Salima, directrice de l’accueil de loisirs sans hébergement du centre social ASBH Saint-Exupéry de Farébersviller, a organisé une semaine de vacances pour les enfants de 3 à 11 ans. De nombreuses activités ont égayé les journées des enfants avec le plus grand respect des gestes barrières. « Cette première semaine a pour thème le carnaval, précise Salima. Il y a eu de nombreuses animations et des jeux ainsi qu’une journée dédiée la musique avec déguisements de rigueur en remplacement des sorties. »
Les jeunes participants ont adoré leur semaine de vacances. « Cela a autant plu aux enfants qu’aux parents », complète Salima qui, avec ses animateurs Selim et Nabil, a veillé à proposer des activités ludiques. Lundi débute une nouvelle semaine cette fois-ci sur le thème de l’hiver. Quelques places sont disponibles. Pour toute inscription se munir du numéro allocataire CAF, de l’attestation d’assurance extrascolaire et du carnet de santé de l’enfant. Accueil : à la demi-journée avec ou sans repas ; à la journée avec ou sans repas ; à la semaine avec ou sans repas. Les vacances d’hiver sont enfin arrivées. Dans un contexte de crise sanitaire, les animateurs du centre social ASBH Les peupliers ont concocté un programme varié pour ces vacances sur le thème de l’Inde. Thème qui permettra aux enfants de voyager vers cette contrée lointaine à travers sa cuisine, ses fêtes, ses contes. En Inde, les couleurs sont partout : sur les édifices, les habitations, les étals des marchands d’épices, mais également sur les vêtements, notamment le sari. Chaque couleur possède une symbolique forte, souvent à l’origine d’une légende mythologique.
➤ Pour les ados (semaine du 22 au 27 février) Ce pays, avec ses couleurs, ses épices et ses légendes, peut être décliné à l’infini pour donner à ce centre de loisirs un caractère original et mémorable. Les ados pourront s’initier au yoga et à la relaxation. Ils ont besoin de prendre confiance en eux, mais aussi d’apprendre à canaliser leur énergie. Le yoga, exigeant une discipline personnelle continue et de faire preuve d’abnégation, va dans ce sens. Ils pourront faire connaissance avec le Bollywood, l’industrie du cinéma musical indien, et la danse indienne à mi-chemin entre la danse classique et la danse moderne. Hybride, elle reprend les bases du hip-hop, de la salsa, de la danse orientale, du moderne jazz. Bien d’autres surprises et découvertes seront au programme de cette semaine de dépaysement total. L’accueil se fera de 10 h à 17 h. ➤ Pour les plus jeunes (semaine du 1er au 5 mars) Les plus jeunes seront plongés dans un nouveau monde de couleurs, de musique et d’activités artistiques. Un atelier de calligraphie leur sera proposé. En Inde, tout le monde sait danser d’une certaine façon, lors des fêtes religieuses, sociales ou folkloriques : les plus jeunes seront invités à découvrir les danses indiennes. L’accueil se fera de 8 h à 17 h. Inscriptions Les inscriptions sont ouvertes au centre Social ASBH « Les Peupliers », tous les jours, sauf le vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h. Se munir de la notification CAF 2021, de l’attestation d’assurance et du carnet de santé de l’enfant. Avant de profiter de deux semaines de vacances bien méritées, les enfants qui bénéficient du programme d’accompagnement scolaire à l’école freymingeoise de la cité La Chapelle ont préparé un petit spectacle. Pour cela, ils ont été aidés de l’artiste et conteur africain Malépopo.
Après avoir répété depuis le début du mois de janvier à raison d’une séance hebdomadaire, ils ont joué le spectacle vendredi en fin d’après-midi. Celui-ci a été filmé et diffusé afin que les parents puissent le voir. Cette animation était encadrée par l’ASBH La Chapelle. Accueil de loisirs à partir du lundi 22 février Le centre social, justement, enchaîne sur les vacances d’hiver avec un accueil de loisirs. Différentes activités, sur différents thèmes, sont proposées aux enfants de 3 à 10 ans durant la première semaine. La deuxième semaine sera consacrée aux préados et ados de 11 à 17 ans, avec notamment la réalisation d’un court-métrage. Il reste des places dans toutes les tranches d’âge : une chez les 6-7 ans, deux chez les 8-10 ans, deux chez les 11-14 ans et cinq chez les 15-17 ans. Renseignements et inscriptions au 03 87 81 17 23. Pas d’annulations prévues en ce qui concerne les centres aérés organisés pour les plus petits et les ados à Creutzwald et Boulay-Moselle. L’idée d’avoir une animation reste un objectif, mais il n’y aura pas à tergiverser si la situation l’impose. Creutzwald, des centres aérés sont programmés lors des prochaines vacances scolaires pour les adolescents dans les deux centres sociaux de la ville ( Breckelberg et Maroc ), mais aussi pour les petits de 3/5 ans dans les écoles maternelles, tous gérés par l’Association sportive du bassin houiller (ASBH). « Il y a peu d’inscrits. Au vu des circonstances, nous pourrions annuler, mais on va se laisser quelques jours et voir comment la situation évolue », confie Mélanie Barth, chef du service politique au sein de la municipalité.
