Les vacances d’hiver ont été sont synonymes d’activités ludiques et créatives pour les 6-12 ans accueillis au centre de loisirs de faulquemont, géré par l’ASBH. Après les Schtroumpfs, cette deuxième semaine a été inspirée du film d’animation Les Croods qui met en scène une famille préhistorique. « Ce thème de la préhistoire a ainsi permis à la vingtaine d’enfants de voyager dans le temps », relèvent Mylène Fisher la directrice et les animatrices Pauline et Kenza. « À l’instar des hommes de cro-magnon qui peignaient, gravaient et dessinaient sur les parois des grottes des moments de leur vie, les enfants ont réalisé une fresque géante avec l’empreinte de leurs mains, comme les premiers artistes préhistoriques ! Mais aussi des pendentifs en pâte à sel représentant des fossiles. » Les petits pensionnaires ont par ailleurs été initiés à la technique du pop up. Ils se sont ainsi appliqués à faire du découpage pour donner une troisième dimension à leur dessin, en laissant vagabonder leur imagination pour créer une histoire de dinosaure. Enfin, des « Crolympiades » jalonnées de courses, relais, énigmes et jeux de mime et une sortie au musée de la préhistoire Gondwana à Schiffweiler, en Allemagne ont fait le bonheur des enfants.
Les mercredis récréatifs prennent le relais des animations pour les 6-12 ans, tous les mercredis, de 13 h à 17 h, au centre social, à Faulquemont. Au programme ce mercredi 14 mars, la découverte des légendes de la Saint Patrick. Inscriptions au 03 87 94 32 65. Mail : asbhfaulquemont@orange.fr Depuis quatre ans maintenant, le Club de l’amitié, présidé par Fatima Nevers, a mis en place un cours de gymnastique douce, bien apprécié par tous les participants. Éducateur et animateur professionnel doté de ses brevets à la Fédération Française Sport pour tous, Édouard Musiolik a répondu à la demande de la présidente Fatima Nevers de l’association le Club de l’amitié, pour partager avec ses 25 membres issus des communes de Hombourg-Haut et Freyming-Merlebach, une heure de gymnastique de bien-être et santé.
« Certaines de mes membres m’ont demandé d’inclure une séance de gymnastique au sein de notre association, confie Fatima Nevers. Édouard Musiolik que beaucoup connaissent déjà m’a été recommandé pour son professionnalisme mais surtout pour travailler depuis fort longtemps dans cette pratique qui ne se fait pas n’importe comment mais qui demande des connaissances sur le corps humain et son fonctionnement », précise-t-elle. D’une grande souplesse physique sachant conjuguer l’humour à l’attention, Édouard Musiolik précise que chacune de ses membres à besoin d’exercices physiques adaptés en fonction de l’instant qu’elles vivent ou de la capacité de leur corps. « L’une aura besoin d’un exercice déstressant, une autre en fonction de l’état de santé, suite à une maladie ou opération d’un exercice de réappropriation des gestes. Ma gymnastique correspond également aux personnes à mobilité réduite, précise l’éducateur. Le cours de gymnastique dispensé à l’ASBH a lieu tous les lundis de 10 h à 11 h. Pour toutes personnes intéressées, femmes ou hommes, il faudra souscrire à l’association Le Club de l’amitié, la carte d’adhésion est de 7 € et donne droit à diverses autres prestations de l’association. Il est obligatoire de fournir à l’inscription un certificat médical. Renseignements : ASBH, place de Paris à Hombourg-Haut ou au 03 87 81 17 23. La Journée internationale pour les droits des femmes a été célébrée le 8 mars. À Creutzwald, un dimanche est réservé pour cette manifestation qui connaît un succès grandissant. Cette année, la fête aura lieu le dimanche 18 mars. L’apéritif est offert par la ville, suivi du repas proposé par un traiteur au prix de 16 €, mais sur réservation obligatoire.
