Anne-Marie Parlagreco, responsable ASBH du foyer du Bruch, prendra sa retraite fin novembre. Elle sera remplacée à son poste par Nadera Gardinal. Depuis mi-avril, les deux femmes travaillent en binôme. Originaire de Creutzwald, Nadera Gardinal est arrivée mi-avril au Mille-Clubs du Bruch, à Forbach. Elle se prépare à prendre la suite d’Anne-Marie Parlagreco, responsable ASBH du foyer, qui part à la retraite fin novembre. Depuis plus de six mois, les deux femmes travaillent en tandem. Nadera Gardinal découvre le quartier, sa population, les familles qui fréquentent la structure, les différents partenaires de l’ASBH (Cada, Udaf). « Je n’avance pas toute seule. Il y a tout un travail d’équipe et on met des choses en place ensemble », insiste-t-elle.
Depuis 2009 à l’ASBH La nouvelle venue connaît déjà bien les rouages de l’ASBH. Éducatrice spécialisée diplômée, elle a d’abord travaillé à l’Éducation nationale avant d’intégrer, en 2009, les centres sociaux de Creutzwald. « J’y ai dirigé l’accueil collectif des mineurs. J’ai également développé le secteur familles. » L’animatrice a aussi coordonné tous les accueils périscolaires gérés par l’association lors de la mise en place des nouveaux rythmes scolaires. Nadera Gardinal : "J’ai toujours été attirée par ce que cette équipe faisait au Bruch." Deux femmes engagées « J’ai toujours été attirée par ce que cette équipe faisait au Bruch », remarque la Creutzwaloise, très admirative du parcours d’Anne-Marie Parlagreco. « C’est une femme très engagée, très investie dont je partage les valeurs humaines, commente-t-elle. Je suis vraiment très contente d’assurer sa relève. » Les deux femmes ont de nombreux points communs : l’altruisme mais aussi l’engagement citoyen, l’envie de se mettre au service des autres et de leur ville, le sens de l’accueil et le sourire. « Comme Anne-Marie, qui est élue à Forbach, je suis conseillère municipale chez moi à Creutzwald », précise Nadera Gardinal. Le passage de témoin se fait en douceur au sein du Mille-Clubs. « J’aimerais travailler sur les mêmes lignes que ma prédécesseur , indique la future responsable. Je souhaite partir des doléances des habitants du Bruch pour mettre en place de nouvelles actions. J’aimerais organiser des sorties familles, des fêtes de quartier. Créer du lien social. Pour moi, ce poste représente un beau challenge et j’aime relever les défis. » Une réunion visant à élaborer un projet d’éducation et de sensibilisation à la biodiversité s’est tenue au centre social ASBH du Maroc. Tout le monde est concerné par le développement durable, en tant que consommateur et citoyen, mais aussi en tant qu’habitant de la Terre. Le centre social ASBH a inscrit dans son projet social l’accompagnement des habitants du territoire dans une nécessaire transition écologique, économique et sociale. Marie-Rose Becker, responsable du centre social explique : « Il s’agit pour nous d’aider toutes les personnes à devenir actrices de leur avenir en adoptant des comportements individuels et collectifs responsables et citoyens. Pour ce faire, nous avons fait appel à l’association des Petits débrouillards, qui nous aidera à réaliser ce projet en pilotant les différentes phases ».
