L’Union sportive de lutte, aidée par plusieurs partenaires, a mobilisé une trentaine de personnes samedi pour une noble cause : débarrasser plusieurs quartiers des détritus abandonnés. Plusieurs équipes de bénévoles ont sillonné la commune dans le cadre de l’opération Ville propre lancée par l’Union sportive de lutte, jeune association créée à Creutzwald. Celle-ci a mobilisé une trentaine de bénévoles, qui ont sillonné plusieurs quartiers pour ramasser tous les détritus abandonnés qui dégradent le cadre de vie. L’opération a été fédérée avec l’appui du centre social ASBH du Breckelberg, en accord avec les services techniques de la Ville. et un certain nombre d’associations locales.
Hassan Taarimte, président de cette association, explique : « Nous voulons sensibiliser les personnes aux gestes civiques et au respect de l’environnement. » Le vice-président Amin Abou Dahab renchérit : « Nous souhaitons donner une image différente de nos espaces de vie et mettre l’accent sur la nécessité de placer cette opération comme un levier à la citoyenneté et au civisme. » Cette opération est appelée à se renouveler avec de plus en plus de bénévoles. L’ensemble des équipes a convergé vers le plan d’eau pour une collation servie vers 12 h. L’allaitement maternel est un choix personnel qui s’offre à chaque maman quelle que soit sa condition personnelle, sociale et professionnelle. Ses bienfaits ne sont plus à démontrer. L’allaitement constitue, pour l’enfant, l’alimentation la plus adaptée à son développement.
Dans le cadre de la semaine mondiale de l’allaitement maternel, l’équipe de la protection maternelle et infantile (PMI) de Creutzwald, les puéricultrices, sages femmes du centre et libérales, organisent le jeudi 17 octobre de 9 h 30 à 12 h, au centre social ASBH du Maroc, une matinée d’informations sur l’allaitement maternel. Les membres de l’Union sportive de lutte organisent, le samedi 19 octobre, une matinée de nettoyage. Cinq points de rendez-vous ont été fixés. L’objectif est d’améliorer le cadre de vie et d’inciter à plus de civisme. Emballages de tous types jetés dans la nature, mobilier ou simples mégots de cigarettes sur les trottoirs : les déchets sauvages sont devenus partie prenante de notre quotidien. Au-delà de l’incivisme, il s’agit d’un véritable fléau environnemental qui présente un impact négatif sur la biodiversité.
Face à cette situation, les membres de l’Union sportive de lutte, jeune association créée à Creutzwald, ont décidé de mobiliser la population pour une grande opération de nettoyage de la ville. Hassan Taarimte, président de cette association précise : « Nous voulons sensibiliser les personnes aux gestes civiques, au respect de l’environnement… ». Le vice-président Amin Abou Dahab, renchérit : « Nous souhaitons donner une image différente de nos espaces de vie et mettre l’accent sur la nécessité de placer cette opération comme un levier à la citoyenneté et au civisme ». Un moment convivial pour faire connaissanceUn petit comité, réunissant différents partenaires tels la ville, la CCW, le CMSEA, l’équipe des animateurs du centre social, différentes associations et les bailleurs sociaux, s’est créé au sein du centre social ASBH Les Peupliers pour tenter de définir la possibilité et les modalités de cette opération. L’action est prévue le samedi 19 octobre de 9 h à 12 h 30. Cinq points de rendez-vous ont été déterminés : le centre social du Breckelberg, le centre social du Maroc, le city stade du Neuland (rue de Metz), le parvis de l’église Fatima et le parvis de l’hôtel de ville. Sur place, un référent vous remettra gants, sacs-poubelles. Il est conseillé de revêtir un gilet fluorescent pour des raisons de sécurité. Vers midi, l’ensemble des équipes convergeront vers le lac (piste de danse) où une collation sera proposée. Cette année encore, Audaces’s participe au festival du film arabe. Lundi 7 octobre à 13 h 30, le film Les hirondelles de Kaboul , d’une durée d’une heure et demie, sera projeté suivi d’un goûter-débat avec la participation des élèves du collège Alexandre-Dreux.
