Toute cette semaine, des adolescents fabriquent des caisses à savon au centre social Saint-Exupéry de Farébersviller. Objectif pour ces bricoleurs en herbe : participer à la course prévue le 23 juin dans la cité. Scier, découper, dévisser, percer, revisser, fixer… Toute cette semaine, une dizaine d’adolescents jouent aux apprentis bricoleurs au sous-sol du centre social Saint-Exupéry de Farébersviller. Dans une petite pièce, l’atelier de fabrication de caisses à savon bat son plein. Les jeunes font preuve de créativité et d’ingéniosité pour donner vie à leurs petits bolides.
Opération recyclage Toute cette semaine, ils sont encadrés par quatre adultes : Patrick Luczak, Michel Lesniak, Richard et Cédric Perlinski. Des bricoleurs chevronnés qui transmettent leur passion, et leur goût de la "débrouille". « On part uniquement d’objets recyclés. Les seules choses que l’on a achetées, ce sont des fers plats ou de la boulonnerie. On a des vieux vélos ou des poussettes, et on a récupéré les freins, les roues… », explique Cédric Perlinski. Avant de s’armer d’outils, les adolescents ont imaginé leur modèle. « Ce qui pourrait les empêcher de construire leur caisse à savon, c’est le manque d’idées. Mais ils en ont plein », ajoute Cédric Perlinski. Illustration avec Louis et Tom. « On avait un fauteuil roulant. On a retiré les roues, prolongé le châssis, et remis les roues. On va encore rajouter des barres de renfort », explique Louis. Autre exemple avec Sofia et Khaylia, qui ont une palette en bois comme base de travail. « On a récupéré des roues de poussette, on va aussi fixer un siège », explique les deux jeunes filles, qui apprennent par la même occasion à se servir d’outils. Sur la ligne de départ Les quatre adultes sont présents pour donner un coup de main, prodiguer des conseils et intervenir sur les phases de fabrication un peu plus complexes. L’objectif, pour ces adolescents issus du conseil municipal des jeunes, de l’ASBH et du Mini model club de Béning, est de finir leurs caisses à savon pour la fin du printemps, et ainsi participer à la course prévue à Farébersviller le 23 juin (lire l’encadré). « Cette semaine, nous avons 13 jeunes pour cet atelier, et nous sommes assurés de fabriquer huit caisses à savon », souligne Cédric Perlinski. Une deuxième session de fabrication aura lieu pendant les vacances de printemps. Pour peaufiner l’habillage des bolides actuellement en construction. Et, peut-être, pour en fabriquer d’autres qui seront sur la ligne de départ de la course. Pascal MITTELBERGER Le premier tournoi de futsal unifié, organisé samedi à Farébersviller, a été un beau succès. La manifestation, mise sur pied par un groupe de jeunes de l’AIPS, a rassemblé une soixantaine de jeunes valides et handicapés. Un investissement personnel
Des supporters dans les tribunes, des joueurs qui se défoncent sur le terrain et en coulisse une dizaine de jeunes qui veillent à ce que le tournoi de futsal unifié se déroule dans les meilleures conditions possibles. Ce tournoi, c’est celui organisé samedi par un groupe de jeunes suivis par les équipes de l’AIPS (Association intercommunale de prévention spécialisée) – avec le soutien de différents partenaires dont les centres sociaux ASBH, la ville de Farébersviller, ou encore le Département – au complexe Marcel-Cerdan de Farébersviller. Saadia Rias, Lydia Naili, Ennes Furno et Dahane Amaar font partie de ce groupe. « Partager un moment comme celui-ci avec des personnes handicapées, nous sensibilise à leur situation », confie Ennes, 16 ans. Ces jeunes se sont investis depuis le lancement du projet. « On a vendu des tickets de tombola, on a cherché des sponsors », continue Lydia, 16 ans. « On a fait du porte-à-porte, on en a vendu à l’école. Pour récolter des fonds mais aussi sensibiliser les gens, et les inviter à venir aujourd’hui », ajoute Saadia, 17 ans. Un impact sur les jeunes « Cette action a un impact positif sur les jeunes », analyse Lydia. Notamment ceux qui ont participé au tournoi. « Sur le terrain, il n’y a pas autant de différences qu’ils ne l’imaginaient », ajoute la Thédingeoise. Au fil de la journée, les participants se retrouvent sur le même pied d’égalité. « Valides ou handicapés, on peut tous jouer ensemble », insiste Saadia. Cette première risque fort d’être reconduite l’an prochain. En tout cas, c’est ce que souhaitent les jeunes. Un engagement à plus long terme « L’engouement autour de cette action donne envie de s’investir et de s’engager. Pourquoi pas dans une association », envisage Saadia et Ennes. « Car on peut dépasser la frontière