Jusqu’alors, l’ASBH s’occupait de l’accueil périscolaire à Théding et du centre social Saint-Exupéry à Farébersviller. Mais les deux municipalités ont décidé de stopper ces partenariats et de confier les activités et missions à de nouvelles associations. Les deux communes sont voisines et ont décidé de prendre la même décision, quasiment au même moment : le partenariat qu’elles ont noué avec l’ASBH (Action sociale du bassin houiller) il y a plusieurs années est rompu. Théding choisit l’Opal À Théding, le changement est effectif depuis ce 1er janvier. L’Opal (Organisation populaire et familiale des activités de loisirs) remplace l’ASBH. Le maire, Jean-Paul Hilpert , ne souhaite pas s’étaler « sur les griefs à l’encontre de l’ASBH » et tient plutôt à rendre hommage à l’association. « Nous sommes allés les trouver en 2008, à une époque où nous travaillions en régie et ils ont réussi à structurer le service périscolaire. Ils ont beaucoup de mérite et nous nous quittons en bons termes », assure l’élu. Pourquoi choisir l’Opal alors ? « Cette association, déjà présente à Folkling par exemple , apporte des idées nouvelles, un type de relations nouveau, avec lesquels la municipalité est davantage en phase aujourd’hui », explique le maire. Qui tient à rassurer parents et enfants qui fréquentent le périscolaire : « Il n’y aura aucune différence pour eux : le personnel de l’ASBH est repris par l’Opal, le coût et les services seront similaires. Il y aura toujours la cantine, l’accueil après la classe et le centre de loisirs pendant les vacances. » Une toute nouvelle association à Farébersviller
À Farébersviller aussi, le personnel sera repris. Mais le changement n’interviendra que dans six mois. « La décision a été prise en bureau municipal, elle fera l’objet d’une délibération en conseil municipal. Nous avons rompu la convention et il y a un délai de carence, indique Omar Ouriaghli, adjoint au maire. Une toute nouvelle association, Elan, va gérer le centre social. » Là encore, l’élu ménage l’ASBH, « avec qui nous avons très bien travaillé. Mais nous avons fait un constat : le nombre d’usagers du centre social a baissé, la fréquentation des familles a diminué. Nous souhaitons donc donner une nouvelle orientation, une nouvelle impulsion. L’association Elan présente un projet qui est plus en adéquation avec la politique municipale », souligne Omar Ouriaghli, tout en assurant que « les chantiers d’insertion de l’ASBH à Farébersviller, eux, vont se poursuivre. » Sébastien Goeury et Rocco Saccucci, respectivement président et directeur de l’ASBH , regrettent évidemment les décisions prises à Théding et Farébersviller, « mais nous les acceptons. Notre préoccupation première, ce sont les usagers et le personnel. » Dans les deux cas, il n’y aura pas d’interruption des activités et les salariés sont repris pour les nouveaux prestataires. « Des situations comme celles-ci reviennent tous les six ans, après les élections municipales, quand il y a un changement de maire ou un renouvellement de l’équipe autour du maire réélu, souligne Sébastien Goeury. Des municipalités ont alors une vision du social qui n’est pas la même que l’ASBH, elles pensent et veulent faire autrement. » Le président concède néanmoins que « nous avons aussi nos torts ». Rocco Saccucci précise quant à lui qu’à Théding, l’ASBH n’a tout simplement pas répondu à l’appel d’offres lancé par la mairie car « on y travaillait à perte ». Il assure également que ces deux ruptures « ne mettent pas l’ASBH en difficulté financière. » Développement d’activités dans plusieurs communes Surtout, les deux responsables de l’association annoncent des nombreux projets, à la demande d’autres communes. « À Forbach, nous allons nous développer dans les quartiers de Marienau et du Creutzberg. Dès janvier, deux personnes seront sur le terrain pour évaluer les besoins des familles et nous souhaitons démarrer les activités avant l’été », explique Sébastien