Un groupe de jeunes de l’AIPS et leur éducateur Mouncef Aoukachi organisent un tournoi de futsal unifié, auquel est associé l’IME De-Guise de Forbach. Un projet pour lutter contre les discriminations liées au handicap Mettre sur un terrain et dans une même équipe des joueurs de futsal valides et handicapés. Soit 60 jeunes, âgés de 13 à 17 ans, qui le temps d’une journée vont gommer leurs différences pour aller droit au but. Le samedi 3 février, un groupe de jeunes de l’AIPS (Association intercommunale de prévention spécialisée) et leur éducateur Mouncef Aoukachi organisent le premier tournoi de futsal unifié, au complexe Marcel-Cerdan de Farébersviller. « Il existe d’autres compétitions de ce type dans le secteur. Mais nous avons choisi cette activité pour lutter contre les discriminations liées au handicap », détaille Mouncef Aoukachi, référent du projet.
Le constat Une problématique qui n’est pas anodine, et qui résulte d’un constat fait sur le terrain par les équipes de l’AIPS. « Notre travail est d’aller à la rencontre des jeunes, dans la rue. On est souvent confronté à un public déscolarisé, en voie de marginalisation ou en situation de handicap. Ces jeunes sont la plupart du temps mis à l’écart durant les parties de foot ou de basket », analyse l’éducateur. Il s’agit parfois d’un frère, d’un cousin ou d’un oncle. « Ils ne sont pas complètement exclus, ni complètement intégrés. Par exemple, on leur demande d’aller dans les buts. C’est une façon de les protéger. Car il arrive que les jeunes disent des choses qu’ils ne pensent pas forcément », complète Daniel Dose, le directeur de l’AIPS. Ils reconnaissent en effet que leur langage n’est pas toujours approprié. « Mais ne voient pas ça comme de la discrimination. » Les éducateurs ont aussi analysé les équipements de proximité. « Et on s’est rendu compte que même s’il existe de bonnes volontés, l’intégration des jeunes handicapés est parfois difficile », souligne Mouncef Aoukachi. Le projet Les observations des professionnels confrontées au regard de la dizaine de jeunes engagés, issus des communes de Théding et Farébersviller, ont donné naissance à ce tournoi. « Ce projet fait partie d’un autre plus global mené par l’IME De-Guise. Nous travaillons avec Julien Aranda éducateur sportif de l’établissement forbachois, et président de la commission de football unifié du District mosellan. Il est également originaire de Farébersviller », développe Mouncef Aoukachi. Douze équipes ont été constituées avec des jeunes de l’AIPS, du centre social ASBH de Farébersviller, des clubs sportifs (US Far 05, Alliance Cocheren-Rosbruck, SSEP de Hombourg-Haut) et des établissements spécialisés (IME de Forbach et Guénange, Esat de Freyming-Merlebach et Petite-Rosselle, les Apogées de Marienau, l’IMPro de Morhange et le CAPS de Rosière-aux-Salines). « L’enjeu de ce tournoi est de permettre aux jeunes de se découvrir, entre l’idée qu’ils se font du handicap et la réalité, souligne Mouncef Aoukachi. Et peut-être que cette initiative permettra de créer une équipe de football unifié à Farébersviller… » Une partie des bénéfices du tournoi sera reversée à l’IME De-Guise, et l’autre utilisée par les jeunes pour un autre projet. Le programme Le tournoi de futsal unifié aura lieu le samedi 3 février, au complexe sportif Marcel-Cerdan de Farébersviller. • 10 h : début du tournoi • 16 h : plateau radio animé par des jeunes • 16 h 30 : finales • 17 h : remise des récompenses • en journée : remise des lots de la tombola organisée par les jeunes engagés de l’AIPS Entrée libre. Restauration rapide sur place. Renseignements : 03 87 04 74 02 Vanessa PERCIBALLI. Tous les mercredis, de 16 h à 17 h, une joyeuse bande d’ados anime l’émission de radio 57 Live Junior, diffusée via internet. Rencontre avec ces animatrices en herbe pleines d’envie et de spontanéité. Mercredi, 16 h tapantes. Derrière la vitre du studio, en régie, Sory Keita donne le signal. Derrière son micro, Amina, 13 ans, lance l’émission 57 Live Junior : « Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien… » Autour de la table, il y a ses copines Sawda, Nora, Hiba, Mayline et Dounia. Sans oublier le seul garçon du jour, Soane, en régie.
