Le centre de loisirs est un espace de socialisation et de vivre ensemble. Nous avons tenté de savoir sur quelles bases les équipes éducatives, en charge de l’accueil, avaient élaboré la programmation. Apprendre à respecter des règles de vie en collectivité, choisir de jouer en autonomie et de ne pas participer aux activités encadrées, donner son avis et proposer des activités, rencontrer d’autres enfants, tisser des liens de confiance avec les animateurs, sont autant de dimensions essentielles du centre de loisirs. Nous avons rencontré Nadia, responsable de l’accueil et Marie-Rose, responsable du centre social. Toutes deux nous ont permis de découvrir l’envers du décor dans la programmation pédagogique de l’hébergement de loisirs.
Selon Marie-Rose : « La gestion des temps libres s’inscrit dans une continuité éducative et se doit de contribuer par des apprentissages complémentaires à l’épanouissement de l’enfant ou du jeune accueilli. Un ensemble de valeurs partagées doivent être délivrées au jeune public, pour l’accompagner auprès de ses parents à devenir des êtres responsables et respectueux et pour qu’il contribue au mieux vivre ensemble à partir de relations riches d’échanges et d’expériences. Pour permettre ces apprentissages, les équipes éducatives préparent en amont de l’accueil un projet pédagogique qui part d’un constat visant à déterminer les besoins spécifiques des enfants accueillis. » Nadia, qui a travaillé sur le projet avec les animateurs, confie : « Nos jeunes ont des besoins spécifiques, ce qui nous incite à veiller à adapter les temps de vie et les temps d’activité. De 6 à 8 ans l’enfant s’affirme, éprouve un besoin de sécurité dans son environnement et a un imaginaire toujours en éveil. Il est important d’encourager son esprit créatif et son envie de découvertes. Il est donc important de privilégier autant les activités individuelles que collectives, permettant le rêve et l’évasion. De 9 à 12 ans l’enfant a besoin d’explications réelles des choses, de découverte et d’expérimentation. Il nous faudra donc favoriser l’imaginaire des enfants pour les ouvrir au monde, tout en leur proposant différentes activités physiques, leur permettant de se dépenser. Nous visons à ce que les enfants accueillis soient des acteurs de leur centre de loisirs et nous sommes à leur écoute pour réajuster le programme des activités si nécessaire. » Toutes les activités de la semaine auront été construites sur le thème « les mondes fantastiques ». Les activités de bricolage auront été l’occasion idéale pour développer et travailler la créativité des enfants. La semaine s’est conclue par une sortie au parc Walygator où les attendaient de nombreuses attractions et un spectacle de magie. Le célèbre illusionniste Tim Silver leur a fait profiter d’un spectacle de grandes illusions. Le centre de loisirs est un espace de socialisation et de vivre ensemble. Nous avons tenté de savoir sur quelles bases les équipes éducatives, en charge de l’accueil, avaient élaboré la programmation au centre social ASBH du Maroc, à Creutzwald Dans le cadre du Moselle Jeunesse, l’association du mini-modélisme club de Béning a accueilli des jeunes participants pour passer une merveilleuse journée riche en découvertes. Dès 10 h, les jeunes ont pu pratiquer l’activité sous les conseils avisés de Michel Lesniak, président de l’association.
