Dans le cadre des mercredis récréatifs, l’ASBH de la cité Maroc avait prévu une chasse aux oeufs, mais dame météo a empêché cette manifestation. Il a donc fallu choisir un plan B et en c’est un rallye chocolat, des énigmes à résoudre et un puzzle à reconstituer en équipes qui a permis à tous les enfants d’être récompensés avec des œufs de Pâques. Un goûter collectif a mis fin à la manifestation./ Photo RL
150 personnes ont rugi de plaisir lors du spectacle donné par le conteur gabonais Chyc Polhit au centre social ASBH, dans le cadre du Festival Migrations. L’histoire pleine d’humour de la petite tortue qui part à la recherche de ses origines et porteuse de valeurs fortes sur la différence et le bien-vivre ensemble./ Photo RL
La ville, en partenariat avec exposants et associations, sensibilisera le dimanche 8 avril à l’écocitoyenneté, en communiquant les enjeux majeurs pour la société : l’environnement, le développement durable, les énergies renouvelables, les avantages et les bienfaits de la consommation bio.
Cette année encore, l’ASBH y participe avec des réalisations confectionnées par les enfants, en utilisant du matériel de récupération. De nombreux exposants seront présents pour répondre aux questions des visiteurs. De nombreux exposants informeront sur les gestes environnementaux, comment réaliser facilement des économies d’énergie et beaucoup d’autres infos autour du sujet. L’ASBH proposera une restauration avec un couscous à 10 €, sur réservation, par tél. 03 87 85 27 10 ou mairie@mairie-petiterosselle.fr. Café, gâteaux, boissons. Ouvert non-stop de 10 h à 18 h. Entrée libre. Le centre social géré par l’ASBH participe au Festival Migrations en accueillant mercredi 28 mars, le spectacle de contes africains Baba yaga gogo, interprété par Chyc Polhit.
Le Festival Migrations a vu le jour en 2014 à l’initiative de l’Association d’action sociale et sportive du Bassin houiller (ASBH), l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), du Carreau – scène nationale de Forbach et de l’Est mosellan. Ce festival jalonné de conférences, soirées, films, documentaires, expositions et spectacles sur une vingtaine de communes, a pour but de faire découvrir à un public large les cultures qui composent le bassin houiller résultant de migrations. Rendez-vous est donné mercredi 28 mars, à 14h30, pour le spectacle Baba yaga gogo, au centre social du Bas-Steinbesch, à Faulquemont. Spectacle tout public. Inscriptions gratuites au 03 87 94 32 65. Des drapeaux, des traditions culinaires ou vestimentaires, des histoires… Ce dimanche, à partir de 10 h, le centre social du Wiesberg se transforme en un village cosmopolite. Vingt et une communautés cohabitent au village « Tédoutoi ». C’est la deuxième édition de cette manifestation qui s’inscrit dans le cadre du festival Migrations, organisé par l’ASBH et l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF).
Le village a déjà ouvert ses portes hier en fin d’après-midi, pour l’inauguration. Chaque communauté est représentée à un stand, où l’on découvre ses spécificités. Et les habitants de ce petit village éphémère ne sont autres que ceux du Wiesberg, qui mettent ainsi en avant la diversité de la population et son esprit de tolérance et d’ouverture. C’est devant une salle comble que s’est tenue ce dimanche la traditionnelle "Journée de la femme" organisée par le Syndicat d’Initiative en partenariat avec la ville de Creutzwald. C’est une journée où les femmes sont reconnues pour leurs réalisations, sans égard pour les divisions, qu’elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, économiques ou politiques. C’est une occasion de faire le point sur les luttes et les réalisations passées, et surtout, de préparer l’avenir et les opportunités qui attendent les futures générations de femmes.
Un programme riche La journée a commencé par un repas servi par les bénévoles de l’association Solidarité Gueules Noires qui ont œuvré au service tout au long de l’après-midi. Diverses manifestations variées étaient au programme de l’après-midi. Parmi elles, on notera la présence de Noémie Sarati, reine de la Mirabelle, d’Annie Parlagreco, titulaire de la Légion d’honneur, de Marie-Noëlle Vingert, présidente de l’association Karibu, venues témoigner parmi d’autres de leur engagement en temps que femme et apportant la preuve que les femmes sont actives, porteuses de projets, motivées et pleines d’ambitions. Une belle occasion pour célébrer les réussites des femmes, leurs victoires et les luttes qu’elles ont menées. À côté de ces témoignages, le public a pu profiter des défilés de l’atelier de Rose et de l’atelier d’insertion couture de l’ASBH. De nombreuses autres animations ont par ailleurs permis e montrer que de se battre pour les droits des femmes, c’est se battre pour les droits humains en général. Dans le cadre du Festival Migrations, une animation sera proposée le mardi 27 mars à partir de 18 h 30 à La Concorde. Au programme : des témoignages, une expo photos mettant en lumière le parcours migratoire de Rossellois et des danses du monde, une conférence de l’historien local Daniel Deutsch sur les migrations rosselloises à travers les âges, etc.
