Dans le cadre du festival Migrations, une cinquantaine de personnes ont assisté à l’après-midi organisée par l’ASBH. Les jeunes ont accueilli les visiteurs dès l’entrée de l’espace Albert-Mutz, en leur proposant un café ou un thé, puis ils ont présenté et commenté leur exposition. Ensuite, ils les ont invités à rejoindre la salle de projection où avant le film, les visiteurs ont pu débattre entre eux et avec les jeunes. Ils ont projeté des petites vidéos qui reprenaient les thèmes des panneaux de l’exposition, à savoir l’intégration des migrants, les manifestations, les enfants en danger, les conditions de vie dans les camps de réfugiés et la traversée, pour faire réagir les spectateurs.
L’après-midi s’est poursuivi avec la projection du film La mécanique des flux suivi d’un débat avec Jean-Paul Banzet d’Amnesty International. Les spectateurs ont félicité les jeunes pour la qualité de leur travail et leur gentillesse. Le directeur de l’ASBH les a remerciés pour leur implication et a souligné qu’ils étaient source d’espoir et qu’ils permettaient, grâce à leur action, de croire en un avenir meilleur. La 4e édition du festival Migrations, organisé par l’ASBH (association d’Action Sociale et sportive du Bassin Houiller), sera lancée ce samedi 17 mars. Les événements sont proposés de Metz à Sarreguemines.
Le programme dans le Bassin houiller• Samedi 17 mars. À 15 h à la médiathèque de Forbach, conférence sur l’univers publicitaire de la marque Riso Gallo et l’immigration italienne, suivie d’un temps convivial autour d’un risotto. À 18 h, au foyer Robert-Schuman de Cocheren, soirée russe et africaine agrémentée d’une exposition des enfants du périscolaire de Hombourg-Haut, le Chœur d’hommes de Hombourg-Haut et d’une animation musicale africaine. • Du 19 mars au 6 avril , au foyer du Bruch, exposition "En passant par les baraques" et sur le Bruch d’avant. • Mardi 20 mars. À 20 h au Carreau, spectacle Les Bords du monde (sur réservation au 03 87 84 64 30). • Mercredi 21 mars. À 14 h 15 à la librairie Quartier livres, intervention de l’Unicef pour les 6-11 ans sur le thème des réfugiés et des migrants. À 16 h à la médiathèque de Forbach, intervention de l’Unicef pour les 6-11 ans sur le thème des réfugiés et des migrants (inscriptions conseillées au 03 87 84 61 90). • Jeudi 22 mars. À 14 h au foyer du Bruch, intervention du Cada sur la demande d’asile à destination des professionnels. À 20 h au cinéma Le Paris de Forbach, projection du film "Nannan" en partenariat avec le Carreau. • Vendredi 23 mars. À 17 h au centre social Saint-Exupéry de Farébersviller, concert d’Adrien Beaucaillou et Pape M’Baye avec défilé de costumes traditionnels et repas. • Samedi 24 mars. À 17 h au centre social du Wiesberg, inauguration du village Tédoutoi : exposition et dégustation de spécialités culinaires. De 11 h à 18 h dans la salle de l’amicale de Freyming-Merlebach, diffusion de micros-trottoirs réalisés par des jeunes. Défilé de costumes et exposition sur le thème du mariage dans le monde. • Dimanche 25 mars. De 10 h à 17 h, village Tédoutoi au centre social du Wiesberg. • Mardi 27 mars. À 18 h 30 à l’espace La Condorde de Petite-Rosselle, exposition, démonstration de danses du monde, témoignages, conférence-débat sur les migrations rosselloises. • Mercredi 28 mars. À 14 h à la salle de Marienau, exposition, chants, danses, musiques et dégustations culinaires. À 19 h au Méga Kiné de Freming-Merlebach, projection du film "La Villa", suivie d’un débat avec le fondateur d’Immigration Développement Démocratie (entrée : 5 €). • Jeudi 29 mars. À 18 h au centre social du Habsterdick, projection du film "Harragas" suivie d’un débat avec le fondateur d’Immigration Développement Démocratie. • Samedi 31 mars. À 