À 18 h 30, un accueil convivial aura lieu aux Délices d’Orient avec vente de boissons, pâtisseries et d’apéritifs orientaux. Les pâtisseries sont offertes par l’APSF. À 20 h 30, le film Sawah sera diffusé suivi d’un débat en présence d’Adold El Assal, réalisateur, producteur et scénariste. Gaétan Vecchio confie : « C’est notre rôle de relayer ce festival jusque dans nos quartiers. Nous y travaillons en partenariat avec l’ATMF de Saint-Avold, l’ASBH de Creutzwald et la Ligue de l’enseignement. » Renseignements au 03 87 92 27 98. Entrées gratuites. Une journée de préparation à la rentrée a réuni vingt et un animateurs et intervenants du périscolaire au centre social ASBH Maroc. Marie Rose Becker, responsable du service périscolaire, précise « qu’il s’agit de mettre en place toutes les conditions afin que les enfants puissent s’épanouir le mieux possible. »
Le projet éducatif est un outil de partenariat autour d’une responsabilité éducative partagée entre les familles, les équipes éducatives, les associations et la collectivité. Il garantit la prise en compte équitable des ressources éducatives en direction des enfants. Il les associe tous sans distinction ni discrimination et reste placé sous le signe des valeurs républicaines de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité. L’objectif pour l’ASBH est de favoriser la réussite éducative et scolaire de tous et de permettre à chacun d’entre eux de devenir autonome et responsable. Les temps périscolaires sont des moments éducatifs à part entière : chaque enfant est amené à découvrir l’environnement, la citoyenneté, les sciences et multimédia, les langues et civilisations, les arts plastiques… et ce au cours de sa scolarité. Les inscriptions se font dans les écoles, en fin d’après-midi auprès des animateurs du périscolaire et au plus tard la semaine qui précède l’accueil de l’enfant. Au centre social ASBH du Maroc, Michaël, éducateur sportif assisté de Samir, a pris en charge un groupe de sept jeunes pour une quinzaine de jours. « Nous avons proposé un programme diversifié afin de répondre au mieux aux besoins et attentes de chacun. Le programme était tourné vers des activités de découvertes sportives et ludiques : natation, parcours d'aventure en forêt, tyrolienne, volley-ball, pétanque, cinéma et VTT. Celles-ci représentaient les supports qui permettaient à nos intentions pédagogiques de devenir réalité », précise Michaël.
L’idée était de rappeler certaines valeurs dans un monde « du chacun pour soi ». Certaines activités, comme celles choisies par l’équipe de l’ASBH, sont devenues prétextes pour les valoriser. En identifiant ses forces et ses faiblesses, l’adolescent s’approprie des stratégies qui lui permettront de réussir dans la vie et de réussir sa vie. Celui qui se perçoit comme quelqu’un de bien aura des attitudes positives pour mettre en place des projets d’avenir, développer des relations. Pour le jeune, c’est lui permettre d’accéder à son identité et se donner ainsi des moyens de progression individuelle pour une amélioration du « vivre ensemble ». C’est s’autoriser à être acteur de sa vie, à être responsable, à rester tourné vers l’autre. Le résultat des deux semaines ayant dépassé les attentes, une troisième semaine d’activités est d’ores et déjà prévue. Chaque structure d’accueil doit rédiger son projet d’établissement. Une réflexion est donc en cours au centre social ASBH “Les Peupliers”, afin d’établir un projet social pour les années 2020-2024. Le centre social dit “Les Peupliers” doit établir un projet social pour les prochaines années. Abdelkader Lalami, qui a pris la responsabilité du centre social au 1er juillet, évoque une « démarche constructive partagée ». Un projet d’action sociale globale autour des habitants de son territoire.
Ce dernier rajoute : « L’élaboration du projet social par le centre est un temps privilégié pour savoir d’où l’on vient et où on va, une démarche à construire avec de nombreux interlocuteurs qui peuvent avoir des centres d’intérêt différents. C’est un outil au service du sens général qu’il souhaite impulser à son action et de la prise en compte des problématiques des habitants mais aussi de leurs ressources et potentiels. » Susciter l’envie d’agir Tout le processus de renouvellement du projet social s’élabore avec et pour les habitants. C’est une démarche concertée, partagée, qui doit faire émerger les véritables attentes, besoins, souhaits des habitants. C’est aussi une porte d’entrée, un prétexte pour aller chercher les habitants. Et les mettre en dynamique, pour les faire prendre conscience des possibilités offertes par le centre social, pour susciter l’envie d’agir, de s’impliquer davantage. Le processus d’élaboration est en cela une véritable expérience démocratique qui s’inscrit dans l’exercice d’une citoyenneté de proximité de celles et ceux qui y prennent part. Lors de chaque rencontre, les participants sont en relation avec un ou plusieurs autres individus du groupe. « Les méthodes et les outils contribuent à ce que chaque individu trouve un bénéfice à collaborer et sa propre performance au sein du groupe est meilleure que s’il était isolé. Ces phénomènes répétés contribuent à produire de l’intelligence collective et d’établir un plan d’actions bénéfique pour tous », conclut le responsable. L’accueil de loisirs (AL) propose d’accueillir les enfants à l’occasion de leurs vacances d’été. Les AL suggèrent des activités de loisirs à des enfants âgés de 3 à 13 ans. Au centre social ASBH de la cité Maroc, le thème retenu pour la première semaine était « Sur la piste des continents » avec un objectif, l’ouverture au monde et aux cultures.