Une éducation indispensable Les problématiques liées au développement durable sont nombreuses et les thèmes qui en résultent se croisent et se complètent dans une approche transversale. L’éducation au développement durable et à l’écocitoyenneté est un outil indispensable pour accompagner le changement de nos comportements de façon durable. « Nous sommes tous acteurs dans nos pratiques quotidiennes, notre activité professionnelle à tous les âges de la vie. L’éducation à l’écocitoyenneté c’est donner à chacun les clés pour agir, en favorisant l’implication et la participation, par l’impulsion d’un dialogue territorial et de dynamiques locales. » Construire un jardin avec les habitants Levier essentiel de démultiplication des intentions, la formation doit privilégier une pédagogie de projet adaptée à chaque situation, faisant intervenir différentes approches et supports pour une vision globale. Il s’agira, dans une phase expérimentale, de construire un jardin avec les habitants et de travailler avec eux. La dernière semaine du centre de loisirs de l’ASBH centre social Saint-Exupéry a fait le bonheur des jeunes participants âgés de 3 à 11 ans. « Il y avait des animations pour toutes les tranches d’âge, précise Salima, responsable du secteur petite enfance. Il y avait un atelier cuisine avec des flamms et des compotes de pomme, diverses activités ludiques. La sortie de la semaine a eu lieu au centre de jeux Okidok de Metz. »
Les deux semaines de centre de loisirs ont fait le plein d’enfants pour des vacances où l’ennui n’avait pas de place. « Nous donnons rendez-vous aux enfants pour les mercredis récréatifs avec la formule à la carte, matin et/ou après-midi, avec ou sans repas. Cette formule plaît autant aux jeunes qu’aux parents pour sa flexibilité. » À l’occasion des vacances scolaires de la Toussaint, l’accueil de loisirs sans hébergement du centre social ASBH Les Peupliers a pris en charge 24 enfants.
La première semaine était réservée aux bambins de 6 à 12 ans, tandis que la seconde était dédiée aux 3 à 5 ans. Encadrés par Mélanie, Maryem, Jamel et Bano, sous la direction de Mina, les jeunes ont travaillé sur la fabrication de décors d’Halloween. Différents jeux concoctés par les animateurs ont ponctué leurs journées. Le plein d’aventures au parc d’attractions Une sortie à Fort Aventures, au sud de Nancy, leur aura permis de vivre des sensations fortes. Ce parc de loisirs pour petits et grands propose six espaces adaptés à tous les âges. Il y a les mythiques parcours acrobatiques sur les parois du fort mais également la possibilité de faire le plein de sensations en prenant de la hauteur. Ils y ont découvert ensuite en intérieur la Mission aventure ou encore la Crypte de Crapahute. Pour clore cette session, sorcières, fantômes, squelettes et araignées ont envahi le centre ce jeudi après-midi. Les enfants avaient en effet préparé ensemble un spectacle ouvert aux parents au cours duquel ils ont présenté un bal sur le thème d’Halloween, suivi d’un goûter. Le centre aéré de Faulquemont géré par l’ASBH a organisé un accueil de loisirs autour du célèbre plombier ludique, Mario Bros, des jeux vidéo des années 1980-1990 et du codage informatique. Les vacances ont été l’occasion pour l’équipe d’animation du centre de loisirs de Faulquemont de plonger les enfants dans l’univers des jeux vidéo des années 1980-1990 et de les initier au codage informatique.
Le centre a fait le plein « Nous avons fait le plein avec 40 enfants accueillis, ce qui nous a obligés à refuser plus d’une dizaine de demandes », relève l’équipe d’animation formée du directeur David Wolf et des animatrices Mélissa, Mary et Ilona. « La thématique permettant de varier les animations a beaucoup plu. Côté bricolage, nous avons invité les enfants à réaliser plusieurs objets : des plantes piranhas comme celles qui rentrent et sortent dans les tuyaux du jeu mythique, mais aussi une boîte mystère, symbole fort du jeu de Nintendo qui réserve des bonnes surprises et des œufs de Yoshi en pâte à sel », détaille Mélissa. « En parallèle, une animation retro gaming était proposée. Ici pas de Fortnite ou de Fifa, pas de Playstation ou de Xbox, seuls les jeux des consoles des années 1980 et 1990 ont régné en maître. Le séjour s’est poursuivi avec un grand jeu Mario basé sur le Jeu de l’oie comprenant 24 défis. » Les organisateurs se sont par ailleurs attachés les services de Nicolas, intervenant extérieur qui a initié les enfants au codage informatique et les a transformés en concepteurs de jeux vidéo. Une belle découverte pour les jeunes participants qui sont passés derrière l’écran pour s’immerger dans les coulisses de la fabrication d’un jeu vidéo ! Enfin, les enfants se sont rendus au Parc animalier de Sainte-Croix, à la rencontre des animaux vivant en semi-liberté. La municipalité, en collaboration avec l’ASBH, avait organisé un centre de vacances d’automne au Prévert, avec une quinzaine de petits Schœneckois.