Un petit talk show C’est parti pour une heure de rubriques, de chroniques, de musiques, diffusées en direct via internet, sur le site www.57live.fr. La web radio existe depuis 2010. Et depuis un an, le mercredi après-midi, c’est la libre antenne des ados. Dans l’émission, on parle de tout. Sawda est la spécialiste de la téléréalité ; Hiba « la miss météo », comme elle le dit avec le sourire ; Dounia distille les infos, du monde entier… Une joyeuse bande de chroniqueuses, et Amina dans le rôle de l’animatrice. Elle passe la parole aux unes et aux autres, lance les différents titres qui passent à l’antenne. Rubriques et squelette Pour tenir une heure en direct, les ados ont travaillé en amont. « On vient avec une idée pour notre rubrique, on en discute entre nous et ensuite on écrit le texte », explique Sawda, quelques minutes avec la prise d’antenne. « On fait aussi notre squelette, le schéma de l’émission », ajoute Amina. Sur leurs filles, les filles raturent, corrigent, modifient leurs textes jusqu’à la dernière minute. Malvina, animatrice de l’ASBH, les aide. Avec Sory, c’est l’autre adulte qui encadre l’émission. Des hésitations mais pas d’appréhension Une fois à l’antenne, les rubriques s’enchaînent. Aujourd’hui, Dounia parle du sauvetage héroïque d’un bébé, Soane du procès de Jawad Bendaoud, Hiba des crues des rivières et fleuves. Un sujet qui déclenche spontanément une discussion entre les chroniqueuses, à propos des inondations qui ont eu lieu dans la cité de Farébersviller il y a quelques jours. Au micro, il y a bien quelques hésitations, quelques bafouilles. Mais pas d’appréhension pour ces ados. « Au tout début, il y avait un peu de stress. Maintenant, c’est naturel », souligne Nora. L’émission 57 Live Junior leur donne, depuis un an, l’occasion de s’exprimer, avec un certain talent et une bonne dose de créativité. Pascal MITTELBERGER Le parc central de la cité de Farébersviller sera le théâtre d’une manifestation originale le 23 juin prochain : une course de caisses à savon. Certains des bolides en lice vont être fabriqués par des adolescents de la commune. Dévaler une pente, plus ou moins forte, à bord d’un "bolide" fabriqué de bric et de broc, joliment décoré : c’est le principe de la caisse à savon. Dix adolescents de Farébersviller, âgés de 11 à 17 ans, vont s’atteler à la construction de différents modèles, pendant les vacances du mois de février. Objectif final : prendre le départ d’une course, dans leur ville, le 23 juin prochain.