"Au vu des circonstances, nous pourrions annuler, mais on va se laisser quelques jours et voir comment la situation évolue." Mélanie Barth, chef du service politique de Creutzwald « Les inscriptions sont closes et nous avons pris toutes les mesures de distanciation pour l’organisation de ces centres, pensant aussi qu’un temps d’animation pour les enfants serait le bienvenu. » L’autre point à prendre en compte étant celui des moyens de garde parentaux. Les animations sont en effet un bon moyen d’en faire profiter les enfants tout en donnant du temps aux parents. « On essaie de faire au mieux » Cette marge de manœuvre, aussi étroite soit-elle, fait que personnels enseignants, municipaux, administratifs et animateurs se concertent et « sont tous sur le pont ». Les écoles avaient même anticipé une possible fermeture anticipée. « Nous attendions d’éventuelles annonces de la part d’Olivier Véran , nous étions prêts à faire face et mettre des mesures en place », comme c’était le cas lors du premier confinement, avec notamment un dispositif visant à accueillir les enfants des personnels soignants. « On essaie de faire au mieux avec les moyens du bord, et surtout garder le moral », ajoute la responsable du service scolaire. La concertation permanente avec l’ASBH et le suivi des données permettront donc de trancher d’ici quelques jours. Décision prochaine" La Moselle est impactée par les variants du Coronavirus, nous maintenons pour l'heure l'organisation de centres aérés, mais nous déciderons en début de semaine si c'est toujours d'actualité", fait savoir Ginette Magras, adjointe au maire de Boulay-Moselle en charge des écoles. L’interdiction des masques artisanaux met fin aux initiatives solidaires de couture de l’ASBH13/2/2021
L’interdiction des masques artisanaux en tissu a mis fin aux initiatives solidaires lancées par de nombreuses couturières et associations, notamment à l’ASBH. Une issue logique et acceptée, mais qui laisse à certains un sentiment de frustration. Depuis avril 2020, l’atelier d’insertion couture de l’ASBH à Hombourg-Haut tournait à plein régime pour fournir des masques en tissu lavables à son personnel, mais aussi à des périscolaires, à des communes comme Cocheren ou Kerbach ou encore à des clubs sportifs. L’association avait connu un nouveau coup de bourre à l’approche de la rentrée scolaire et avait produit, grâce à ses huit couturières, 1 500 masques à destination des enfants entre septembre et décembre 2020.
Mais le 8 février, l’interdiction des masques artisanaux à l’école devenait effective et mettait par conséquent fin à ces nombreuses activités solidaires. « Cette décision a eu des conséquences morales sur notre équipe. On était dans un esprit d’entraide, on se sentait utiles, mais d’un coup, tout s’est arrêté. C’est comme si on n’avait plus besoin de nous », regrette aujourd’hui Martine Gammella , responsable de l’atelier d’insertion couture pour l’ASBH, sans remettre pour autant en cause les raisons sanitaires de cette interdiction. « Je sais que j’ai aidé beaucoup de personnes » De son côté, la Forbachoise Giovanna Giordano avait usé de ses compétences de couturière pour fabriquer, dès mars 2020, des masques en tissu à tous ceux qui en avaient besoin. « Pendant les trois premiers mois du premier confinement, j’en fabriquais non-stop jusqu’à tard dans la nuit », se rappelle-t-elle. "Les masques ont répondu à des demandes très importantes venant de l’Ehpad de Farébersviller, des ambulanciers de Jussieu, d’infirmières à domicile et même des livreurs." Giovanna Giordano, couturière de Forbach Sur cette période, elle avait confectionné 700 masques à elle toute seule et avait même réussi à réunir toute une équipe de couturières solidaires autour d’elle pour augmenter le rendement. « Les masques ont répondu à des demandes très importantes venant de l’Ehpad de Farébersviller, des ambulanciers de Jussieu, d’infirmières à domicile et même des livreurs », se souvient-elle. Pas de mise aux normes pour la catégorie 1 Même si elle est « en colère contre les dirigeants qui ont dit tout et son contraire concernant l’utilisation des masques » contre la propagation du virus, la Forbachoise ne se sent mise de côté : « Je sais que j’ai aidé beaucoup de personnes, et ces dernières ont été très reconnaissantes, c’est tout ce qui compte. » Pour les prochaines vacances de février, l’équipe d’animation du centre social Daniel-Balavoine, géré par l’ASBH, accueillera les enfants de 3-11 ans et de 12 à 17 ans du 22 au 26 février. Au programme : l’école des sorciers.