19 h à la Maison des associations de Freyming-Merlebach, projection du film "Nos patriotes", suivie d’un débat sur les tirailleurs sénégalais. • Mercredi 4 avril. À 14 h à la Maison des associations de Behren-lès-Forbach, conférence sur l’immigration en Lorraine suivie d’un concert de Aissate et d’animations. • Jeudi 5 avril. À 19 h au foyer du Bruch, soirée festive préparée par les résidents du Cada. • Vendredi 6 avril. À 19 h au centre social de Hombourg-Haut, projection du film "À bras ouverts", suivie d’un débat. • Samedi 7 avril. À 14 h au centre social Daniel-Balavoine de Cocheren, clôture avec animations ateliers et dégustations culinaires, ateliers culturels… Ce samedi, le festival Migrations a pris fin à Cocheren. Après 38 événements répartis sur toute la Moselle-Est, les associations partenaires et la population se sont retrouvées pour une grande fête. Pour moi, la migration, c’est bouger, se déplacer, aller ailleurs. Dans d’autres langues, on parle de nomadisme. Et je préfère franchement ce mot. » Ce samedi, Marie-Noëlle, comme un très large public, a assisté au grand final du Festival Migrations organisé par l’ASBH, l’association des travailleurs maghrébins de France et le Carreau de Forbach. Tous les partenaires de la manifestation se sont retrouvés à l’espace Daniel-Balavoine.
ALLER À LA RENCONTRE DE L’AUTRE « Nous sommes de l’ASBH Chapelle à Forbach. Nous sommes bénévoles , racontent Sara et Cathy. Si nous participons au festival, c’est pour remercier la France qui a accueilli nos parents. Et c’est aussi pour aller à la rencontre de l’autre. » Pour Jamel, animateur à l’ASBH de Creutzwald, l’esprit de Migrations c’est « le mélange des cultures qui font la richesse de la Moselle-Est. Il ne faut pas se tromper. Nous sommes tous des immigrés. » Ces mots des intervenants résument parfaitement le but du festival. « Au fil des 38 événements que nous avons organisés, nous nous sommes rendu compte que tous les partenaires partageaient des valeurs humaines communes , explique Sébastien Goeury, président de l’ASBH. Ces valeurs, nous les avons aussi retrouvées dans le public qui a porté chaque soirée. Cela fait chaud au cœur de voir que la société n’est pas aussi noire qu’on nous la dépeint. » LA RICHESSE DES ÉCHANGES Le président est également surpris par la richesse des paroles échangées lors des débats sociologiques organisés en soirée. « Finalement, chacun a quelque chose à dire sur les migrations. D’autant plus que nous sommes allés à la rencontre de communautés qu’on a peu l’habitude d’interroger comme les immigrés russes ou congolais. » Cette journée de clôture s’est terminée tard dans la nuit. Chacun a présenté son travail réalisé pendant le festival. « Surtout, les gens se sont parlé. Parfois dans des langues différentes , reprend Sébastien Goeury. Mais quelle belle réussite ! » Le quartier Hannaux-Barral de Metz Sablon a participé activement au Festival Migrations du centre Pioche. La richesse culture locale s’est exprimée au travers de témoignages et de tranches de vies. Les mères de famille d’origine turque ont sorti leurs précieuses robes da mariées pour les exposer. Photo RL Les barres d’immeubles Hannaux-Barral offrent une diversité et une mixité culturelle riches. Cette partie du Sablon regroupe essentiellement des familles d’origine turque et maghrébine ainsi que des manouches sédentarisés. Dans une moindre mesure, une communauté afghane et une population des pays de l’Est sont venues récemment compléter cette mosaïque humaine. « Le taux de population étrangère est de 18,4 % sur le quartier. À taux de comparaison, il est de 8 % pour la ville de Metz », détaillent Frédéric Lorenzi, directeur du centre social Pioche, et Nathalie Hoff, permanente. Il était