Tout au long de l’après-midi un programme varié sera proposé. On y retrouvera entre autres le défilé de l’atelier de Rose qui présentera des créations personnelles. Un autre défilé sera proposé par l’atelier insertion couture de l’ASBH. Noémie Sarati, Reine de la Mirabelle, viendra évoquer son rôle dans la région. Magali Cao Van, lieutenant de gendarmerie, nouvelle patronne de la brigade territoriale de Creutzwald viendra apporter son témoignage sur sa vie de femme dans cette fonction. Annie Parlagreco, avec à son revers la Légion d’honneur, évoquera son engagement au quotidien dans le quartier du Bruch, à la tête du CIA, au sein de l’association Culture et Loisirs, en tant que responsable du centre social. Marie-Noëlle Vingert, présidente de l’association Karibu, racontera son combat pour la création d’une cantine en Côte d’Ivoire. Bien d’autres animations seront encore proposées au public avec une exposition de peintures et café-gâteau. Réservations pour le repas obligatoire auprès de Valérie Tourscher, en mairie, 03 87 81 89 82. La journée internationale des femmes, célébrée le 8 mars, a trouvé des adeptes jeudi soir à Petite-Rosselle.
Le but était de réfléchir sur les conditions de la femme dans le monde et de lutter contre les inégalités face aux hommes. Pour l’occasion, La Concorde s’est transformée en salon de coiffure et de beauté. Des professionnelles des pinceaux et des ciseaux ont ainsi accueilli quelque 60 dames sur invitation de l’ASBH. « C’est une première à Petite-Rosselle. Ces instants de maquillage, de coiffure, de bien-être, de convivialité permettent aux femmes de prendre du temps pour elles-mêmes. C’est aussi une façon de les mettre en valeur », confie Sophie Durand, animatrice de l’ASBH. Les femmes ont ainsi été dorlotées gratuitement en soirée par des professionnels qui ont accepté de jouer le jeu. Henné, soins des mains, maquillage, pose de vernis, coiffure, etc., ont été réalisés lors des différents ateliers à La Concorde. Des animations pour les plus petits avaient également été mises en place au grand bonheur des plus jeunes. Petite restauration, et démonstrations de danse par StreetFlow de Saint-Avold ont également été appréciées par la soixantaine de dames présentes lors de cette première rosselloise. Mais que faisait cette quinzaine d’adolescents tous les matins autour de l’Espace jeunes ? Ils participaient au lifting de l’espace jeunes selon une forme d’expression réalisée à la bombe de peinture : le graff. Depuis cette semaine, l’Espace jeunes géré par l’ASBH et installé avenue André Viaud à Faulquemont, s’est en effet offert un nouveau look extérieur. Sur les conseils de Jérémy Schiano, graffeur professionnel de Creutzwald, les adolescents se sont ainsi adonnés à la technique du graff.
Après une première semaine de vacances consacrée à la composition de deux titres sur le tabac et les addictions, une quinzaine d’adolescents ont participé à cette animation. Comment est né ce projet ? Amélie LYSKAWA, responsable de l’Espace jeunes : « L’idée est que les jeunes s’approprient le lieu et surtout qu’il soit reconnaissable de l’extérieur. Le visuel du projet a, dans un premier temps, était validé par la municipalité, l’ASBH et les jeunes. Nous avons ensuite fait un prévisionnage du graff en ajoutant notre mascotte. En l’occurrence un lapin, une manette de jeu, un hashtag, un casque audio et un MP3, afin que les jeunes puissent clairement identifier le lieu ». Vous avez fait appel à un graffeur professionnel ? « Jérémy Schiano, de l’association Expression, graffe depuis une quinzaine d’années. C’est une passion qu’il aime partager et transmettre. Il mène d’ailleurs de nombreux projets en partenariat avec différents organismes. Pour les murs extérieurs de l’espace jeunes, il a réalisé la trame du dessin. L’artiste a ensuite initié les participants aux bases du graff, à la manipulation des bombes de peinture et les différents embouts à utiliser en fonction de la pression souhaitée. » Les jeunes se sont investis ? « C’est un projet qui a réuni une quinzaine de jeunes. Nous affichions ainsi complet pour toutes les vacances. Graffer leur a beaucoup plu et ils se sont appliqués pour ne pas faire d’erreur. La présence de Jérémy qui pouvait à tout moment rectifier le tir les a rassurés. Avec ce projet, nous avons également intensifié notre partenariat avec le Centre d’accueil et d’accompagnement pour adolescents (CAAA) de Faulquemont. Par ailleurs, les jeunes des deux collèges se sont rapprochés et ont créé des liens. » Le centre social "La maison des associations" de Freyming-Merlebach a un nouveau directeur. Hacène Bournine ne veut « oublier personne dans la démarche sociale de la structure et ouvrir le lieu vers l’extérieur ». Vous êtes le nouveau directeur du centre social de Freyming-Merlebach dit Maison des associations.