du handicap avec le foot », assure Dahane. Et il existe une autre frontière que les jeunes ont voulu bousculer samedi : les préjugés sur leur ville. « Les jeunes ne sont pas tous pareils. Il y en a qui s’investissent, et donnent de leur temps pour faire bouger les choses », glisse Dahane. Ennes confirme : « Ce tournoi permet de donner une bonne image de Farébersviller. » V. PE. Un groupe de jeunes de l’AIPS et leur éducateur Mouncef Aoukachi organisent un tournoi de futsal unifié, auquel est associé l’IME De-Guise de Forbach. Un projet pour lutter contre les discriminations liées au handicap Mettre sur un terrain et dans une même équipe des joueurs de futsal valides et handicapés. Soit 60 jeunes, âgés de 13 à 17 ans, qui le temps d’une journée vont gommer leurs différences pour aller droit au but. Le samedi 3 février, un groupe de jeunes de l’AIPS (Association intercommunale de prévention spécialisée) et leur éducateur Mouncef Aoukachi organisent le premier tournoi de futsal unifié, au complexe Marcel-Cerdan de Farébersviller. « Il existe d’autres compétitions de ce type dans le secteur. Mais nous avons choisi cette activité pour lutter contre les discriminations liées au handicap », détaille Mouncef Aoukachi, référent du projet.
Le constat Une problématique qui n’est pas anodine, et qui résulte d’un constat fait sur le terrain par les équipes de l’AIPS. « Notre travail est d’aller à la rencontre des jeunes, dans la rue. On est souvent confronté à un public déscolarisé, en voie de marginalisation ou en situation de handicap. Ces jeunes sont la plupart du temps mis à l’écart durant les parties de foot ou de basket », analyse l’éducateur. Il s’agit parfois d’un frère, d’un cousin ou d’un oncle. « Ils ne sont pas complètement exclus, ni complètement intégrés. Par exemple, on leur demande d’aller dans les buts. C’est une façon de les protéger. Car il arrive que les jeunes disent des choses qu’ils ne pensent pas forcément », complète Daniel Dose, le directeur de l’AIPS. Ils reconnaissent en effet que leur langage n’est pas toujours approprié. « Mais ne voient pas ça comme de la discrimination. » Les éducateurs ont aussi analysé les équipements de proximité. « Et on s’est rendu compte que même s’il existe de bonnes volontés, l’intégration des jeunes handicapés est parfois difficile », souligne Mouncef Aoukachi. Le projet Les observations des professionnels confrontées au regard de la dizaine de jeunes engagés, issus des communes de Théding et Farébersviller, ont donné naissance à ce tournoi. « Ce projet fait partie d’un autre plus global mené par l’IME De-Guise. Nous travaillons avec Julien Aranda éducateur sportif de l’établissement forbachois, et président de la commission de football unifié du District mosellan. Il est également originaire de Farébersviller », développe Mouncef Aoukachi. Douze équipes ont été constituées avec des jeunes de l’AIPS, du centre social ASBH de Farébersviller, des clubs sportifs (US Far 05, Alliance Cocheren-Rosbruck, SSEP de Hombourg-Haut) et des établissements spécialisés (IME de Forbach et Guénange, Esat de Freyming-Merlebach et Petite-Rosselle, les Apogées de Marienau, l’IMPro de Morhange et le CAPS de Rosière-aux-Salines). « L’enjeu de ce tournoi est de permettre aux jeunes de se découvrir, entre l’idée qu’ils se font du handicap et la réalité, souligne Mouncef Aoukachi. Et peut-être que cette initiative permettra de créer une équipe de football unifié à Farébersviller… » Une partie des bénéfices du tournoi sera reversée à l’IME De-Guise, et l’autre utilisée par les jeunes pour un autre projet. Le programme Le tournoi de futsal unifié aura lieu le samedi 3 février, au complexe sportif Marcel-Cerdan de Farébersviller. • 10 h : début du tournoi • 16 h : plateau radio animé par des jeunes • 16 h 30 : finales • 17 h : remise des récompenses • en journée : remise des lots de la tombola organisée par les jeunes engagés de l’AIPS Entrée libre. Restauration rapide sur place. Renseignements : 03 87 04 74 02 Vanessa PERCIBALLI. Tous les mercredis, de 16 h à 17 h, une joyeuse bande d’ados anime l’émission de radio 57 Live Junior, diffusée via internet. Rencontre avec ces animatrices en herbe pleines d’envie et de spontanéité. Mercredi, 16 h tapantes. Derrière la vitre du studio, en régie, Sory Keita donne le signal. Derrière son micro, Amina, 13 ans, lance l’émission 57 Live Junior : « Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien… » Autour de la table, il y a ses copines Sawda, Nora, Hiba, Mayline et Dounia. Sans oublier le seul garçon du jour, Soane, en régie.
