L’ASBH, en collaboration avec la municipalité de Schœneck, ouvre le centre de loisirs au Prévert, rue Balzac, du 16 juillet au 10 août. Il accueille les enfants de Schœneck et des environs.
Chaque enfant pourra passer des vacances en participants à des activités ludiques et amusantes, concoctées par l’ASBH. Des sorties accrobranche, au parc nature du cheval, à la piscine et au cinéma sont au programme. Ils pourront également participer à des grands jeux, à l’atelier culinaire, faire du bricolage et du jardinage. Les inscriptions doivent être enregistrées directement au périscolaire jusqu’au 6 juillet, les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16 h à 17 h. Du 9 au 12 juillet, elles se feront de 8 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Les inscriptions seront uniquement possibles pour la semaine complète. Les horaires de l’accueil avec repas s’étaleront de 7 h 30 à 18 h. Sans le repas, ils seront de 7 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 18 h. Adresse de l’inscription : périscolaire, 10 rue de l’école à Schœneck. Aucune inscription ne sera prise en compte sans règlement ni de réservation par téléphone. Pour tous les renseignements sur l’accueil loisirs, s’adresser à Mina, la directrice du centre, au 07 75 11 21 14. Les conditions d’accueil peuvent également être retirées en mairie. Dans le cadre de l’opération Moselle Jeunesse, organisée chaque année avec le concours du conseil départemental de la Moselle, la ville de Créhange propose aux jeunes âgés de 11 à 17 ans, un programme riche en activités sportives et culturelles. Entièrement gratuites, celles-ci se dérouleront du mercredi 4 juillet au vendredi 24 août. Douze associations partenaires proposeront aux adolescents de s’initier à leurs disciplines.
Au programme : animations au skate parc de Créhange, aéromodélisme, sorties cyclotouristes, jeux de société, tennis, basket, hand-ball, volley, tir à l’arc, projet musical avec l’ASBH, atelier bois, spéléologie, hapkido, tennis de table, odyssée club musculation et badminton. Les activités sont accessibles à tous les adolescents de la communauté de communes du District urbain de Faulquemont. Détail du programme sur le www.ville-crehange.fr. Inscriptions en mairie : 03 87 94 17 55. Bon nombre d’habitants de la cité la Chapelle de Hombourg-Haut et Freyming se sont rassemblés pour la grande fête du quartier qui s’est tenue à la place de Paris.
Les festivités de l’après-midi avaient pour thèmes des activités pour enfants et jeunes : tours de poneys par EK Compet ; maquillages de carnaval professionnels assuré par Grim’Arts de Freyming ; clowns fantaisistes… Jeux et feux d’artifice Les associations de la cité la Chapelle, « le club de l’amitié, l’AIPS, le conseil citoyen, et l’ASBH » ont mis l’ambiance en organisant des jeux de pêches, sauts. Vers 18 h, la musique et le bal ont été assurés par « Léon » ; les feux d’artifice par la Société Mille Feux 83 de Fréjus. D’une dizaine de minutes, ils ont émerveillé les Hombourgeois et Freymingeois venus en masse. Ce vendredi les habitants du quartier Maroc ont partagé un moment convivial et festif à l’occasion de la fête du quartier organisée par le centre social ASBH du Maroc en collaboration avec les habitants et le chantier d’insertion. Cette rencontre était l’occasion d’échanger, de s’amuser entre voisins et de faire connaître les activités du centre social. Marie-Rose Becker, responsable du centre social Maroc, explique : « La fête du quartier est porteuse de lien social entre les habitants et permet la mise en place d’une vie de quartier plus agréable pour tous. Cette animation qui investi le quartier est un réel rendez-vous de voisinage. L’émulation des participants en fait une journée familiale et fédératrice dans un quartier.