Ils se sont amusés toute la journée sur le circuit et ont pu découvrir qu’au final, maîtriser la conduite de ces petits bolides sur une piste était une activité plutôt sportive où il faut rester très concentré. L’ASBH a mis en place l’opération Moselle Jeunesse pour les jeunes de 11 à 17 ans. Durant deux semaines, les participants ont pu profiter d’un programme d’activités sportives sur les installations sportives de la ville mais aussi des activités culturelles au centre social. À noter que Moselle Jeunesse s’achève cette semaine avec une ultime journée au centre social Saint-Exupéry agrémentée de diverses animations proposées par l’ensemble des associations participantes. Un final ludique et convivial qui permet à tous de se retrouver pour fêter le succès de cette édition estivale 2017. Les familles du quartier du Wiesberg se sont retrouvées autour d’un petit-déjeuner au centre social. L’occasion de partager un moment de d’échanges et de revoir les bonnes habitudes alimentaires. Du lait, des céréales, des fruits et du pain trônaient sur les tables du centre social du Wiesberg. À l’initiative de l’ASBH du quartier, un petit-déjeuner avait été organisé pour les enfants du centre de loisirs de l’été et leurs parents. « C’est pour marquer le coup , souligne Samera Tabet, responsable du secteur enfance. On clôture la session du centre aéré de juillet avant de débuter celui d’août en partageant un moment de convivialité entre familles du quartier. » 34 enfants de 6 à 13 ans et plusieurs parents avaient répondu à l’invitation.
Une manière aussi d’aborder les bases de l’équilibre alimentaire avec les enfants. « À travers ce repas, on leur apprend à bien manger car souvent ils ne pensent pas à prendre des fruits ou même des aliments salés comme du fromage. Et ensuite, ils peuvent inciter leurs parents à changer les habitudes et à se nourrir autrement. » Un questionnaire et des jeux Feryel, 13 ans, apprécie ce moment et connaît déjà toutes les principales familles d’aliments à prendre au petit-déjeuner. « J’ai pris des vitamines pour la journée avec des fruits, des céréales et un yaourt. D’habitude, je ne mange presque rien parce que j’ai pas le temps avec l’école. » Après le repas, un questionnaire sur la pyramide alimentaire et des jeux ont permis de faire participer adultes et enfants dans une bonne ambiance. « À travers ce repas, les enfants et les parents apprennent aussi à mieux se connaître , remarque Farah, un des animateurs. Les plus petits peuvent échanger avec les plus grands. C’est pour créer de la vie dans le quartier. » De l’animation au Wiesberg, il y en aura encore le mois prochain avec la fête de la rentrée le 26 août qui marquera la fin des centres aérés d’été. « Il y aura un grand repas, un spectacle et une exposition. Surtout, on va projeter sur les immeubles du quartier les différentes photos prises pendant ces vacances avec les enfants. » Le centre social Balavoine propose toute l’année, des événements permettant de rapprocher les habitants et les générations. C’est ainsi que vendredi 21 juillet, l’équipe de l’ASBH a invité les habitants et les bénévoles à la 3e édition locale de la fête des voisins. Prévue initialement début Juin, repoussée en raison des intempéries, la fête s’est jouée place Brassens, avec la présence de différentes animations coordonnées par Elina Faubel, référente familles du centre social. Car le but est bien que l’action soit mise en place par les habitants, parfois un petit coup de pouce pour s’organiser est nécessaire. Et ce fut une belle réussite puisqu’au moment clé, de nombreux habitants ont pris part à l’organisation : partage de denrées, tenue des barbecues, service, aide au montage et démontage, chacun a participé avec un grand plaisir à cette fête qui a rassemblé environ 150 personnes.
Initiation au graffiti, animation musicale par DJ Fonkmazz et Armand, un riverain du quartier, maquillage et personnalisation de t-shirts avec deux animatrices et une maman, et pour conclure l’intervention d’un conteur professionnel qui a proposé un spectacle autour des contes et légendes de Lorraine, juste après avoir travaillé la semaine avec les enfants du centre aéré. Ce genre d’événement est donc une véritable opportunité de se rencontrer à une époque où les a priori sont nombreux. Le responsable, M. D’Angelo souhaite rappeler que « chacun peut à son niveau, être acteur du vivre ensemble, et se donner les moyens de connaître l’autre, en dehors des messages orientés de la télé. Arrêtons un peu d’avoir peur et donnons-nous la peine d’aller vers l’autre, c’est peut-être là un début de solution aux maux d’aujourd’hui et à la montée de l’intolérance ». En tout cas, la fête des voisins de Cocheren, très multiculturelle, a été un bel exemple de cohésion sociale.. Le foyer du Bruch a organisé hier, pour son accueil de loisirs, un atelier d’éducation à la nature, à l’environnement et au développement durable. Il était animé par un intervenant spécialisé dans ses questions. Au centre de loisirs du Bruch, hier matin, c’était atelier découverte de la nature dans les sous-bois. « On a ramassé des feuilles et on a dû reconnaître les arbres , explique une des fillettes en montrant fièrement sa cueillette du jour scotchée sur du papier blanc.