Un petit talk show C’est parti pour une heure de rubriques, de chroniques, de musiques, diffusées en direct via internet, sur le site www.57live.fr. La web radio existe depuis 2010. Et depuis un an, le mercredi après-midi, c’est la libre antenne des ados. Dans l’émission, on parle de tout. Sawda est la spécialiste de la téléréalité ; Hiba « la miss météo », comme elle le dit avec le sourire ; Dounia distille les infos, du monde entier… Une joyeuse bande de chroniqueuses, et Amina dans le rôle de l’animatrice. Elle passe la parole aux unes et aux autres, lance les différents titres qui passent à l’antenne. Rubriques et squelette Pour tenir une heure en direct, les ados ont travaillé en amont. « On vient avec une idée pour notre rubrique, on en discute entre nous et ensuite on écrit le texte », explique Sawda, quelques minutes avec la prise d’antenne. « On fait aussi notre squelette, le schéma de l’émission », ajoute Amina. Sur leurs filles, les filles raturent, corrigent, modifient leurs textes jusqu’à la dernière minute. Malvina, animatrice de l’ASBH, les aide. Avec Sory, c’est l’autre adulte qui encadre l’émission. Des hésitations mais pas d’appréhension Une fois à l’antenne, les rubriques s’enchaînent. Aujourd’hui, Dounia parle du sauvetage héroïque d’un bébé, Soane du procès de Jawad Bendaoud, Hiba des crues des rivières et fleuves. Un sujet qui déclenche spontanément une discussion entre les chroniqueuses, à propos des inondations qui ont eu lieu dans la cité de Farébersviller il y a quelques jours. Au micro, il y a bien quelques hésitations, quelques bafouilles. Mais pas d’appréhension pour ces ados. « Au tout début, il y avait un peu de stress. Maintenant, c’est naturel », souligne Nora. L’émission 57 Live Junior leur donne, depuis un an, l’occasion de s’exprimer, avec un certain talent et une bonne dose de créativité. Pascal MITTELBERGER Le parc central de la cité de Farébersviller sera le théâtre d’une manifestation originale le 23 juin prochain : une course de caisses à savon. Certains des bolides en lice vont être fabriqués par des adolescents de la commune. Dévaler une pente, plus ou moins forte, à bord d’un "bolide" fabriqué de bric et de broc, joliment décoré : c’est le principe de la caisse à savon. Dix adolescents de Farébersviller, âgés de 11 à 17 ans, vont s’atteler à la construction de différents modèles, pendant les vacances du mois de février. Objectif final : prendre le départ d’une course, dans leur ville, le 23 juin prochain.