Cette initiative répond aux valeurs que souhaite diffuser l’ASBH et au projet de valorisation des quartiers qu’elle met en place. La fête de quartier a des objectifs intrinsèques : il s’agit de valoriser les ressources de son territoire, ou son patrimoine. Il s’agit aussi de réunir ses habitants et d’animer leur quartier grâce à des actions socioculturelles et sportives. La fête est l’occasion de créer un moment de rencontre, de favoriser des rapports chaleureux, d’affermir le lien social entre les habitants. Il s’agit aussi de faire connaître des projets et initiatives du quartier, d’inciter les voisins et voisines à y participer voire à s’y investir. Il s’agit de montrer que c’est à partir de la base, dans la communication et la solidarité directe entre citoyens, que naissent les expériences les plus profitables à l’intérêt général.” Le parc central de Farébersviller a accueilli ce samedi la première course de caisse à savon. Une idée un peu folle née de la rencontre entre deux passionnés, Cédric Perlinski et Michel Lesniak, lors de l’opération Moselle Jeunesse, organisée par l’ASBH. Le premier cité, s’il s’implique de différentes manières dans la vie de la commune, est aussi l’époux de Nuran Perlinski, adjointe au maire chargée de la jeunesse. Le second est notamment le président du Mini-Model Club de Béning.
Caisses 100 % recyclables « Dans un premier temps, il a fallu collecter du matériel, comme des vélos, des poussettes, ou des planches et des palettes », explique Cédric. De quoi créer les caisses, « 100 % recyclables ». Pour le côté technique, les jeunes de Farébersviller ont pu compter sur le soutien de spécialistes, comme Michel Lesniak, mais aussi Cédric et son père, Richard. De leur côté, les jeunes devaient choisir le concept. On trouvait ainsi le Raptor, l’Ours blanc, Mowgli, ou encore Spiderman et le Croco, « parce que la peinture verte s’était écaillée… », confie un des jeunes pilotes. 25 bolides au départ Restait ensuite à trouver le terrain de jeu. Le parc central s’est rapidement imposé. « L’idée est de faire revivre cet endroit », confie Cédric. Parallèlement, cela nécessitait moins de contraintes administratives… Les 25 bolides se sont élancés sur un circuit de 305 m, pour quatre manches à sensation. « Il y a des parties rapides, et quelques virages sympathiques… », explique Cédric. Qui a lui même testé le parcours. Sur la ligne de départ, Richard, son père, livre quelques conseils. « Il faut se pencher dans le sens du virage, sauf sur le dernier, plus serré, et ensuite, pousser pour accélérer dans la dernière ligne droite. » Consigne entendue, mais qui n’a pas eu les mêmes effets suivant les concurrents… Les temps sur le parcours oscillaient entre 45’et plus d’1mn30’. Un test concluant « C’était un test, confie Cédric. Maintenant, les équipes ont un an pour se servir de cette expérience et créer de nouvelles machines ! » Car il y aura évidemment une deuxième édition, peut-être un peu plus relevée… « Nous cherchons encore l’endroit, mais il y a quelques pistes… » Les élèves de la classe Segpa du collège Claudie-Haigneré de Freyming-Merlebach se sont improvisé chefs cuisiniers pour le personnel pédagogique et enseignant du collège merlebachois.