Une histoire de passionnés A l’origine de ce projet insolite, il y a deux hommes. Tout d’abord le Béningeois Michel Lesniak, toujours dans le coup quand il s’agit de quelque chose sur quatre roues. Et aussi Cédric Perlinski, époux de l’adjointe au maire en charge de la jeunesse, Nuran Perlinski. Ces deux passionnés de caisse à savon font connaissance l’été dernier. Le projet d’une course prend forme. Cela va même au-delà. A partir de matériaux recyclés « Le conseil municipal des jeunes a adhéré à l’idée », indique Nuran Perlinski. L’ASBH fait aussi partie des partenaires. Si la course est programmée au tout début de l’été, le travail a d’ores et déjà démarré pour dix adolescents de la commune. « Nous allons construire des caisses à savon avec eux pendant les vacances du mois de février », indique Michel Lesniak. « Ils ont déjà commencé à récupérer des choses à gauche et à droite, ils ont encore six semaines pour le faire ; L’objectif est d’utiliser uniquement des matériaux recyclés pour construire les voitures », poursuit Cédric Perlinski. Par exemple des roues de vélos ou de poussettes, du métal ou du bois pour la structure, ou encore du carton pour la "carrosserie". Une petite pente dans le parc central Pendant les vacances de février, Michel Lesniak, Cédric Perlinski et son père Richard, lui aussi passionné, animeront l’atelier de fabrication. « Les adolescents vont pouvoir s’exprimer, faire parler leur créativité », souligne Cédric Perlinski. Cette phase de construction va durer jusqu’à la course. Le 23 juin, les caisses à savon des adolescents s’élanceront dans le parc central de la cité, derrière le centre social Saint-Exupéry. « Le départ se fera au niveau de la chaufferie. De là, on empruntera un chemin goudronné », explique Michel Lesniak. « C’est une petite pente, sans risque pour les enfants », ajoute Cédric Perlinski. Cette course, qui pourrait aussi accueillir d’autres pilotes de caisses à savon, se déroulera dans le cadre des animations de la journée "Fare en fête". Pascal MITTELBERGER. Mercredi après-midi, au centre social ASBH Maroc, les enfants ont été invités à rencontrer la Befana, une petite vieille absolument culte en Italie. Elle signale le 6 janvier (jour de l’Epiphanie) la fin des décorations de Noël et, selon la tradition, vient distribuer aux enfants sages des jouets et friandises et du charbon aux enfants qui ne l’ont pas été…
Marie-Rose Becker, responsable du centre social, précise : « Pour la troisième année consécutive, nous organisons cette fête en partenariat avec la Ligue culturelle italienne, avec le soutien de la ville et du conseil citoyen. Le centre accueille déjà les cours d'italien et il est normal de proposer à nos usagers une ouverture culturelle. Cet après-midi est aussi placé sous le signe de l'intergénérationnel puisque nous accueillons des résidents de La Coulée Verte avec lesquels nous partageons de nombreuses opérations au cours de l'année ». Durant une heure, les enfants accompagnés de leurs parents, ont pu profiter du spectacle Francky fait son cirque proposé par Francky Brisco, clown, magicien et jongleur. En fin d'après-midi ils ont été récompensés par la Befana qui leur a distribué des friandises. Une nouvelle année a démarré pour le centre social ASBH qui accueille tous les mercredis les enfants âgés de 6 à 12 ans, pour des après-midis ludiques ou des sorties. Un spectacle est en préparation. En ce début d’année, les animatrices Michèle et Mylène du centre social ASBH de Faulquemont ont proposé une animation innovante : imaginer un spectacle mettant en scène des marionnettes.
Parlez-nous de ce projet… Michèle GIESEN : « Nous avons souhaité sortir des sentiers battus et proposer autre chose aux enfants. C’est un projet qui va nous occuper pendant quatre semaines. Avec les enfants, nous allons écrire une histoire, puis fabriquer les marionnettes en carton et les décors. Le 3e mercredi, nous allons apprendre à les manipuler et nous mettre en situation. Enfin, le mercredi 7 février, après une ultime répétition, les participants présenteront leur spectacle devant leur famille ». Quel est l’objectif de ce projet ? « Faire un spectacle de marionnettes est une excellente façon de laisser les enfants jouer