24 enfants de 6 à 12 ans ont participé à cet atelier « sensibilisation à l’environnement », animé par Eric de l’association CPN (Connaître et Protéger la nature) Les Coquelicots, basée à Metz. « Nous faisons avec eux des activités naturalistes mais toujours sous forme de jeu pour les intéresser. » La matinée avait commencé par une danse de l’arbre, suivie d’une marche avec des miroirs sous le nez pour voir en hauteur. « C’est une démarche progressive. Ensuite, nous avons bandé les yeux des enfants et ils ont touché les écorces des arbres pour exprimer leur ressenti sur la matière, la forme. ». Un jeu de devinettes sur la faune des bois a achevé l’activité avec beaucoup d’enthousiasme. « C’est plus parlant de faire appel à des professionnels pour animer des ateliers sur la protection de l’environnement , remarque Tiffany Renaudet, responsable du centre aéré au Mille-Clubs du Bruch. Pour que les enfants soient réceptifs, il faut que cela reste ludique. » L’ASBH du Bruch a mis en place, pendant les vacances estivales, différents thèmes dont la sensibilisation à l’environnement. Ce mercredi, les enfants du centre aéré créeront aussi « des œuvres d’art avec des déchets » grâce à la participation du Sydème (Syndicat des Déchets Ménagers de Moselle-Est). Les inscriptions pour l’accueil de loisirs de l’été au Bruch restent possibles. Presque tout a changé cet été à l’occasion des cinq semaines de centre de loisirs organisées par l’ASBH centre social Saint-Exupéry. Si Salima reste en place en tant que responsable, de nouvelles animatrices, Naïma, Hinda, Johanna et Alexandra, sont à ses côtés pour gérer la quarantaine d’enfants de 3 à 11 ans.
Tous bénéficient ainsi d’un encadrement de qualité et profitent d’animations variées et ludiques. Autres nouveautés : « La formule à la carte fonctionne très bien et plaît aux parents », assure Salima. Elle précise : « D ésormais, il y a le choix entre la journée complète de 8 h à 18 h, ou la demi-journée, avec ou sans repas. » Un gymkana dans l’organisation que l’ASBH maîtrise. « Les mercredis récréatifs sont basés sur ce même système. » Le petit-déjeuner des jeunes participants est proposé façon self : « Nous sommes beaucoup sur l’autonomie des enfants. » Des animations variées Les animations sont variées voire innovantes : sorties au parc Cigoland et Sainte-Croix, des jeux, escapades au jardin pédagogique en partenariat avec la municipalité lorsque la météo le permet, du bricolage, etc. Quelques places sont encore disponibles pour les dernières semaines qui surferont respectivement sur les thèmes suivants : le sport, les dinosaures et la fête. Avec comme sorties : parc Pokeyland à Fey cette semaine, puis une sortie au parc Gondawna en Allemagne, et Wallygator pour la semaine du 7 au 11 août. « Nous avons souhaité innover avec des sorties jamais faites et nous avons même cette semaine un intervenant sportif qui nous propose au complexe Marcel-Cerdan des jeux méconnus comme du kinball, tchookball ou de l’ultimate », précise Salima. Pour le centre de loisirs : numéro allocataire, assurance, le bon d’aide au temps libre, le carnet de vaccination. Les périodes de vacances sont propices au développement d’actions spécifiques pour le centre social Balavoine. C’est ainsi que pour favoriser les départs en vacances, l’ASBH organise des ateliers jeunes, dispositif agréé par la DDCS de la Moselle, et qui permettent à des adolescents de travailler et de percevoir une bourse dédiée à la réalisation de leur projet.