donc tout naturel que le centre, situé au cœur du quartier, participe au Festival Migrations. Organisé au 6 au 25 mars en Moselle, par l’association ASBH (Action sociale du Bassin houiller), dont dépend le centre, l’ATMF (Association des travailleurs maghrébins de France) et la scène nationale Le Carreau, ce festival met en lumière un travail remarquable réalisé par les usagers du centre. Les enfants ont par exemple peint des cartes du monde pour y présenter le parcours migratoire de leur famille. On y voit des photos, certaines découpées dans le Républicain Lorrain , lors du mariage en mairie. Les jeunes et les parents, en majorité des femmes, ont raconté leur histoire. Des femmes ont même présenté leur robe de mariée. Des séances de tatouages au henné, des repas avec des spécialités, une exposition de chaussons traditionnels turcs, les patik , ont été des moments forts de ce festival. Tout comme le concert de la jeune chanteuse mauritanienne Aïssat. « Nous avons réussi à rompre les communautarismes, tout le monde a chanté et dansé ensemble ce soir-là », soulignent les organisateurs, ravis. Une pièce de théâtre sur le thème de l’exil, la rencontre d’une auteure, en partenariat avec le lycée Alain-Fournier, l’atelier de Culture 21, avec des enfants de l’école de la Seille toute proche, ont permis aux familles de Hannaux-Barral de montrer les nombreux visages d’une intégration réussie.
Dans le cadre du festival Migration(s), l’ASBH a diffusé le film "Bienvenus" de Rune Denstad Langlo. Le sujet traite de la question des migrants avec humour et permet d’avoir un regard différent sur la situation. Dominique Guibert, président de l’Association Européenne des Droits de l’Homme (AEDH). Photo RL Dans le cadre du festival Migration(s), l’ASBH a diffusé le film "Bienvenus" de Rune Denstad Langlo. Le sujet traité, avec humour, est évidemment la question des migrants, et porte un regard différent sur la situation. Après la projection, un débat a eu lieu en présence de Dominique Guibert, président de l’Association européenne pour les droits de l’homme (AEDH), association dont la mission est de veiller qu’en Europe, les droits de l’homme soient respectés.
LES MIGRANTS EN QUESTION Les différentes questions sur la crise des migrants, l’Europe, l’accueil des migrants ainsi que leur intégration ont été abordées. « L’expression crise des migrants est impropre : il y a une crise des institutions européennes, et une crise liée à l’instabilité du monde », insiste Dominique Guibert. Quant à la question de l’intégration, « l’argument selon lequel il ne faut pas accueillir de migrants car nous avons déjà beaucoup de chômeurs, ne tient pas. En réalité, les nationaux et les migrants ne se font pas concurrence sur le marché du travail, ils n’occupent pas les mêmes postes », précise M. Guibert. PARTENARIAT DE LONGUE DATE Pour rappel, le festival Migration(s) est né du partenariat de longue date entre l’ASBH et l’ATMF (Associations des Travailleurs Maghrébins de France). « Devant l’évidence que le Bassin houiller est composé de multiples cultures, nous avons élargi notre champ d’action en y incluant un nouveau partenaire qu’est le Carreau », rappelle Abdelkader Lalami, responsable du centre social du Habsterdick. Si pour sa première édition, le festival diffusait des films délocalisés en marge du festival du film arabe de Fameck, il s’est diversifié pour les éditions suivantes. Avec notamment des travaux réalisés avec les habitants et les centres sociaux, des expositions, des contes, la réalisation de films et beaucoup d’autres choses. TRAVAIL AVEC LES ÉLÈVES Anne Danel, coordinatrice du festival avec Laura Piazza explique : « L’objectif est de se rencontrer, de découvrir la richesse culturelle et de partager afin que les gens puissent se connaître et dépasser leurs préjugés. Pour 2017-2018, nous aimerions travailler toute l’année avec les écoles, les collèges et les lycées. » Elle ajoute que pour cette nouvelle édition, il y avait plus de public et plus de diversité. - Sur les 36000 demandeurs d’asile syriens que la France devait accueillir, à peine 1600 sont arrivés, en raison de freins administratifs (en particulier contrôles anti-terroristes) - Dans le monde, il y a 244 millions de migrants internationaux, soit 3,4% de la population mondiale. 