Un joli programme sur le thème des Fables de La Fontaine avait été concocté par Mina, la directrice du centre. Les enfants ont pu assister à un spectacle tournant autour des fables, présenté par des intervenants dans la salle des fêtes à Morsbach. Dans la semaine, les pâtissiers en herbe ont pu créer leurs petits gâteaux. En groupe, ils se sont dégourdis activement à l’extérieur, en s’amusant, soleil aidant, aux jeux de poursuite et de rattrapage. Cinéma et Halloween en bonus La confection des masques et divers objets à colorier sur les personnages des fables ont été laissés aux choix des jeunes tandis qu’une sortie cinéma à Freyming-Merlebach, a permis aux plus petits d’assister à la projection du film Abominable. Vendredi, la journée a été consacrée à la fête d’Halloween, avec déguisement et goûter. De quoi terminer en joie cette semaine riche en amusements. La commission jeunes mise en place par l’ASBH et le conseil départemental permet aux ados de participer à la vie du centre social.
Plusieurs idées ont fusé lors de cette première rencontre entre les jeunes, les animateurs et Elona Lambiné, conseillère départementale jeunes. Des sorties, des activités sportives ou encore des travaux pour repeindre une pièce du centre social pour en faire leur lieu et se l’approprier ont été proposés. Transmission de valeurs Selon Djamel Guesmaia, animateur à l’ASBH, « au-delà de la simple activité, il y a toute une transmission de valeurs et de compétences. L’idée, c’est que les jeunes mènent leur projet de A à Z. S’organiser, prendre en compte les limites ou les contraintes. Qu’elles soient budgétaires, techniques ou humaines. Mais aussi les possibilités de les dépasser ou de réajuster les projets. Les conditions de réunion leur permettent de s’écouter, partager des opinions contraires, débattre et de créer de vrais projets collectifs où chacun peut s’impliquer ». Les jeunes sont motivés. Le défrichage des premières idées se concrétisera lors de prochaines réunions pour la réflexion et la mise en place des différents projets. Tous les quatre ans, l’ASBH doit renouveler son agrément auprès de la CAF. Pour l’écriture du nouveau projet, Ousman N’Diaye, le nouveau directeur du centre social de Stiring-Wendel, a voulu associer les différents partenaires dans un comité de pilotage. L’union fait la force. C’est pourquoi le nouveau directeur du centre social ASBH, Ousman N’Diaye a souhaité associer différents partenaires dans un comité de pilotage pour l’écriture d’un nouveau projet. Ce dernier entre dans le renouvellement d’agrément que doit obligatoirement faire l’ASBH, tous les quatre ans.