Le directeur de la classe Segpa, Denis Dellwing du collège Claudie-Haigneré de Freyming-Merlebach et du collège de Holderith de Farébersviller entretient ce partenariat culinaire avec l’ASBH depuis cinq ans déjà. « Les élèves ne cuisinent pas seulement pour dire qu’ils cuisinent. Un gros travail de fond est fait : demande de faisabilité étudiée sur le net, facilité de la recette, étude du réalisable en fonction des moyens. Toutes les recettes sont ensuite utilisées dans les différentes matières », explique Denis Dellwing Trois repas et dix ateliers culinaires Le professeure d’allemand est venue apprendre aux élèves à reconnaître chaque élément culinaire et chaque demande à la réalisation de la recette en allemand. « Chaque mardi matin, les élèves de 3e et de 4e font cet atelier dans le cadre du champ professionnel du HAS (Hygiène Alimentation Service). Trois repas par an et dix ateliers culinaires sont au programme. Les repas sont proposés à Noël, en fin d’année scolaire et une date au choix », résume Denis Dellwing. Lahcène Scherer, intervenant de l’ASBH, a été mis à l’honneur pour son implication dans le partenariat et la transmission de son savoir culinaire ainsi qu’à la professeure Fabienne Thiriet et au principal du collège Jean-Claude Mallick. Donner une seconde vie aux objets, limiter la consommation, créer entraide et lien social… Les associations d’économie solidaire sortent leur épingle du jeu dans le Bassin houiller. L’économie solidaire ou système d’échange local a le vent en poupe dans le Bassin houiller. À Freyming-Merlebach, La Boutique sans argent, portée par l’ASBH, fête, en juillet, deux ans de réussite. « En créant cette structure, on ne savait pas du tout à quoi s’attendre, explique Laura Piazza, à l’origine du projet. On s’est longtemps battus pour ouvrir. Nous avons eu la chance d’avoir des partenaires incroyables comme Logi-Est qui a accepté de nous céder un appartement au Beerenberg et d’en assumer les frais. »
Faire circuler les objets La Boutique sans argent fonctionne sur le principe de la circulation des objets. « Des gens du quartier ou d’ailleurs viennent déposer leurs objets. Nous effectuons un tri et les mettons en rayon. Qui veut peut ensuite prendre 3 objets par semaines, gratuitement, reprend Laura Piazza. Notre philosophie, c’est de dire qu’un objet peut avoir une seconde vie et être utile à quelqu’un. Bien sûr que notre public est majoritairement précaire mais on s’est rendu compte que ce système plaisait à tout le monde. Des chineurs aux cadres, en passant par les jeunes et les personnes âgées. » En 2017, 1 667 personnes ont fréquenté la boutique. 287 dépôts d’objets, souvent au pluriel, ont été enregistrés. « C’est un vrai succès. Grâce à différentes aides, nous avons pu embaucher une personne en contrat aidé. Elle accueille les visiteurs mais propose aussi un café, une discussion… Elle aide au lien social qui nous est cher. » Vers l’échange de services, aussi Et quand le lien ne se fait pas en direct, il a lieu sur Facebook. « Dès la création de la boutique, nous avons ouvert une page. Nos usagers se l’ont appropriée très vite. Désormais, il y a des échanges de gré à gré qui ne passent plus par la boutique, assure Laura Piazza. Cette page est si active que nous n’avons plus vraiment besoin de faire de publicité pour notre action. » La Boutique sans argent espère se développer un peu plus à l’avenir. « Nous aimerions créer un échange de services au sein du quartier, explique Hacène Bournine, directeur de la Maison des associations. Mais c’est encore compliqué. Les gens hésitent à faire entrer leurs voisins chez eux. Surtout, beaucoup ignorent qu’ils ont un savoir-faire utile aux autres. Tout est possible. Un peu de repassage en échange de travaux dans le jardin, une visite à une personne âgée contre un bon gâteau, une aide administrative contre la descente des poubelles. Pour participer, il ne faut pas nécessairement beaucoup de temps ou avoir fait de hautes études ! » Bientôt un salon de coiffure Pour aller plus loin encore dans son rôle social, l’ASBH envisage d’ouvrir un salon d’esthétique et de coiffure dans les locaux de la boutique. « Cette fois, nous voulons clairement nous adresser aux personnes précaires. Nous envisageons ce service sur prescription des assistantes sociales, de Pôle Emploi ou des Restos du cœur. Logi-Est nous suit dans cette démarche. Nous devons encore achever les formalités, insiste Hacène Bournine. Ce service ne sera pas entièrement gratuit. D’abord parce que, pour survivre, nous devons avoir quelques fonds. Mais aussi parce qu’il n’est pas question de faire de la concurrence au commerce local. Ce salon sera destiné aux personnes qui ont besoin de prendre soin d’elles mais qui ne seraient jamais allées dans une boutique classique par manque de moyens. » Textes : Emilie PERROT Audrey Escoin, responsable de la bibliothèque municipale, a organisé la « semaine nationale de la marche et du vélo », opération proposée par l’Éducation Nationale.