L’équipe d’animation, constituée de Melody, Joséphine, Shanèse, Christel, épaulées par Ophélie, Aurore et Kelly (bénévoles) et par le personnel (René, Alain et Carole), a préparé trois temps forts pour cette semaine d’activités : une initiation au didjeridoo avec Mitch de Triton Squad, une sortie d’une journée à Walygator et une journée d’activité Fun’Bubble. Vers un épanouissement de l’enfant Mitch fait résonner son instrument, ce qui permet aux enfants de profiter d’un moment de relaxation et d’évasion au gré des vibrations bienveillantes du didjeridoo, invitant au voyage d’un cavalier solitaire sur un cheval au galop au milieu d’une aurore boréale. Les études scientifiques et les initiatives mises en œuvre sur le terrain montrent que la sensibilisation aux pratiques culturelles et artistiques favorise, la curiosité, la construction et l’épanouissement de l’enfant, dès le plus jeune âge et avant même l’entrée à l’école maternelle. Nadia, directrice de l'accueil de loisirs, précise les objectifs poursuivis : « Permettre aux enfants la découverte, l’expérimentation et la pratique d’activités artistiques et culturelles, favoriser le développement de la créativité, de l’imagination et de la curiosité et faire vivre de vrais temps de vacances et de loisirs. » Pour conclure la fête du jeu, vendredi soir dernier les animateurs du centre social ASBH du Maroc ont proposé un « escape game », jeu d’évasion réel, très prisé des adultes. Cette activité d’équipe ludique et cérébrale, réuni les amis, la famille, les collègues, par équipe de 3 ou 4 personnes, pour vivre une expérience insolite et amusante le temps d’une soirée. Les invités doivent résoudre une énigme le temps d’un dîner. Pour donner plus de théâtralité à la scène, le personnel du centre s’est associé à la troupe des Baladins du Warndt pour rendre le jeu encore plus vrai.
Un nombre grandissant d’amateurs apprécient dans ces jeux d’évasion, le mélange entre adrénaline et esprit d’équipe. Ce qu’ils préfèrent peut-être par-dessus tout, c’est le travail d’équipe nécessaire à la résolution de l’énigme. « Il faut savoir s’organiser, communiquer, c’est vraiment intéressant d’observer que chaque membre de l’équipe trouve sa place dans l’aventure avec des compétences qui lui sont propres ». Au cours d’une partie, « certains sont des chercheurs, d’autres des coordinateurs, d’autres sont plus doués quand il s’agit de résoudre des énigmes de logique ». Au-delà de l’amusement, un escape game peut donc aider à souder des amitiés. « C’est un divertissement bien moins abrutissant que ce qui peut être proposé sur le marché ». Une semaine d’aventures et de découvertes a été proposée aux jeunes de 6-13 ans fréquentant le centre social ASBH Maroc dans le cadre de l’accueil de loisir sans hébergement. Avec leurs animateurs (Habiba, Laetitia, Bachir, Shanese, Melody et Nadia), les jeunes du centre social ASBH de la cité Maroc sont devenus acteurs d’une aventure passionnante, riche de découvertes, d’émotions, de partage, dans des espaces de liberté et de rencontres inoubliables.
Apprendre à vivre ensemble Nadia, responsable de l’animation précise les objectifs de la semaine : « Notre volonté est de promouvoir, dans un esprit familial, les valeurs de citoyenneté, de convivialité et de solidarité. Chaque jeune est unique et les loisirs sont des moments importants permettant la construction des individus. En ce sens, les enfants accueillis doivent donc se trouver en situation d’exprimer, d’imaginer, de réaliser et d’innover. Ces initiatives sont notamment provoquées par le jeu et l’animation devient alors une véritable philosophie comportementale de vie. Une semaine de séjour invite l’enfant à se découvrir un peu plus soi-même, à au contact des autres. Nous proposons aux jeunes de découvrir la vie en collectivité dans un contexte nouveau, en dehors du cadre scolaire et familial. L’initiative, l’autonomie et la prise de responsabilités y sont favorisées. » Pour clore la semaine, le groupe est resté une journée au parc Tepacap à Bitche où la grande diversité de jeux insolites et d’attractions ont ravi les enfants. |
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