60% d’entre eux migrent du sud au sud. - L’Union Européenne compte 520 millions d’habitants, pour 2 à 3 millions de migrants qui désirent y entrer. Plusieurs jeunes filles se sont passionnées pour la pâtisserie. Photo RL Plusieurs jeunes filles se sont passionnées pour la pâtisserie. Photo RL Ce dimanche, le centre social ASBH du Maroc invitait le public aux pâtisseries du monde, dans le droit fil du festival Migrations. Pourquoi ne pas découvrir le monde de manière plus ludique, au travers de la pâtisserie des autres pays ? La pâtisserie s’essaime de par le monde, en sucrés d’ailleurs bourrés de saveurs. Des plus proches aux plus lointains, nos voisins pâtissent depuis des siècles. Et si chacun a sa façon, le résultat vaut la bouchée quelle que soit la région. Un atelier pâtisserie était au programme pour apprendre à décorer des cup cake. Les cultures culinaires sont ainsi un pont privilégié entre les peuples. La cuisine reste un formidable levier pour développer les échanges entre les peuples. C’est avant tout un moment de convivialité, qui se partage à plusieurs, autour d’une boisson et d’une délicieuse pâtisserie.
Fatoumata Diawara est une artiste complète, chanteuse, comédienne et auteur-compositeur-interprète. Photo Francesco Orlandini Le Carreau scène nationale de Forbach présente dans le cadre du Festival Migrations organisé par l’Action sociale et sportive du Bassin Houiller (ASBH), par l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), une artiste complète, Fatoumata Diawara, le vendredi 24 mars à 20 h, au Carreau.
Fatoumata Diawara est chanteuse, comédienne et auteur-compositeur-interprète malienne et vit entre Bamako et Paris. Après une enfance en Côte d’Ivoire et une jeunesse au Mali, en France et aux quatre coins du monde, Fatou trouve son inspiration aussi bien dans la tradition wassoulou que dans le jazz, le blues ou la pop. La chanteuse, accompagnée de trois musiciens, invite le public à voyager entre ballades mélancoliques et morceaux folk électrisants. Billetterie au Carreau de Forbach, jusqu’au vendredi, de 14 h à 18 h, au tél. 03 87 84 64 34. e-mail : billetterie@carreau-forbach.com. Dans le cadre du festival Migrations, l’ASBH organise une journée interculturelle à la salle de l’amicale du personnel de la ville (derrière la perception) ce samedi, de 11 h à 18 h. Cette rencontre, qui favorise les échanges entre les cultures, s’articulera autour de diverses animations, telles des expositions, des danses, un défilé de costumes traditionnels et un one-man-show de Massi.
Le public pourra découvrir un reportage intitulé "Paroles d’enfants" et le répertoire de la chorale franco-polonaise Wawel. Buffet gratuit. Des plats traditionnels seront également servis au prix de 5 €. Ylies, 7 ans, et Monique, 82 ans, ont inauguré "leur" village, au Wiesberg, accueillant plus d’une vingtaine de nationalités. Photo Philippe RIEDINGER. Dans le cadre du festival Migrations, un village, baptisé "Tédoutoi" s’est installé au centre social du Wiesberg. Son maire, Ylies, 7 ans, accompagné de sa première adjointe, Monique, 82 ans, ont inauguré ce dimanche matin cette cité dans la cité, et le vide-greniers qui accompagne l’événement.