à des histoires imaginaires qui n’ont pas de limites. Les enfants sont par ailleurs avides de création lorsqu’il s’agit des petits êtres en carton à qui ils vont donner vie. » Pouvez-vous nous dévoiler le pitch de l’histoire ? « Les enfants ont fait le choix de personnages de fiction appartenant à l’univers des Comics comme le Joker, Batman et Hulk, mais aussi de héros de cinéma, tels que la princesse Leia, héroïne de Star Wars , d’ Harry Potter , ainsi que d’animaux, en l’occurrence un gorille et un chat. Les scénaristes en herbe ont imaginé de les faire se rencontrer à travers un voyage spatio-temporel… » Mercredi 17 janvier : fabrication de marionnettes et décors en vue du spectacle. Mercredi 24 janvier : sortie détente et jeux à Coco Park, à Saint-Avold. Mercredi 31 janvier : répétition du spectacle. Mercredi 7 février : présentation du spectacle à 16 h et goûter avec les parents. Mercredi 14 février : On fête carnaval, création de masques et d’un arlequin articulé, suivie de la préparation de crêpes. Mercredi 21 février : sortie cinéma à Freyming-Merlebach. Les enfants se retrouvent les mercredis (hors vacances scolaires), de 13h à 17h, au centre social du Bas-Steinsbech à Faulquemont. Les prix varient de 4,50 € à 6 € pour les activités au centre et de 7,50 € à 9 € pour les sorties. Inscriptions au centre social, place du Bas-Steinbesch à Faulquemont, du lundi au vendredi de 9 h à 12h et de 14h à 18h. Tél. 03 87 94 32 65. Fax : 03 87 94 49 81. Mail : asbhfaulquemont@orange.fr Une nouvelle année a démarré pour le centre social ASBH de Faulquemont qui accueille tous les mercredis les enfants âgés de six à douze ans, pour des après-midi ludiques ou des sorties. Un spectacle est en préparation avec des marionnettes « Laisser les enfants jouer à des histoires imaginaires qui n’ont pas de limites » LOISIRS ATELIERS DE L’ASBH À FAULQUEMONT Une cuisine simple et équilibrée au centre social10/1/2018
Le centre social géré par l’ASBH à Faulquemont a ouvert un e nouvel atelier mensuel consacré à la cuisine. Entretien avec Caroline Descoups, référente famille au centre social.
Comment a débuté cette aventure ? Caroline DESCOUPS « L’an passé, nous avions mis en place des ateliers cuisine en partenariat avec l’Union départementale des associations familiales (Udaf). J’ai souhaité poursuivre les animations, en les ouvrant à tous les habitants ». Quel est l’objectif de ce nouvel atelier ? « L’objectif est de proposer des recettes simples, équilibrées et de saison, pas trop compliquées à mettre en œuvre et qui doivent plaire à la fois aux adultes et aux enfants ». Quelles sont les thématiques abordées ? « Nous travaillons sur trois thématiques : la cuisine aux légumes et fleurs de légumes et comment cuisiner les restes (de viande, de pain, de fromage). Enfin, la 3e thématique sera de cuisiner sans viande avec des légumineuses. Quelles sont les motivations des participantes ? « Au-delà de la cuisine, les participantes apprécient en premier lieu la convivialité. Elles le disent « C’est une activité, un moment pour elles, et sans les enfants pour les jeunes mamans. Marie-Christine, Zahra, Carine, Séverine ou Gilmette retrouvent ainsi le goût de cuisiner. L’atelier cuisine permet en outre de refaire les recettes à la maison, sans trop de risque de les louper. Enfin, chacune profite des conseils des autres. C’est un échange. Chaque participante repart avec une petite part de ce que l’on a préparé. Et toutes sont fières de faire déguster le plat à leur famille. Enfin, je remets à chaque participante la fiche de la recette ». Côté pratiqueL’atelier cuisine est ouvert à tous. Le prochain rendez-vous aura lieu le jeudi 18 janvier, de 9h à 11h. L’atelier pâtisserie qui se déroule tous les vendredis (hors vacances scolaires) reprend le vendredi 12 janvier, de 9h à 11h. Au programme : la confection de la galette des rois. La participation est de 5 € l’année. Inscriptions au centre social du Bas-Steinbesch à Faulquemont, du lundi au vendredi, de 9h à 11h30 et de 14h à 17h30. Tél 03 87 94 32 65. Fax O3 87 94 49 81. Mail asbhfaulquemont @orange.fr Le centre social ASBH-MDA, à Freyming-Merlebach, relance ce mercredi soir les ateliers destinés aux parents d’adolescents. Lancée en 2016, l’expérience a été un succès auprès des participants. On n’est pas de bons ou de mauvais parents ! », prévient Jennifer Beining, référente famille à l’ASBH-MDA (Maison des associations) de Freyming-Merlebach. Mais élever un adolescent peut parfois être compliqué. « Que l’on rencontre des problèmes ou non avec son enfant, on peut participer à cette action. »