Quel est votre parcours ? « J’ai une longue carrière au sein de l’association d’actions sociales et sportives du Bassin houiller. J’ai débuté en 1992 en tant qu’animateur jeune à Creutzwald et Petite-Rosselle. En 1998, je suis entré dans la fonction publique. J’ai géré les services enfance et jeunesse de Sarrebourg, Vandœuvre-lès-Nancy et Toul. Je suis revenu à l’ASBH en 2006 et j’ai pris les fonctions de directeur au centre social de la cité Maroc à Creutzwald. En 2010, je suis devenu directeur du centre Bellevue à Forbach. En juin 2012, j’ai occupé les fonctions d’assistant parlementaire. J’ai occupé ce poste pendant 5 ans. » À la rencontre des habitants Quel regard portez-vous sur cette maison des associations de Freyming-Merlebach ? « Il y a la maison des associations qui regroupe une soixantaine de clubs et le centre social qui occupe une partie des locaux situés à côté de l’église Saint-Maurice. Moi, je ne suis responsable que du centre social, même si nous sommes amenés à travailler avec quelques-uns de nos voisins de palier. Cette année, le centre social doit obtenir le renouvellement de son agrément CAF. Nous sommes donc en pleine réflexion et analyse des besoins des habitants. Le centre touche les quartiers Sainte-Barbe, Arc-en-ciel, Freyming et Beerenberg. Nous sommes allés dans toutes les écoles à la rencontre des parents pour leur demander leurs besoins en matière d’animation sociale. Nous avons aussi monté des comités avec les habitants pour les mêmes raisons. Nous irons aussi sonder tous les avis des habitants. » Ce n’est donc pas vous qui fixez les objectifs du centre ? « Pas réellement. Un centre social ne peut exister qu’à condition que la population participe à l’élaboration de son projet social et éducatif. Mon rôle est d’animer ce projet et de fixer un cadre de travail. À nous, ensuite, de mener des actions qui correspondent aux besoins du territoire. » Ouvrir sur la culture À l’heure actuelle, vous accueillez des enfants et des adolescents au centre social. Quelle marque souhaitez-vous imprimer sur leurs activités ? « L’accueil des 3-5 ans au centre social Chapelle, qui dépend de nous, fonctionne à merveille. Celui des 6-12 ans à la MDA est également très fonctionnel. Je pense que nous devons faire mieux pour les adolescents. Surtout, je souhaite travailler en collaboration avec les différentes associations et structures de la commune. J’aimerais particulièrement ouvrir le centre sur la culture. Nous avons de beaux équipements dans la ville et je souhaite créer le plus de partenariats possibles. » Emilie PERROT. Elles sont le reflet du Wiesberg ou de Bellevue, leurs quartiers : elles y vivent et le font vivre. Jeudi matin, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, une dizaine de dames a été invitée à témoigner au centre social du Wiesberg. Une action menée en partenariat avec la régie de quartier, l’ASBH de Bellevue, la Ville de Forbach et le CIDFF (Centre d’informations sur les droits des femmes et de la famille) de Moselle-Est. « Ce tour de table est assuré par des femmes qui parlent de leur investissement quotidien. Les intervenantes, qui ont été invitées, sont des femmes que nous voyons quotidiennement », explique Stéphanie Bulzomi, coordinatrice pour la régie de quartier. Ces femmes fréquentent le centre social, appartiennent aux conseils citoyen ou de quartier… « On a besoin de vous pour faire vivre le quartier, et le centre-ville », exhorte une des intervenantes, en s’adressant au public. Les auditrices sont bien entendu reparties avec une rose rouge. Après la pause méridienne, un autre temps d’échanges était programmé. D’autres femmes ont été mises à l’honneur pour leurs parcours professionnels ou de vie. Dans la salle principale du centre social, un mur de paroles a été mis en place. Une manière de délier les langues, de soulever les difficultés mais aussi les réussites, et le temps d’une journée de redonner à la femme la place qu’elle mérite. V. PE. L’ASBH centre social Saint-Exupéry a invité les enfants de 3 à 11 ans à deux semaines de centre de loisirs pour occuper de manière ludique leurs vacances scolaires. La première semaine de l’ALSH a vogué sur le thème de carnaval avec de nombreuses animations ainsi qu’une sortie à la patinoire de Metz.