Une histoire de passionnés A l’origine de ce projet insolite, il y a deux hommes. Tout d’abord le Béningeois Michel Lesniak, toujours dans le coup quand il s’agit de quelque chose sur quatre roues. Et aussi Cédric Perlinski, époux de l’adjointe au maire en charge de la jeunesse, Nuran Perlinski. Ces deux passionnés de caisse à savon font connaissance l’été dernier. Le projet d’une course prend forme. Cela va même au-delà. A partir de matériaux recyclés « Le conseil municipal des jeunes a adhéré à l’idée », indique Nuran Perlinski. L’ASBH fait aussi partie des partenaires. Si la course est programmée au tout début de l’été, le travail a d’ores et déjà démarré pour dix adolescents de la commune. « Nous allons construire des caisses à savon avec eux pendant les vacances du mois de février », indique Michel Lesniak. « Ils ont déjà commencé à récupérer des choses à gauche et à droite, ils ont encore six semaines pour le faire ; L’objectif est d’utiliser uniquement des matériaux recyclés pour construire les voitures », poursuit Cédric Perlinski. Par exemple des roues de vélos ou de poussettes, du métal ou du bois pour la structure, ou encore du carton pour la "carrosserie". Une petite pente dans le parc central Pendant les vacances de février, Michel Lesniak, Cédric Perlinski et son père Richard, lui aussi passionné, animeront l’atelier de fabrication. « Les adolescents vont pouvoir s’exprimer, faire parler leur créativité », souligne Cédric Perlinski. Cette phase de construction va durer jusqu’à la course. Le 23 juin, les caisses à savon des adolescents s’élanceront dans le parc central de la cité, derrière le centre social Saint-Exupéry. « Le départ se fera au niveau de la chaufferie. De là, on empruntera un chemin goudronné », explique Michel Lesniak. « C’est une petite pente, sans risque pour les enfants », ajoute Cédric Perlinski. Cette course, qui pourrait aussi accueillir d’autres pilotes de caisses à savon, se déroulera dans le cadre des animations de la journée "Fare en fête". Pascal MITTELBERGER. Anira Meraihi, animatrice informatique, gère un groupe de chercheurs d’emploi tous les jeudis matins au centre social Saint-Exupéry. « Le but est que la personne sache utiliser un ordinateur, connaître Word et Excel. Ce projet se déroule sur un an et en mars prochain, tous passeront un examen qui validera leurs acquis. » Sur la dizaine de personnes qui ont débuté ce stage, deux ont quitté le groupe car elles ont retrouvé un emploi, les six autres poursuivent leur formation avec assiduité dans le cadre d’un partenariat entre l’ASBH et Orange.
Le secteur ados de l’ASBH centre social Saint-Exupéry a proposé aux jeunes de 12 à 17 ans toute une gamme d’animations et de sorties à l’occasion de ces deux semaines de vacances scolaires.
« Pour cette deuxième semaine, nous avons le thème d’Halloween et les jeunes ont la possibilité de profiter de diverses animations et sorties comme aujourd’hui où nous partons pour la citadelle de Bitche », explique Abdelhamid Maahroug, directeur de l’ALSH secteur adolescents. « Ils ont également pu réaliser la décoration de leur salle au centre social aux couleurs d’Halloween. Les activités sont à la carte et à la journée. Elles commencent toujours par un petit-déjeuner et à midi, c’est repas traiteur. L’après-midi, ce sont soit des sorties ou alors on travaille sur différentes thématiques. » À noter que la première semaine, les jeunes de 11 à 17 ans avaient également la possibilité de participer au Moselle Jeunesse. « Ils ont profité de diverses activités sportives sur la commune en partenariat avec les associations. » Pas de place, donc à l’ennui durant ces vacances. « Les jeunes eux-mêmes ont fait le planning des activités lors de commissions jeunesses. On colle ainsi au plus près de leurs demandes. Et surtout, c’est un réel succès puisqu’ils sont nombreux à venir profiter des animations », conclut Abdelhamid Maahroug. L’ASBH centre Saint-Exupéry a proposé deux semaines de loisirs aux enfants de 3 à 11 ans. Une belle opportunité saisie par de nombreux jeunes à l’occasion de ces vacances de la Toussaint. « Nous avons fait le plein à chaque fois avec 30 enfants », annonce Salima, directrice du centre de loisirs secteur enfants, secondée par Marie, Naïma et Alexandra. « Nous avons eu beaucoup de demandes. La sortie au parc Sainte-Croix était parfaite et tous y ont apprécié le décor. »
La seconde semaine a joyeusement surfé sur le thème d’Halloween : « Mardi après-midi, les enfants ont pu se déguiser et même se balader avec nous autour du centre social. Bien entendu, ils ont également eu des friandises pour remplir leur sac à bonbons qu’ils avaient confectionné. Et nous finirons la semaine avec une sortie au cinéma. » Dès le 8 novembre, ce sera la reprise des mercredis récréatifs de 8 h à 18 h, au centre social Saint-Exupéry. Renseignements au 03 87 90 82 82. Le centre de loisirs de l’ASBH centre social Saint-Exupéry referme ses portes après cinq semaines haletantes pour les enfants de 3 à 11 ans. Le succès était au rendez-vous. Les cinq semaines de centre de loisirs orchestrées par l’ASBH centre social Saint-Exupéry ont surfé sur le succès. Elles se sont terminées ce vendredi. Toutes étaient complètes et ont joué sur des thèmes différents pour le plus grand bonheur des enfants de 3 à 11 ans. Ces derniers ont apprécié ces grandes vacances ludiques et joyeuses.