Le centre social ASBH-MDA (Maison des associations), à Freyming-Merlebach, a lancé en 2016 un atelier destiné aux parents d’adolescents, âgés de 11 à 21 ans. « Une fois par mois, à raison de sept rendez-vous sur l’année, une éducatrice spécialisée du PAEJEP ( NDLR : Point accueil écoute jeunes et parents, à Forbach ) a animé ces rencontres », continue Jennifer Beining. L’expérience est renouvelée cette année. Et une première réunion d’information a lieu ce mercredi soir. Techniques et astuces Problème d’autorité, échec scolaire, gestion difficile au quotidien… Autant d’interrogations soulevées par les familles, et qui ont permis de mettre sur pied cette action. Et le premier bilan est positif. « Les parents sont satisfaits. Ça a a changé leur vision des adolescents. Il y a moins de crise et de tension à la maison. L’impact est positif sur la cellule familiale. » Le groupe était composé de quinze personnes « exclusivement des mamans. C’est toujours difficile de mobiliser les pères », analyse la référente. L’objectif est de donner des techniques et des astuces pour communiquer avec son enfant. Partage d’expérience, échange interactif, mise en situation… Les rencontres en groupe fermé sont dynamiques. « C’est un soulagement pour certains parents de se rendre compte qu’ils ne sont pas les seuls dans cette situation. » Cette année, les séances se dérouleront, à la demande des parents, sur une période plus courte, de janvier à avril. « L’entrée est libre. Une participation de 5 €, correspondant à la carte d’usager, est demandée. Un mode de garde est également proposé aux parents, durant les séances. » Ce deuxième module est ouvert aux parents de l’an passé mais aussi à de nouvelles familles. « C’est intéressant, car finalement les gens se livrent assez facilement. » Réunion d’information mercredi 10 janvier, de 18 h à 20 h, à la MDA, 108 avenue Poincaré. Tel. : 03 87 00 22 68 Le centre social ASBH-MDA propose également une autre action, qui a débuté en novembre, et destinée aux familles : du théâtre-forum, présenté par la compagnie Les Bestioles, de Metz. « Les comédiens jouent des scènes, puis le public est invité à réagir et à les rejouer selon leur avis », détaille Jennifer Beining, la référente familles. La première séance s’est déroulée sur le thème de l’autorité. « Trente-deux personnes y ont participé. »
La prochaine représentation aura lieu le 9 février, à 18 h 30, sur le thème des addictions. Entrée Libre « C’est la 4e année que nous organisons ce réveillon solidaire », indique Lahcène Scherer, animateur ASBH au centre social de la cité Chapelle. « 110 personnes du quartier sont inscrites. C’est complet. »
Dimanche 31 décembre, à partir de 18 h, ces convives seront accueillies au centre social pour un repas de fête, avec animation musicale proposée par un DJ. « Ce réveillon est ouvert à tout le monde., pas seulement aux plus démunis, rappelle l’animateur. Toutes les générations s’y retrouvent. Il y a des personnes âgées, d’autres isolées qui n’ont pas envie de se retrouver seules chez elles le soir du Nouvel An. » 14 bénévoles seront mobilisés pour donner un coup de main dimanche soir, dont Lahcène Scherer. « Ce projet est financé par les deux communes de Freyming-Merlebach et Hombourg-Haut. » Pour mettre en place ce réveillon solidaire, sept adolescents du quartier âgés de 11 à 14 ans ont travaillé toute cette semaine au centre social. Dans le cadre d’un chantier citoyens, ils ont décoré la salle, aidé à préparer le repas. « En contrepartie de leurs matinées de travail, ils ont bénéficié de sorties organisées chaque après-midi. Ils sont notamment allés à la patinoire. » L’ASBH a également proposé, pour la 6e année consécutive, un Noël solidaire. Cette animation a réuni 50 personnes à la Maison des associations de Freyming-Merlebach. |
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