Goeury. À Stiring-Wendel, le démarrage d’un chantier d’insertion de remise en étant de meubles dans l’ancienne école du Grossfeld est la première étape de la création d’un pôle solidaire. À Forbach et Saint-Avold, de nouveaux chantiers d’insertion liés à la filière laine devraient voir le jour. À Freyming-Merlebach, un poste d’adulte-relais va être créé au Beerenberg , en lien avec la Ville, le CCAS et l’État. Enfin, l’ASBH est en négociation avancée avec une grande ville de Moselle-Est pour y étendre ses activités, et va se positionner dans les mois qui viennent sur des appels d’offres relatifs à la petite enfance (crèches et multi-accueils). L’équipe du centre ASBH de Bellevue s’est retroussé les manches pour confectionner huit repas entre le 21 et le 31 décembre, pour 70 personnes habitant la commune. Des repas rendus possibles grâce à une grande chaîne de solidarité entre élèves, mamans, bénévoles et magasins. Il règne une ambiance festive au foyer ASBH (Association d’action sociale et sportive du bassin houiller) du Bruch, en ce 31 décembre. Les enceintes hurlent une musique actuelle, tandis que des dizaines de barquettes sont disposées bien sagement sur de longues tables. Malgré ces indices, il n’y aura pas de repas solidaire organisé pour le Nouvel an. Covid oblige, ce repas traditionnel a été annulé. Mais l’équipe du centre social ASBH de Bellevue, qui, dépourvue de cuisine, squatte celle du Bruch, n’a pas rangé ses spatules et casseroles pour autant. Depuis le 21 décembre, elle a préparé non pas un mais huit menus, dont le dernier a été livré ce jour de passage à l’année 2021.
« Les gens ne pouvaient venir à nous, nous sommes donc allées à eux », explique Anna Giglia, responsable du centre de Bellevue. « Nous avons confectionné huit repas depuis le 21 décembre, que nous livrons à chaque fois à une vingtaine de familles, soit 70 personnes, sur toute la ville de Forbach. » Parmi ces heureux bénéficiaires, des foyers avec enfants, mais aussi des personnes isolées. « Certaines ont les larmes aux yeux qu’on pense à elles », se félicite la Lorraine. Calendrier inversé Ces repas ont bénéficié des « compétences de maman » de la vingtaine de bénévoles qui ont confectionné les plats, dont certains fleuraient bon l’origine de ces cuisinières amatrices, comme des couscous, des boulettes de viande ou des pâtes à la bolognaise. Des menus qui trouvent leur origine dans deux écoles, celles de Marienau et Bellevue, qui ont participé du 1er au 18 décembre à un calendrier de l’Avent inversé . « Au lieu de recevoir des friandises, les enfants et leurs parents étaient invités à déposer des denrées alimentaires, des produits d’hygiène et des vêtements, pour réaliser les repas et les colis qui les accompagnent. » Parmi les partenaires qui ont permis ces livraisons, figurent également Cora et BM Market pour les produits frais et la viande, ainsi que Greff Papier pour les emballages, le CCAS de Forbach et des familles de Petite-Rosselle qui ont fait don de jouets. Une belle chaîne de solidarité. Le centre social ASBH de la Chapelle a préparé un repas solidaire, qui bénéficiera à 60 personnes pour le Nouvel an. Un exercice auquel sont rompus les animateurs du centre et notamment Lacène Scherer, qui prépare des menus toute l’année pour les personnes isolées ou démunies. Lacène Scherer évolue dans la cuisine comme un poisson dans l’eau. Le bouillon qu’il prépare en ce 30 décembre est destiné aux bouchées à la reine qui constitueront le plat principal du repas solidaire du Nouvel an, offert à 60 habitants du quartier de la Chapelle, à cheval entre Freyming-Merlebach et Hombourg-Haut. En entrée, ces personnes isolées ou en difficultés financières, auront droit à une assiette terre-mer, avec terrine aux trois poissons, magret et crudités, et, au dessert, à une bûche et une crème brûlée. Des colis de produits d’hygiène, offerts par le Secours catholique, et des chocolats accompagneront les repas.