Formules à la carte « Nous sommes depuis le début de l’année sur de nouvelles modalités de fonctionnement aussi bien sur l’administratif que sur le pédagogique concernant le secteur jeunesse », explique Farid Bouaoune, directeur de l’ASBH centre social Saint-Exupéry de Farébersviller. « Les parents ont à présent la possibilité d’inscrire à la carte leurs enfants. Ils peuvent choisir les moments privilégiés qu’ils souhaitent contrairement à l’inscription à la semaine. Ce sont des formules plus souples qui plaisent. » Ces nouveaux aménagements des loisirs font suite à un constat de territoire mais également à une demande des parents. « Ils ont souhaité aller dans ce sens et l’ont même amélioré en termes de contenu pédagogique. Nous fonctionnons ainsi depuis les vacances de février », précise le directeur. « Ces grandes vacances confirment notre choix. Beaucoup ont apprécié passer du temps avec leurs enfants plutôt que les bloquer sur une semaine entière. » En terme de besoins ou de possibilités financières, les offres étaient également variées et très satisfaisantes, pour tout le monde. Cinq semaines complètes Au plus proche des jeunes utilisateurs et leurs parents, Salima, directrice du centre de loisirs, confirme ce succès. Avec son équipe d’animateurs elle a offert cinq semaines d’ALSH ludiques et enrichissantes. « Nous avons fait complet à chaque fois avec des enfants de Farébersviller et environs. On peut dire que cet été 2017 est une très belle réussite. Enfants et parents ont été enthousiastes et ont pleinement adhéré. » Tous ont apprécié les différents thèmes et les sorties originales. « Le moment des repas était important », ajoute Salima. « Pierrette de Puttelange-aux-Lacs a concocté des repas équilibrés qui ont fait l’unanimité auprès des enfants. De plus, nous avons fait le choix de remplacer les habituels biscuits sucrés par des fruits, de varier les goûts et les saveurs. » Une option plus diététique bienvenue, complétée par un travail sur l’autonomie et le respect. Pour la rentrée Pour la rentrée de septembre, M. Bouaoune envisage de compléter et améliorer la gamme d’offres sur les secteurs de la petite enfance et la grande enfance, respectivement 3/5 et 6/11 ans. « On constate que cette dernière tranche est très large. On souhaiterait, notamment pour nos mercredis, puisque la municipalité revient à la semaine des quatre jours, proposer trois programmations différentes : petite, moyenne et grande section. » Les jeunes usagers et leurs parents testeront volontiers ces nouvelles propositions. Cette semaine, au centre de loisirs de l’ASBH centre social Saint-Exupéry, les dinosaures sont mis à toutes les sauces pour le plus grand bonheur des jeunes participants. Pour l’avant-dernière semaine d’ALSH, le succès est une fois de plus au rendez-vous avec une sortie au parc Gondana en Allemagne. Des enfants de 3 à 11 ans, venant de Farébersviller mais également des communes environnantes, sont pleinement heureux de leurs vacances et du programme concocté par la directrice de l’ALSH, Salima, et ses animateurs.
Formule à la carte La forte fréquentation s’explique par la qualité du programme proposé, l’enthousiasme et l’implication des animateurs, également la variété des animations, avec en prime le plus de cette année : la formule à la carte. « Les parents sollicitent ce service , précise Salima. Ils apprécient de pouvoir choisir quand et comment leur enfant passera sa semaine. Nous nous sommes également parfaitement adaptés à leurs choix. » Calendrier idéal Jonglant avec la météo, les animations proposées doivent s’adapter : « Les enfants aiment les activités d’extérieur ou se rendre au jardin pédagogique. Nous veillons à mettre en place un calendrier idéal. Il reste quelques créneaux disponibles pour la dernière semaine sur le thème de la fête avec une sortie Walygator. » L’édition 2017 du centre de loisirs est d’ores et déjà une belle réussite. |
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