Avec les autres membres de l’association Stiring Animations, elle s’est déplacée dans les écoles pour proposer trois ateliers aux classes de CM1 et CM2 et de la classe Ulis de l’école du Centre : un atelier piste cyclable (par l’ASBH et la Police municipale), un quiz vidéo sur la sécurité routière (par Stiring Animations) et une initiation aux premiers secours et au défibrillateur (par les sapeurs-pompiers). Le service technique de la ville a aussi participé à la manifestation en transportant le matériel d’une école à l’autre. Dix vélos et casques Pour sa troisième participation à l’événement, Stiring Animations a acquis dix vélos et casques. Une subvention de 500 € a été octroyée par le conseil départemental dans le cadre de son soutien en faveur de la sécurité routière, 200 € des assurances AXA Agence Greff et la ville a subventionné le reste. L’opération a eu un vif succès auprès des 250 jeunes qui ont obtenu l’Aper (Attestation de Première Éducation à la Route). L’initiation au défibrillateur les a grandement intéressés. Ils ont été rassurés quant à la conduite à avoir en cas d’incident, les numéros d’urgence à connaître et la Position latérale de Sécurité. Ils ont pu aussi combler leurs lacunes quant à la connaissance des panneaux de signalisation et des marquages au sol. La fête au quartier Garang
La Fête des voisins a eu lieu au quartier Garang, grâce au pilotage de l’ASBH Breckelberg. Ousmane N’Diaye, responsable du centre social Les Peupliers précise : «. Il s’agit d’un moment de partage et d’échanges entre voisins. Avant de s’entraider, il faut se reconnaître et se connaître. Notre objectif est que cette fête soit le point de départ d’un nouvel art de vivre dans le quartier. » Des associations locales ont prêté main forte pour assurer un barbecue ou organiser des jeux pour les enfants. Le projet de l’année du périscolaire a entraîné les jeunes participants à s’inscrire au concours « Je fleuris la Moselle ». Créativité et talent ont donné naissance à des réalisations originales. Depuis la rentrée, le périscolaire a vogué sur un projet qui a emporté l’adhésion des 3-11 ans. « Dans notre projet pédagogique cette année, on souhaitait des décorations avec du bois et des fleurs pour offrir à la commune », explique Lætitia Chardon, directrice du périscolaire ASBH de Morsbach.
Courant septembre, un mail du Département a fait rebondir leur idée : « On a décidé de participer au concours « Je fleuris la Moselle » dans notre catégorie. On s’est inscrit. C’est une première. » Un portique floral et un jardin partagé Le projet s’est articulé autour de deux créations spécifiques : il y a le portique floral installé place Marcel-Muller et un jardin partagé à côté de l’école maternelle. « Dans les bacs du jardin partagé, les enfants ont planté des aromates, des fraises, tomates et aussi quelques fleurs pour les abeilles. On a aussi laissé des bacs vides pour que des parents puissent y faire pousser autre chose. » Les petites mains vertes se sont faites bricoleuses avec la fabrication des tissages des plantes accrochées au portique, artistes avec la décoration des pots de fleurs et jardinières lors de l’entretien des différentes plantations. Des idées et du talent « Ils continuent à en faire l’entretien », assure Mme Chardon. « Les enfants étaient enthousiastes. Ils ont apprécié de participer au projet et attendent avec impatience les résultats. On croise tous les doigts. » Éliane Jacques, adjointe au maire, est fière de l’initiative prise par le périscolaire : « La municipalité a aidé au niveau de l’installation du grand portique par les techniciens de la ville. On encourage les enfants à persévérer. Ils ont des idées et du talent. » |
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