« C’est la septième année que nous organisons ce repas solidaire mais cette année, nous ne pouvons l’organiser au foyer, en raison des mesures sanitaires », explique l’animateur du Centre social de l’Association d’action sociale et sportive du Bassin Houiller (ASBH). La voilure a dû être réduite. 120 convives avaient partagé le repas en 2019. indispensables partenaires Si le Lorrain est si rompu aux arts culinaires, c’est qu’il prépare des repas pour les plus seuls et démunis depuis le premier confinement. Tous les mardis et vendredis, souvent aidés par Rémy Kern, un jeune cuisinier au chômage partiel qui vient bénévolement mettre la main à la pâte, il prépare des menus pour une vingtaine de personnes. Ces mêmes bénéficiaires qui ont savouré un repas de Noël un peu anticipé, le 18 décembre, tandis que la Maison des associations, le centre social et le CCAS organisaient un repas solidaire, le jour J, pour 100 habitants de Freyming, avec le concours du restaurant Le Pergola. Des partenaires indispensables, que Lacène Scherer met en avant. « Les repas solidaires de Noël et du Nouvel an ont pu être préparés grâce à la subvention des deux communes de Freyming et Hombourg-Haut. Les repas du mardi et vendredi sont réalisés grâce aux dons de la Conférence Saint-Vincent-de-Paul. Et le lycée Pierre-et-Marie-Curie a confectionné des plats gastronomiques trois mardis de décembre », souligne l’animateur, qui donne également des cours de cuisine, dispensés sur Facebook depuis le début de la crise sanitaire. Initiée par l’ASBH, une collecte de denrées alimentaires a été organisée au sein de l’école primaire La Chapelle de Freyming-Merlebach, à destination de l’association Saint-Vincent-de-Paul de Hombourg-Haut. Son président, Dominique Zins, ainsi que son vice-président, Hubert Lebleu, ont récupéré le fruit de la générosité des habitants du quartier et ont récompensé les élèves d’un sachet de chocolats. Soucieuse de développer l’esprit de fraternité des élèves, l’équipe enseignante reconduira cette action l’année prochaine et envisage de mener d’autres actions.
Un centre de loisirs de Noël réussi
Le centre social ASBH Saint-Exupéry, sous la direction de Salima, a organisé un ALSH spécial Noël de quatre jours. Une première pour ce centre de loisirs qui a obtenu un franc succès avec une vingtaine d’enfants de 3 à 11 ans. « Nous avons proposé de belles activités sur le thème des festivités et de succulents goûters ont réjoui les enfants », commente Salima. « Les parents nous ont aussi fait part de leur satisfaction. Nous avons pensé à la sécurité des enfants durant cette crise sanitaire et l’équipe pédagogique a été vigilante. » Salima et ses animateurs, Selim et Nabil, ont réussi leur challenge en ajoutant un centre de loisirs de Noël. Le prochain rendez-vous est fixé aux vacances de février. L’ASBH (Association d’action sociale et sportive du Bassin houiller) de Bellevue est venue mardi, en début d’après-midi, soutenir les résidents de l’Ehpad Les Cerisiers , à Forbach. Des animateurs et des bénévoles de l’association se sont retrouvés sous les fenêtres des personnes âgées pour leur offrir une petite animation. Le groupe a chanté et lâché des ballons dans le ciel. « Avec les familles du quartier, nous avons confectionné des biscuits de Noël que nous sommes venus offrir à la maison de retraite », expliquent Ludivine Bour, référente familles à l’ASBH de Bellevue, et Cécile Masachs, référente jeunesse.