A Cocheren, c’est ainsi sept jeunes, qui partiront à Perpignan durant 10 jours et qui ont ainsi pu travailler durant deux semaines, à l’amélioration du cadre de vie des riverains. La SNI Sainte-Barbe a ainsi confié aux jeunes la réfection d’une batterie de garages (enduit, apprêt, peinture) et LogiEst a proposé aux jeunes de rénover une entrée d’immeubles en y réalisant une fresque (avec l’aide d’un dessinateur). Durant la semaine, Coralie, une des jeunes filles du projet, s’est chargée de la couverture photo, en vue d’organiser un pot de clôture avec familles et partenaires, lors duquel chacun aura pu avoir une rétrospective en images des deux semaines de travaux. Les ados se sont également chargés de la confection d’un petit buffet et du barbecue. Les enfants du centre aéré ont pu aussi visiter la petite exposition et constater ce qu’on réalise les plus grands du centre social. Ces actions seront amenées à se renouveler, car elles sont un soutien dans la réalisation des projets de jeunes et leur permettent une première expérience du travail. Cette action bénéficie du soutien de la ville de Cocheren et de la CAF de la Moselle. Vingt-six enfants de trois à onze ans, accueillis par le centre de loisirs se sont rendus à la caserne des sapeurs pompiers.Ils étaient accompagnés de cinq encadrants pour cette visite qui les a passionnés. Les enfants de 3 à 11 ans du centre de loisirs de l’ASBH sont allés visiter la caserne des pompiers. Le sergent-chef Becker et un autre pompier étaient là pour leur expliquer le métier de pompier et leur présenter le matériel utilisé dans le cadre des différentes interventions.
La visite a débuté par la salle de radio où les enfants ont essayé de deviner pourquoi les pompiers étaient appelés : pour un incendie, une inondation, un accident… pour aller chercher un chat dans un arbre. Après quoi, ils sont allés voir les vestiaires où se changent les personnes avant d’aller en intervention. Quand le sergent-chef leur a demandé qui voulait être pompier, une dizaine de doigts se sont levés. Il leur a alors expliqué qu’ils pourraient rejoindre les JSP (Jeunes sapeurs pompiers) dès l’âge de 12 ans et qu’après quatre ans de formations – il y a un examen au bout de chaque année –, ils seraient susceptibles d’intégrer les pompiers volontaires et d’aller en intervention dans le camion. La deuxième solution étant d’attendre 16 ans et de faire un an de formation pour devenir un soldat du feu. On peut d’ailleurs choisir d’être pompier professionnel, volontaire ou pompier militaire comme ceux de Paris ou de Marseille (marin pompier). Les enfants testent le matériel Avant l’essai du casque, les pompiers ont servi de l’eau aux enfants en attirant leur attention sur les risques de déshydratation et en leur expliquant qu’il faut boire un peu tout le temps par ces chaleurs. Après quoi, en rang deux par deux, ils ont essayé les casques à visière. Puis ils ont ouvert le camion d’intervention et ont détaillé l’utilisation des lances et des pompes. Les spécialistes ont aussi précisé comment éteindre différents types de feux. Par exemple, il faut utiliser de la mousse pour les feux d’essence. Ils leur ont expliqué que le camion ne contient que 3 000 litres d’eau et que les lances déversent 500 litres par minutes d’où la nécessité de se raccorder aux poteaux d’incendies répartis dans la commune. Ils ont attiré l’attention des bambins sur la sécurité, leur ont révélé comment la mousse est fabriquée et que le camion a 600 mètres de tuyaux pour pouvoir se raccorder partout. Ils leur ont montré les extincteurs à poudre pour des feux dus au gaz et au CO2 pour les feux d’origine électrique. Les enfants se sont montrés très intéressés par les explications concernant les feux, mais là où ils ont été le plus impressionnés, c’est lorsque le pompier a mis le masque et la bouteille d’air comprimé qu’ils ont pour les interventions car dès qu’il y a le moindre risque pour la santé, il faut s’isoler de l’air toxique que dégagent les matériaux en se consumant. Après la pause goûter, les bambins ont pu s’essayer à la lance, en visant un plot, pour leur plus grand plaisir. Le centre aéré sans hébergement a débuté pour les enfants ce lundi au Prévert à Schœneck.