Travail en commun « Dans cette démarche, nous voulions surtout gagner la confiance de la population. Leur attribuer un rôle, les faire devenir acteurs. Qui mieux qu’eux peut préconiser des actions pour développer l’attractivité de la ville ? Ce travail en commun de personnes ne travaillant pas habituellement ensemble permet une transversalité des idées et des compétences de chacun et établit des échanges qui assurent une cohésion sociale. Cela permet aussi d’avoir un point de vue interne », insiste le responsable du centre social ASBH. Des habitants de Stiring ; les adjoints au maire, Yves Ludwig, Mireille Cinqualbre, Nicole Dahlem et Roger Bour ; le Cléa ; les Motards du Cœur et Olivier Gander, directeur de l’école du Bruch ont souhaité être présents. Par petits groupes de 3 ou 4, ils ont relevé ensemble les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces de la ville. Dialogue et échange « Le centre social doit être comme une maison, on doit s’y sentir chez soi. Instaurer une relation de confiance par le dialogue et l’échange. L’écoute et l’accueil doivent être les fondations de cette maison afin de pouvoir échanger, dialoguer autour des contraintes du territoire et planifier des actions qui répondent aux attentes de la population locale », explique Ousman N’Diaye. Pour Fatima, une habitante c’est une très bonne chose que d’avoir pu échanger avec les élus. « On sentait un réel échange de part et d’autre. Une envie de résoudre les problèmes. Il y a une possibilité de faire des actions avec la municipalité. On a le sentiment d’être autre chose que des spectateurs qui attendent que ça se passe. Les gens ne savent pas que ce genre de réunion existe et qu’ils peuvent aussi agir. Il faut aussi le faire comprendre aux ados. » Prochaine réunion : le 19 novembre Yves Ludwig, 1er adjoint au maire, a quant à lui été très surpris de la mise en avant des atouts de la ville de la part des habitants. « Nous avons pu relever que nous avions des écoles de qualité, de très bonnes infrastructures, un très bon commerce de proximité. » Cette première phase est la phase de diagnostic. La seconde phase sera celle de la préconisation. La prochaine réunion aura lieu le mardi 19 novembre prochain à partir de 17 h au centre social. Tous les Stiringeois, qu’ils soient simples habitants, membres d’associations, commerçants, artisans peu importe. Un format court (1h30) a été privilégié afin que tout puisse venir et faire part de ses idées. Devenus trop grands pour la seule permanence de la police municipale, les locaux situés à côté de la maison des associations, avenue Raymond-Poincaré, sont actuellement en transformation. Le centre social ASBH récupère de l’espace tandis que le bureau de la police est sécurisé. D’un côté, des bureaux de la permanence de la police municipale trop grands, de l’autre, un espace d’accueil du centre social ASBH trop petit. Depuis quelques jours, le 108 avenue Raymond-Poincaré, à Freyming-Merlebach est en chantier. Les travaux sont menés par la Ville pour un montant de 24 000 €. « Nous avons déménagé les effectifs de la police municipale dans de nouveaux locaux, sous l’école Pagnol, il y a deux ans, explique Bernard Pignon, premier adjoint. Nous avons laissé une permanence avenue Poincaré. Le centre social, mitoyen avec les locaux de la police, a demandé de pouvoir avoir un espace supplémentaire. »
Le secrétariat de la police sécurisé Les nouveaux locaux de la police seront constitués d’un bureau, un lieu de stockage et de sanitaires partagés avec les employés de l’ASBH. « Nous avons fait poser une fenêtre sur la façade pour sécuriser les lieux et pour que la secrétaire puisse aérer tout en laissant la porte d’entrée fermée, détaille Jacques Mog, technicien municipal. Une porte sécurisée va également être installée entre les deux structures. » Côté centre social-maison des associations, l’accueil se fera toujours sur le côté du bâtiment mais le bureau sera entièrement réaménagé, promettant un peu plus d’intimité et de fluidité. « Le directeur aura maintenant un bureau plus grand, reprend Bernard Pignon. Un second bureau sera réservé aux animateurs. Cette pièce n’existait pas avant. Nous réalisons le gros œuvre mais ce sera au centre social de gérer les finitions. » Des structures mieux identifiées De nouvelles enseignes viendront compléter le chantier. « Les deux structures souhaitaient une meilleure visibilité. Nous avons commandé le matériel nécessaire pour que le centre social, principalement, soit clairement identifié », note Jacques Mog. Les travaux doivent prendre fin dans le courant du mois de novembre. ASBH : c’est la fête au centre de loisirs
Pour les enfants de 3 à 11 ans, les vacances de la Toussaint sont à l’inverse de la météo : elles sont joyeuses et amusantes. Ils étaient 40 jeunes répartis en tranches d’âge à bénéficier de l’attention de la directrice du centre de loisirs des 3-11 ans, Salima, secondée par des animateurs dynamiques. Rendez-vous scientifique lors de cette première semaine : activités au choix, sorties (au Vaisseau de Strasbourg, étang de Diebling et Farschviller, piscine, bowling) mais aussi des jeux, expériences et bricolage. La seconde semaine surfe quant à elle sur le thème d’Halloween. Renseignement : 03 87 90 82 82. Photo RL |
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