Durant la période des fêtes, l’ASBH de Bellevue et du Bruch a mis en place plusieurs actions de solidarité. « Pendant les deux semaines de vacances scolaires, toute l’équipe et les familles vont aider ceux qui en ont le plus besoin. On fonctionne tous les jours et on confectionne des repas qu’on va distribuer aux personnes en difficulté qui ont été ciblées. On travaille avec le CCAS. Nous sommes soutenus par Cora et Élysée Cosmétiques qui nous offrent des produits. »
L’ASBH et le CCAS (Centre communal d’action sociale) ont assuré la distribution de colis de Noël à destination des seniors dans les résidences d’autonomie de Freyming-Merlebach, comme Sainte-Barbe ou la résidence Soleil. Une opération menée en lien avec la Ville. « Il est primordial de ne pas négliger les aînés souffrant d’isolement », explique Sarah Halbeher, responsable du centre social. « Même lorsque des seniors vivent en résidence autonomie, ils peuvent être touchés par cet isolement », un sentiment qui ne fait que s’accroître. « Plus d’une personne de plus de 60 ans sur trois ne sort pas de chez elle tous les jours », comme le souligne une étude des Petits frères des pauvres.
Créer du lien et travailler contre l’isolement La Covid et le confinement ont « fragilisé les liens sociaux qui sont nécessaires à tout individu, et il est important que les acteurs publics que sont la Ville, le CCAS et l’ASBH se mobilisent. » C’est ce qu’ils ont fait, par le biais de plusieurs actions, dont celle de la livraison de colis. « Au-delà de l’offre symbolique du cadeau, cette action a un double objectif, créer du lien social en échangeant avec les seniors » pour essayer de mettre en place éventuellement des actions. Mais aussi alerter « les encadrants des résidences pour que l’on puisse travailler ensemble contre l’isolement et les souffrances que cela peut engendrer. » Il s’agira donc de garder le lien, même après Noël. La ville de Freyming-Merlebach a décidé d’offrir un repas de Noël aux personnes « isolées et ou en situation de précarité » , explique Jean-Marie Haas, élu en charge du CCAS et de la politique de la Ville. L’opération a été menée en ce 24 décembre en lien avec le centre communal d’action sociale (CCAS) et l’ASBH, « pour cibler des personnes recensées par les deux structures ». En plus des livraisons, « un point de collecte a été mis en place au CCAS », ajoute Kadda Moghraoui, le directeur. L’opération s’est déroulée en lien avec le restaurant la Pergola, géré par Karine Savo. La restauratrice n’en est pas à sa première action solidaire, puisqu’elle était l’une des deux enseignes qui continuent ont accepté de fournir des repas aux Ehpad les week-ends, en lien avec l’association Simone-Veil. Des plateaux festifs à base de fruits de mer
Ce mardi, juste avant midi, les équipes du CCAS et de l’ASBH se sont rendues à La Pergola pour récupérer « un petit plateau festif » concocté par les chefs. « Il fallait un menu qui puisse convenir à tout le monde », glisse Jean-Marie Haas. Et c’est donc vers les produits de la mer, spécialité de la maison, que l’on s’est tournés. Au menu, « une déclinaison de poissons et de crustacés, avec des bouchées, et en dessert, un tiramisu », détaille Karine Savo. Pour un savoureux Noël ! La ville de Freyming-Merlebach, le centre communal d’action sociale et l’ASBH ont décidé de maintenir, mais sous une autre forme, les repas solidaires organisés chaque année les 24 et 31 décembre. Les colis et les repas seront livrés. Chaque année, à Freyming-Merlebach, une opération “repas solidaire” était organisée le soir du réveillon de Noël. « Il y avait une centaine de personnes, avec le repas, des animations, remises de cadeaux… », explique Jean-Marie Haas, élu en charge du CCAS et de la politique de la Ville. Impossible à imaginer cette année. « Mais il faut savoir s’adapter. » Des colis et des repas Ainsi est née l’idée, en lien avec le centre communal d’action sociale (CCAS) et l’ASBH, d’organiser les choses différemment, avec deux actions. « La première est la distribution de colis cadeaux, des paniers garnis », fournis en lien avec l’enseigne Leclerc de Betting, mais aussi Greff papier, installé également sur la zone artisanale. L’autre consiste « à proposer la livraison de repas confectionnés par un restaurateur local le 24 décembre. » Un premier contact