En collaboration avec la municipalité, c’est l’ASBH qui gère ce centre de loisirs. Mina, la directrice et ses deux accompagnatrices, comptent cette semaine quatorze enfants inscrits pour la semaine. Ce sont elles qui organisent les divers ateliers de bricolages et de peintures. Apprennent aux enfants de nouveaux chants et des danses. Font découvrir aux jeunes vacanciers des jeux avec des classements souvent calculés pour motiver les groupes. En gros, un programme bien chargé, bien réparti sur un véritable emploi du temps. Ce mercredi, Edith Reichert, adjointe au maire de la commune s’est rendue sur place pour constater le bon déroulement des activités au centre Prévert. Le "Grand Jeu" organisé par Mina, était parmi d’autres, l’occasion pour la représentante de la municipalité de découvrir, les moyens nécessaires mis à disposition des enfants et des responsables. Le soleil étant au rendez-vous, ce jeu de piste chronométré, organisé à l’extérieur avait pour but de retrouver rapidement divers objets dissimulés un peu partout dans la nature dans l’enceinte du centre Prévert. Il était suivi par des jeux d’adresse individuels. Un intervenant nature viendra à la rencontre des enfants pour raconter des histoires captivantes sur les animaux de nos forêts. Il leur fera découvrir des plantes, des feuillages et des arbres qui poussent près de chez nous, des sujets qui seront ultérieurement repris pour réaliser des dessins. Chaque semaine, une grande excursion est programmée. Ainsi ce jeudi, la sortie est prévue au parc Walligator. Les inscriptions au centre se font en fin de semaine, elles restent possibles encore en début de matinée, mais toujours pour la semaine entière. En juillet 2016, le centre social ASBH a créé, avec le soutient de Néolia Lorraine, la Boutique sans argent au cœur du quartier du Beerenberg.
Le concept est simple mais efficace. Les gens déposent des objets en bon état au lieu de les jeter et d’autres personnes, suite à leur inscription à l’association, peuvent venir les récupérer. La boutique est ouverte à tous sans condition de revenus. Sont but principal est d’offrir une seconde vie aux objets en bon état de marche. Et le bilan de cette première année est plus que satisfaisant avec 1922 personnes qui ont franchi le pas de la porte de l’appartement la boutique, située 7/5 rue des Lièvres à Freyming-Merlebach. Les premiers mois, les chineurs venaient principalement de la ville et des communes voisines. Maintenant, en plus de venir de toute la Moselle, certains viennent même de Sarrebruck. Partage de savoir-faire Cindy s’occupe de l’accueil. Les horaires d’ouverture sont les suivants : lundi de 9 h à 11 h, mercredi de 14 h à 17 h, jeudi de 16 h à 19 h et vendredi de 10 h à 12 h. Pour plus de renseignements vous pouvez contacter le 03 87 00 22 68. L’association se développe avec la mise en place du SEL (système d’échange local). La mise en place de ce service supplémentaire permet de mettre en contact des particuliers prêts à partager leur savoir-faire contre un autre. Par exemple, proposer de tondre la pelouse contre du repassage. Un vrai système d’entraide "donnant-donnant". Chaque minute passée à rendre un service fait gagner un grain de sel que l’on peut ensuite dépenser pour obtenir l’aide de quelqu’un. Le SEL est disponible pendant l’ouverture de la boutique aux habitants de Freyming-Merlebach. |
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