vêtements. Un nouveau succès en prévision. Soixante enfants venus de tous les quartiers de la ville de Forbach étaient réunis pour fêter Noël au foyer du Bruch. Photo RLRespect, partage et tradition. Tels étaient les maîtres-mots de la fête de Noël organisée au foyer Mille-Clubs du Bruch. Soixante enfants des écoles du Bruch, de Bellevue, du Creutzberg et de l’école du Centre ont redécouvert l’esprit de Noël. « Le but est, au-delà de la fête, de s’ouvrir aux autres, explique Anne-Marie Parlagreco, responsable ASBH du Bruch, quelle que soit sa culture, quelle que soit sa confession… » Avec un esprit non sectaire donc, qui implique aussi une ouverture vers les autres quartiers de la ville. A commencer par les voisins de Bellevue. « C’est la première fois que nous organisons ce type de manifestation en commun », confie Anne-Marie Parlagreco. Noël est, de plus, une période particulièrement propice pour promouvoir des valeurs chères aux organisateurs, telles que « l’égalité, la fraternité et la générosité ».
Les ateliers du père Noël Les deux animatrices, Tiffany pour le Bruch et Stéphanie pour Bellevue, ont organisé cette journée, multipliant les animations. Les enfants ont pu participer à six ateliers autour du thème de Noël. Ils ont créé leurs sapins, écrit leur lettre au père Noël, ou ont participé à un quiz… Pour clore la fête, inévitablement, le père Noël est venu distribuer à tous les enfants, sages, cadeaux et friandises. L’expérience a été un succès et le partenariat entre les centres du Bruch et de Bellevue devrait se prolonger. « Nous nous retrouverons dès le mois de janvier pour fêter l’Epiphanie », expliquent Tiffany et Stéphanie. Le Wiesberg souffre de la multiplication des dépôts sauvages d’ordures et objets encombrants. En 2017, à l’initiative du conseil de quartier, une journée de sensibilisation à l’environnement sera montée. Son slogan : Soyons EcoWies ! Le député-maire de Forbach a échangé avec des habitants de la cité du Wiesberg mais le public était peu nombreux. Photo RL Le conseil de quartier du Wiesberg tenait sa réunion plénière et publique ce samedi matin au centre social, devant une maigre assistance.
Le président Mohamed Ait Hsaine a d’emblée annoncé la création d’une journée citoyenne de la propreté et de l’environnement en 2017. Elle aura lieu un samedi ou un mercredi afin d’impliquer au maximum les familles. Le but est de sensibiliser la population de ce quartier classé en zone prioritaire au respect de l’environnement. « Les dépôts de détritus restent trop nombreux dans la cité. Notre conseil a mené une réflexion sur le thème de la propreté et nous avons eu l’idée de cette journée . Nous avons trouvé le slogan de cette fête. Ce sera : Soyons EcoWies », déclare le président. Jeu de piste et ateliers pratiquesLes panneaux en forme de fleurs géantes seront fabriqués. Ils diffuseront des messages louant la protection de la nature et des espaces publics ou des espaces verts du Wiesberg… en diverses langues : français, italien, arabe, slovène, espagnol… La journée prévoit un jeu de piste et des ateliers divers comme pour apprendre à mieux trier ses déchets ménagers. « Nous convierons différents organismes et collectivités : la Ville, l’agglomération, le Sydeme, l’ASBH, le collège et les lycées… », déclare Mohamed Ait Hsaine. Le pied des immeubles trop souvent souillésLe Wiesberg est régulièrement le théâtre de dépôts sauvages d’ordures ou d’objets en tout genre, y compris encombrants. Ces tas d’ordures au pied des immeubles flétrissent l’image de la cité. Laurent Kalinowski s’est montré enthousiaste face à la proposition de monter une journée de la propreté dans le quartier. Le député-maire de Forbach a d’ailleurs encore dû faire face à des questions sur la suppression du ramassage des objets encombrants lors de la réunion de ce samedi. Une habitante lui a demandé comment faire pour se débarrasser d’objets encombrants lorsqu’on ne dispose pas de véhicule pour se rendre en déchetterie. Le maire a promis que des solutions existent pour accompagner ceux qui ne disposent pas de tous les outils de la mobilité. Il a aussi rappelé qu’un médiateur de la vie locale était en cours de recrutement. « Ce sera notamment son rôle de renseigner sur ces problématiques », a répété le premier magistrat. Malika Larbi, conseillère déléguée au Wiesberg, s’est également déclarée à l’écoute de ces interrogations quotidiennes. Elle a signalé aux personnes présentes qu’elle tient permanence au centre social chaque lundi à partir de 16 h 30. |
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