De 7 h 30 à 17 h 50, les 6- 12 ans seront invités à jouer aux apprentis sorciers en suivant une formation dans la préparation de potions, des sortilèges et des tours de magie avec le concours d’un magicien. Dans le cadre des animations de vacances, l’ASBH de Petite-Rosselle met en place des activités vacances pour les jeunes Rossellois. D’une part pour les pour les 3-11 ans, un accueil de loisirs du 22 au 26 février de 7 h 30 à 17 h 30, intitulé Les Robinsons des Glaces. D’autre part pour les pour les 12-17 ans, l’ASBH proposera du 22 au 26 février également, mais de 10 h à 17 h 30 à l’Espace Jeunesse, un accueil jeunes avec atelier crêpe, blind test, atelier maquillage-coiffure, après-midi film-pizza, etc.
Les documents à fournir : attestation d’assurance, carnet de santé, attestation quotient familial, bon Caf. Lors des prochaines vacances scolaires, un groupe d’adolescents du centre social Maroc va participer à la réalisation d’une vidéo sur les discriminations sexistes. Avec les animateurs, ils monteront le projet, de A à Z, de l’écriture du scénario au tournage. Le projet sera prétexte à réflexions. Creutzwald, l’équipe Enfance Jeunesse de l’ASBH Maroc propose aux adolescents des activités répondant à leurs attentes pour les accompagner vers l’autonomie et la prise de responsabilité.
Suite au projet “ harcèlement ” réalisé avec le concours de la brigade de prévention de la délinquance juvénile, sept adolescents seront accueillis pendant les vacances d’hiver, du lundi 1er au vendredi 5 mars, de 10 h à 17 h, au centre social. Ils réaliseront ensemble une vidéo ayant pour thème “ les discriminations sexistes”. Filmer pour dénoncer L’adolescence est une période complexe empreinte de contradictions durant laquelle les jeunes sont en quête d’une personnalité et d’une identité qui leur appartiennent. Besoin de reconnaissance et d’affirmation de soi vis-à-vis de leurs pairs et des adultes, mais également d’indépendance et d’émancipation vis-à-vis des parents. C’est aussi une période d’initiations, de découvertes et d’expérimentations. Durant cette semaine, les jeunes devront réfléchir ensemble, écrire le scénario et les scènes pour dénoncer les inégalités entre les sexes au travail, à la maison, à l’école… Ils seront aidés par les animateurs du CMSEA. Ils leur proposeront des activités ludiques leur permettant de repérer par le jeu les stéréotypes et les préjugés relatifs aux rôles incombant supposément à l’homme et à la femme. Les ados profiteront de la technicité d’Aimad, intervenant de l'association Expression, pour réaliser une vidéo présentée à leurs parents. Elle pourra aussi servir pour passer un message au collège. Plus tôt, les jeunes seront amenés à prendre conscience du sexisme et à développer leur esprit critique plus rapidement. Et ils adopteront des attitudes où le respect à l’égard de l’autre sexe prédominera. Inscriptions au centre social ASBH du Maroc, à compter du mercredi 10 février, de 13 h 30 à 17 h 30 et par extension aux autres mercredis précédents l’accueil du 5 mars. Pour les prochaines vacances de février, l’équipe d’animation du centre social du Bas Steinbesch de Faulquemont, géré par l’ASBH, accueillera les enfants de 6 à 12 ans et de 3 à 5 ans. Les animateurs ont préparé un programme riche et varié Les vacances de février approchent. L’équipe d’animation du centre social du Bas Steinbesch de Faulquemont, géré par l’ASBH (Association d’action sociale et sportive du bassin houiller), a concocté un programme riche et varié en animations et en activités.