Douze espaces, représentant douze nations, ont pris place sous une tente, pour présenter leurs cultures, diverses, qui font la richesse d’un quartier où cohabitent plus d’une vingtaine de nationalités. Un dernier espace est consacré aux onze nationalités qui n’ont pas pu être représentées. L’idée de base est évidemment de mettre en lumière les courants migratoires, qui ont amené jusqu’au bassin houiller des familles venues de tous les continents, des pays de l’est à l’Afrique du Nord, de l’Italie ou du Portugal, jusqu’en Amérique latine. Bien présente, avec des Colombiens du Wiesberg, des Mexicains de Stiring-Wendel, des Cubains de Freyming… Qui aux côtés des Portugais mettent une belle ambiance ! Rivalisant avec les saveurs et la chaleur orientales des Algériens, Marocains ou Syriens. Autant de cultures qui, malgré les difficultés en ces temps troublés, prouvent qu’elles savent vivre en paix. La manifestation est organisée par l’ASBH et l’ATMF et la ville de Forbach. Le village et le vide-greniers sont ouverts ce dimanche jusqu’à 17 h, plus si affinités... Le festival Migrations s’est installé ce dimanche au Wiesberg, créant un "village". "Tédoutoi", c’est son nom, rassemblait des représentants de douze nationalités, douze cultures, vivant dans le quartier ou ses environs. Belle ambiance, hier, au village "Tédoutoi", rassemblant douze nationalités, douze cultures, notamment celles d’Amérique latine. Photo RL Donner une autre image du Wiesberg. Tel était le but de l’ASBH, l’ATMF (association des travailleurs maghrébins de France), la ville de Forbach, via le festival Migrations. Ce dimanche, un "village" est né au cœur du quartier. Baptisé "Tédoutoi", il avait pour vocation de mettre en lumière les différentes cultures, les courants migratoires successifs qui ont fait et font encore la richesse humaine du bassin houiller. Des familles venues de tous les continents, des pays de l’est à l’Afrique du Nord, de l’Italie ou du Portugal, jusqu’en Amérique latine. Bien présente ce dimanche, avec des Colombiens du Wiesberg, des Mexicains de Stiring-Wendel, des Cubains de Freyming… Qui aux côtés des Portugais ont mis une belle ambiance ! Rivalisant avec les saveurs et la chaleur orientales des Algériens, Marocains ou Syriens. Autant de cultures qui, malgré les difficultés en ces temps troublés, prouvent qu’elles savent vivre en paix.
Le temps du partage Le village a été inauguré par son "maire", le jeune Ylies, 7 ans, accompagné de sa première adjointe, Monique, 82 ans, qui dans son discours a évoqué ce quartier du Wiesberg, « aujourd’hui victime d’a priori ». Ce « "village" qui a eu du mal à se construire » et où l’on a opté pour « une large "collocation" ». C’est-à-dire la cohabitation entre toutes les cultures. Cette diversité apaisée, le directeur de l’ASBH, Rocco Saccucci, l’a également mise en avant, avec un brin de nostalgie lorsqu’il évoque son enfance à Behren, « une cité aussi décriée ». Lui se souvient plutôt des moments de partage entre les cultures, polonaise, italienne, maghrébine… « Les mineurs, quand ils sortaient du fonds, étaient tous noirs », explique-t-il. Il n’y avait pas de différences. Même discours du côté du président de l’ATMF, Nordine Batlani, qui fait aussi la promotion du festival Migrations. Un événement « qui prend de plus en plus d’ampleur », et prône « le mieux vivre ensemble ». Thierry Homberg, premier adjoint au maire de Forbach, a pour sa part évoqué « un village planétaire », où « tous les continents sont représentés ». Sur un plan plus politique, il a souhaité noter les investissements consentis par la mairie, dans l’accompagnement du centre social, dans le déploiement de la fibre, et surtout dans les grands projets de rénovation urbaine, en lien notamment avec la SNI Sainte-Barbe. Cette belle initiative, couplée avec le vide-greniers, presque passé hier au second plan, pourrait bien être pérennisée, et même prendre de l’ampleur. C’est le souhait des différents partenaires, et aussi de Georges Vinber, le responsable du centre du Wiesberg, à l’origine de ce projet. |
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