Le festival Migrations est organisé jusqu’au 7 avril par l’ASBH et l’ATMF dans 21 communes de Moselle-Est. Le festival a également été conçu pour découvrir d’autres cultures ou communautés et faire connaissance autour de moments conviviaux. Programme complet et actualités sur www.asbh.fr/Pages FB festival migrations. Le Festival des migrations existe depuis quatre ans à l’initiative de l’Association sociale du Bassin houiller (ASBH) de Cocheren et de l’Association des travailleurs marocains en France (ATMF).
Le festival a commencé lundi soir avec un concert jazz manouche par le quartet Hassli-Weiss qui a réuni quelque 200 personnes. Les festivités continuent tous les jours jusqu’au 7 avril avec des ateliers jeux du monde, café gourmand, atelier cuisine du monde, maquillage oriental, des expositions dont des portraits d’enfants de tous les continents par Olga Chevillote, des représentations théâtrales pour enfants, un repas aux saveurs orientales, des jeux en famille (quiz sur l’immigration) et la diffusion du film À bras ouverts , suivi d’un débat animé par Charles Roederer, de la Ligue des droits de l’Homme, mercredi 28 mars à 17 h 30. Renseignements : www.asbh.fr ou centre social Pioche, 03 87 63 72 15. Des élèves du lycée Felix-Mayer, et plus précisément ceux du club Radio Felix, ont prêté main-forte aux organisateurs du festival Migrations. Ils sont allés au-devant des Creutzwaldois pour les interroger sur ces problématiques, caméra au poing. On nous parle plus facilement, parce qu’en tant que jeunes, on a l’air plus "innocent" quand on évoque ces problématiques délicates. Certains veulent peut-être nous apprendre des choses. D’autres se disent qu’on est la future génération, alors c’est important de nous former… » Les lycéens de Felix-Mayer, à Creutzwald évoquent en ces termes leur projet dans le cadre du festival Migration. Ils ont réalisé des micro-trottoirs auprès des commerçants et sur le marché de la ville.
Lors de ces interviews, une même question est posée : "Pourquoi les migrations ?" « L’idée était de collecter les préjugés pour les confronter au regard "professionnel" d’un sociologue, Piero Galloro, qui venait faire une conférence le 21 mars », expose Ousman N’diaye, le responsable du centre social Les Peupliers. Aux micro-trottoirs des lycéens s’ajoutent ceux réalisés auprès des mamans de Creutzwald et des enfants dans les écoles par cinq bénévoles des centres sociaux. « Le terme "migration" peut s’entendre de plein de façon différente, fait remarquer Ousman N’diaye. Les enfants pensent aux oiseaux, au climat… » Les adultes, eux, pensent rapidement aux migrants. Dès familles venues d’Italie, Pologne pour travailler, jusqu’aux problèmes actuels, la pauvreté, le FN, la jungle de Calais… « La question est délicate, beaucoup ne voulaient pas nous répondre », témoignent les jeunes (ils étaient six impliqués dans le projet). « C’était le but de l’opération, non ? De provoquer la discussion pour ensuite les inviter à se joindre à la conférence… », rappelle Laura Piazza, responsable du service formation à l’ASBH. Les lycéens pourront encore rencontrer le sociologue, qui est aussi maître de conférences à l’université, le 29 mars. L’HÔPITAL. — Dans le cadre du festival Migrations, une cinquantaine de personnes ont assisté à l’après-midi organisée par l’ASBH. Les jeunes ont accueilli les visiteurs dès l’entrée de l’espace Albert-Mutz, en leur proposant un café ou un thé, puis ils ont présenté et commenté leur exposition. Ensuite, ils les ont invités à rejoindre la salle de projection où avant le film, les visiteurs ont pu débattre entre eux et avec les jeunes. Ils ont projeté des petites vidéos qui reprenaient les thèmes des panneaux de l’exposition, à savoir l’intégration des migrants, les manifestations, les enfants en danger, les conditions de vie dans les camps de réfugiés et la traversée, pour faire réagir les spectateurs.
L’après-midi s’est poursuivi avec la projection du film La mécanique des flux suivi d’un débat avec Jean-Paul Banzet d’Amnesty International. Les spectateurs ont félicité les jeunes pour la qualité de leur travail et leur gentillesse. Le directeur de l’ASBH les a remerciés pour leur implication et a souligné qu’ils étaient source d’espoir et qu’ils permettaient, grâce à leur action, de croire en un avenir meilleur. |
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