C’est notamment l’ASBH qui assurera les livraisons. « Cela nous permet de toucher des personnes âgées en situation d’isolement », explique Sarah Halbeher, responsable du centre social. « Et voir ce que l’on peut proposer comme action sociale sur les différents secteurs de la ville. » Autre idée, investir « les résidences autonomes, où des personnes vont potentiellement se retrouver seules… » et sans l’assistance d’une équipe de soignants. « Là encore, cela permet de prendre un contact et voir ce que l’on peut faire, quelles actions mener pour améliorer leur quotidien », ajoute Kadda Moghraoui, directeur du CCAS. Après Noël, la Chapelle fêtera son Nouvel an solidaire Et l’on commence déjà à penser à Nouvel an. « Le centre social la Chapelle organisait lui aussi un réveillon de la Saint-Sylvestre, avec plus d’une centaine de personnes et des repas confectionnés sur place par les équipes de Lahcène Scherrer », rappelle Jean-Marie Haas. « C’est un moment de partage, essentiel pour des personnes isolées. » Si les bénévoles seront à nouveau aux fourneaux ce 31 décembre, pas question de se réunir dans la salle du centre. « Les personnes seront invitées à venir récupérer leurs repas avec des rotations précises pour éviter tout rassemblement. » Ce qui permettra tout de même des échanges. « Les réflexions sont en cours pour mener d’autres actions », jusqu’au déconfinement, avec toujours le délicat espoir qu’il n’y aura pas de troisième vague… La Mission locale du Bassin houiller a organisé un atelier sur les droits des femmes, au centre social ASBH du Maroc, à Creutzwald. Une juriste a mis l’accent sur les risques qu’encourent les jeunes femmes en termes de violences conjugales, la tranche d’âge des 15-25 ans étant la plus touchée. Vendredi 18 décembre, le centre social ASBH du Maroc, à Creutzwald, a accueilli un atelier sur les droits des femmes, à destination de jeunes filles encadrées par la Mission locale pour l’emploi. Cette structure est un espace d’intervention au service des jeunes. Chaque jeune accueilli bénéficie d’un suivi personnalisé dans le cadre de ses démarches. La structure d’accueil apporte des réponses aux questions d’emploi, de formation mais aussi sur le logement ou la santé. Elle intervient dans l’insertion sociale et professionnelle des jeunes dans tous les domaines : orientation, formation, emploi, logement, santé, mobilité, citoyenneté, sports, loisirs, culture et d’accompagnement pour aider les jeunes de 16 à 25 ans à résoudre l’ensemble des problèmes que pose leur insertion sociale et professionnelle. La tranche des 15-25 ans la plus touchée
Différents ateliers sont ainsi proposés depuis début juillet : des séances de sport avec un coach sportif, des ateliers recherche d’emploi, un atelier sophrologie pour reprendre confiance en soi et un atelier avec le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles. Le CIDFF exerce une mission d’intérêt général confiée par l’État, dont l’objectif est de favoriser l’autonomie sociale, professionnelle et personnelle des femmes, ainsi que de promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes. À ce titre, lors de l’atelier sur les droits des femmes, une juriste a mis l’accent sur les risques qu’encourent les jeunes femmes en termes de violences conjugales, la tranche d’âge des 15-25 ans étant la plus touchée. Elle leur a présenté les différentes formes de violences : physiques, verbales, morales/psychologiques, sexuelles, économiques/administratives et la cyberviolence. Grâce à cet atelier, les jeunes femmes savent désormais vers qui se tourner en cas de difficultés pour elles ou l’un de leurs proches : 3919, CIDFF ou Mission locale. |
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