« Pour la première semaine, du 22 au 26 février, nous proposons une thématique autour du cinéma », indiquent les animateurs. « Les enfants de 6 à 12 ans seront invités à découvrir, puis à confectionner un zootrope, un objet fonctionnant un peu comme le cinéma. Pour faire écho au thème, les participants créeront une statuette Oscar d’Hollywood, ainsi qu’un cadre photo pellicule. Enfin, le centre fera appel à un intervenant extérieur pour réaliser un spectacle vidéo. » Du 1er au 5 mars, c’est un dépaysement total qui attend les enfants. Ils seront transportés au temps de l’Égypte des pharaons. Au menu : création de bijoux, d’amulettes, d’un jeu de morpion, ainsi que d’un papyrus et ses jeux de mots, sans oublier le grand jeu, un moment attendu par tous. « Le grand jeu est un outil fédérateur qui nous permet de piocher dans un large répertoire comme les épreuves, le jeu, l’enquête, etc. », notent les organisateurs. Les 3-5 ans accueillis à la cantine scolaire Du 22 au 26 février, les enfants de 3-5 ans seront accueillis dans le nouveau bâtiment de la cantine scolaire, à l’école du Stade, pour une immersion dans le Grand Nord. Au programme : création d’une fresque géante, réalisation d’un igloo, d’un pingouin et d’un grand jeu sur les traces de l’ours polaire. En raison de la crise sanitaire, le centre social ne se prononce pas encore sur les sorties du vendredi. L’accueil a lieu de 7 h à 18 h. Le petit-déjeuner est servi jusqu’à 9 h. En fonction de la situation des familles, possibilité de bénéficier de différentes aides. Le port du masque est obligatoire pour les enfants de plus de 6 ans. Inscriptions au centre social du Bas-Steinbesch à Faulquemont, du mardi au jeudi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30. Tél. : 03 87 94 32 65. Mail (nouvelle adresse) : contact.csbassteinbesch@asbh.fr et sur Facebook. Où s'inscrire ?Inscriptions au centre social du Bas-Steinbesch à Faulquemont, du mardi au jeudi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30. Tél. : 03 87 94 32 65. Mail (nouvelle adresse) : contact.csbassteinbesch@asbh.fr et sur Facebook. Des bénéficiaires de chantiers d’insertion à Stiring-Wendel ont porté plainte pour harcèlement moral au travail contre leur encadrant. Les témoignages évoquent « des propos sexistes, racistes, atteignant à la dignité… », surtout envers les femmes. L’employeur, l’ASBH, prend l’affaire au sérieux. L’encadrant est mis à pied. Quatre femmes, bénéficiaires de chantiers d’insertion de l’ASBH à Stiring-Wendel, ont porté plainte, au commissariat de Forbach, pour « harcèlement moral par propos ou comportements répétés ayant pour effet une dégradation des conditions de travail pouvant attenter aux droits, à la dignité, à la santé ou à l’avenir professionnel ».
Ces accusations visent un encadrant technique. A bout, ces femmes ont décidé de révéler l’ambiance délétère qui règne à l’atelier couture ou sur les chantiers d’entretien du cimetière et de la voirie à Stiring-Wendel depuis quelques mois. Elles ont alerté leur direction mais aussi le maire de Stiring-Wendel , qui les a reçues, et l’inspection du travail. En appui de leur déposition, elles ont produit des témoignages de collègues confirmant leur version. « Il nous dénigrait au quotidien » Les stagiaires des chantiers d’insertion de Stiring-Wendel évoquent « des propos sexistes, racistes, vulgaires, à caractère sexuel, portant atteinte à la dignité… » de la part de l’encadrant et tenus au quotidien. « Des bénéficiaires ont quitté les chantiers d’insertion à cause de ça, d’autres sont en arrêt maladie. Nous étions sans cesse rabaissées, humiliées. Le cadre révélait en public des aspects de la vie privée de certaines d’entre nous, pour s’en moquer. C’était devenu l’enfer. Un encadrant d’insertion doit nous aider à retrouver une situation dans la vie. Là, c’était le contraire, il nous dénigrait et nous enfonçait encore plus », raconte une des plaignantes. |
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