Jordan Mayer est l’un des jeunes engagés dans le service civique volontaire auprès de l’ASBH. Il a toujours connu le centre social. Il y venait déjà lorsqu’il était gamin et a toujours souhaité travailler dans ce domaine. A 17 ans Jordan Mayer obtenait son BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) et plus tard le BPJEPS (Brevet professionnel de la jeunesse de l’éducation populaire du sport). C’est après l’obtention de ce diplôme qu’il décide d’effectuer son service civique, toujours dans le domaine du social et de l’animation.
La première phase de son service est de prendre contact avec le public et, conjointement avec les animateurs, élaborer des projets réunissant les deux publics cibles de l’ASBH les enfants de 11 à 18 ans et leurs parents. Ce qu’il aimerait c’est que puisse se concrétiser un séjour parents-enfants. « Dans un premier temps, il faut pouvoir toucher les jeunes. » Jordan s’est rendu compte que la majorité de ceux qui venaient à l’ASBH connaissaient l’association grâce à leurs parents. Cela s’est vérifié la seconde semaine des vacances d’hiver, où la majorité des jeunes venus s’inscrire étaient les enfants des parents qui fréquentent les café détente animés par Karima Ettayeby. Mais qu’en est-il des autres ? Difficile de toucher les jeunes « L’autre jour je parlais avec des ados au city stade, et j’ai très étonné de voir qu’ils ne connaissaient pas l’ASBH alors que le centre social se situe seulement à quelques mètres et qu’ils passent devant tous les jours. » Face à ce constat, il essaie de trouver un moyen d’attirer les jeunes vers l’ASBH. Il a déjà essayé de leur parler directement dans la rue ou par l’intermédiaire des réseaux sociaux, mais il n’y a eu aucun retour. Alors il va essayer de les atteindre via les collèges et les lycées. Et si cela ne marche toujours pas, il testera encore différentes approches pour trouver la meilleure. Pas de journée type Une autre contrainte subsiste aussi. En tant que volontaire au service civique il ne peut agir seul et doit toujours être accompagné un animateur. Ce qui n’est pas chose aisée puisqu’il doit effectuer 24 heures par semaines minimum et que les animateurs sont sur des contrats qui varient entre 12 et 24 heures par semaine. « Je n’ai pas de journée type, confie-t-il, et mes horaires sont variables. Mais c’est aussi ce que j’aime, aucun jour ne ressemble à un autre. » A la fin de son service civique il espère avoir pu concrétiser ses projets. Les commentaires sont fermés.
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