Pour la seconde, les jeunes participants surfent actuellement sur la musique. « Ils pourront profiter d’une belle sortie au bar à musique de Metz où nous allons visiter les loges, les coulisses ainsi que la salle de spectacle comme si nous étions chanteurs ou groupe musical », précise Salima, directrice du centre de loisirs des 3/11 ans. Entre 30 et 40 enfants Durant ces vacances, l’ALSH a fait le plein : « Nous avons entre 30 et 40 enfants par semaine encadrés par des animateurs et animatrices. Nous avons suivi le planning qui a été choisi par la commission enfance. » Depuis un an, la formule à choix multiples (demi-journée, journée ou semaine) fonctionne parfaitement et plaît aux parents ainsi qu’aux enfants. À noter que, dans le cadre de la journée de la femme, l’ASBH centre social Saint-Exupéry invite le public ce samedi 10 mars à partir de 16 h à partager un moment convivial autour d’un café-gâteau. Parallèlement, une femme viendra témoigner de son changement de métier et une historienne, Margaux Duplenne débattra sur le thème : la femme. Entrée libre. À 20 h, le service culturel de la ville invite au concert de Vox Femina au centre Saint-Exupéry avec entrée libre. Pour les vacances de février, le centre ASBH a organisé une semaine de loisirs sur le thème du carnaval. 30 enfants et 17 adolescents ont participé à des activités de bricolage, comme la confection de masques, une chenille géante et la fabrication de costumes. Les plus jeunes ont bénéficié d’une sortie au Coco Park et les adolescents se sont rendus à l’Escape Game et au Calypso accompagnés par leurs animateurs. La semaine s’est terminée par une fête de carnaval qui a réunis parents et enfants autour d’un goûter animé.
14 enfants de 3 à 5 ans ont profité d’une semaine d’accueil loisirs au centre social Maroc. Une semaine placée sous le signe du carnaval. Au programme : confection de masques, de clowns, etc. Les enfants ont apprécié les moments de partage autour de petits-déjeuners, de bricolage, de dessins mais aussi les moments de joie autour de chants, de contes.
Tout en respectant le rythme de l’enfant, les animateurs : Nathalie, Christelle et Aicha avec Janique en direction, ont imaginé des journées festives qui ont ravi les petits de 3 à 5 ans. Les enfants ont plus particulièrement adoré la sortie au Vaisseau de Strasbourg, en compagnie des plus grands et c’est les yeux plein d’étoiles qu’ils se sont endormis au retour. Pour clôturer la semaine, petits et grands ont enfilé leurs costumes de carnaval, décoré la salle aux couleurs de leurs créations et ont préparé quelques petits chants. Les parents ont partagé avec eux ce moment convivial autour de gâteaux, de crêpes, de gaufres, de verrines et autres gourmandises. |
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