Depuis le 14 novembre, le centre social Balavoine de Cocheren a repris son activité de gym douce, à destination des séniors.
Animée par Monique Brennstuhl, diplômée FFG et déjà présente la saison passée, les participants ont la possibilité de s’adonner à cette activité chaque mardi de 10 h à 11 h, dans le cadre des "ateliers des usagers", une des actions du projet social du centre Balavoine. En effet, le centre social propose un développement des activités à destination des adultes et des seniors, avec la possibilité de demander la mise en place de nouveaux ateliers, si cela correspond à une attente des habitants. Pour exemple, aujourd’hui, les ateliers des usagers comptent de l’art floral, du tricot, de la couture, de la musique et donc la gym douce. À venir prochainement l’ouverture d’un cycle d’apprentissage informatique pour les tout débutants, animé par Mme Gladel, chargée d’accueil du centre social. Pour tous ces ateliers, et pour rejoindre le groupe de gym sénior, vous pouvez solliciter le centre social pour info et inscription au 03 87 00 47 47. Depuis l’année passée, et suite au diagnostic de territoire réalisé avec les partenaires et les habitants, le centre social Balavoine de Cocheren propose un soutien dans les démarches d’insertion socioprofessionnelle.
En effet, le chômage et l’absence de revenu du travail peuvent créer des situations de précarité. Un soutien dans la recherche d’emploi Le centre social propose de travailler avec les habitants à les aider, dans leurs démarches. Il ne s’agit évidemment pas de créer une action concurrente à celle des professionnels de l’emploi, puisque le centre social travaille avec la Mission locale du Bassin houiller et avec Pôle Emploi, mais bien d’agir en complémentarité, en proposant des coups de main, des actions particulières (ex : accompagner des groupes de jeunes lors des forums emplois, démarcher les agences intérim au Luxembourg, diffuser son CV en ligne…). Ainsi, Lucie Fresneda et Virginie Gladel pourront proposer un soutien dans les démarches, y compris pour les étudiants en recherche de stage ou de petits boulots. Elina Faubel, référente familles, est en charge du suivi d’un atelier informatique dédiée aux femmes en recherche d’emploi. Peu importe la demande, un soutien peut être trouvé au centre social Balavoine. Actuellement, un mur des offres d’emploi est en place au centre social, et un ordinateur avec une connexion internet est disponible en libre accès, ou avec le soutien des référents de l’équipe ASBH. À venir prochainement : des infos collectives, des ateliers thématiques, etc. Quatre centres inscrits dans le projet Le centre de Cocheren ainsi que quatre autres centres sociaux ASBH du territoire se sont inscrits dans un projet, dont l’objet est d’accompagner des dames en recherche d’emploi, via l’outil informatique et les techniques de recherche en ligne. Le groupe de dame se réunit ainsi le vendredi matin au centre social Balavoine, pour travailler avec une intervenante spécialisée, en vue de l’acquisition de compétences informatiques et du passage du TOSA (certification bureautique et de compétences digitales). Il est encore possible d’intégrer le groupe. Renseignements au secrétariat du centre social, tél. 03 87 00 47 47. Au centre social ASBH de Bellevue, soixante femmes et hommes, de nationalité étrangère, suivent des cours d’apprentissage de français. A raison de plusieurs séances par semaine, ils ont tous la volonté de s’intégrer. La leçon du jour porte sur l’article défini ou indéfini. Leur feuille d’exercices sous les yeux, la quinzaine d’élèves de Bernard Lavall tentent d’assimiler les règles et subtilités de la langue française. L’homme anime, depuis trois ans, à titre bénévole, ce cours, au centre social ASBH de Bellevue. Ce lundi matin, face à lui, c’est le groupe "intermédiaire-confirmé". Des femmes et hommes, de tout âge, et de différentes nationalités. Il y a là des Arméniens, des Irakiens, une Italienne. Des personnes seules, des couples, des fratries.
« Ils apprennent très vite » A tour de rôle, ils prennent la parole, avec plus ou moins d’aisance. Pour bien faire comprendre la différence entre article défini et indéfini, Bernard Lavall manie l’exemple. « Il a une casquette rouge. C’est la casquette rouge du petit garçon. Elle lui appartient. » Ces cours de français au centre social de Bellevue ont pris de l’ampleur en 2014, quand des Yézidis, minorité chrétienne persécutée en Irak, sont arrivés à Forbach. « Ça s’est fait assez naturellement , se souvient Anna Giglia, directrice. Beaucoup habitaient juste au-dessus du centre social. Deux médiateurs qui maîtrisaient l’arabe littéraire ont commencé à discuteur avec eux. On a démarré les cours. On se rend compte qu’ils apprennent très vite. » A la recherche de profs bénévoles Cette année, ils sont une soixantaine à suivre cet apprentissage, répartis en trois niveaux. « Il ne s’agit pas seulement de réfugiés, de migrants arrivés ces derniers mois. Le public est beaucoup plus large. Il y a des personnes qui vivent en France depuis plusieurs années, et qui veulent mieux parler », précise Maéva Lopez, référente famille à l’ASBH Bellevue. Les cours sont animés par des médiateurs sociaux, mais aussi et surtout par des bénévoles. D’ailleurs, le centre social en recherche au moins un en plus, pour pouvoir assurer toutes les séances. L’appel est lancé. Contact : ASBH Bellevue au 03 87 88 59 35, 06 23 27 76 23 ou 06 26 13 67 30. Pascal MITTELBERGER. Au périscolaire de Longeville-lès-Saint-Avold, comme un peu partout du Pays naborien (voir ci-contre), les enfants ont préparé la 28e journée des Droits de l’Enfant par l’Onu. « Ils sont une trentaine d’enfants gardés tous les soirs, précise la responsable Mylène Fischer. Durant une semaine, nous avons réalisé de petites vidéos avec eux pour déterminer ce que ça représentait pour eux. Puis nous avons eu l’idée du lâcher de ballons. »
Réunis dans la cour du périscolaire, les enfants les ont laissés s’échapper, entraînant avec eux des petits mots où ils avaient laissé leurs noms et un numéro pour joindre le périscolaire. « Comme ça, ceux qui trouveront nos messages pourront nous retrouver », expliquent les petits. Pauline, Clara et Stanislas ont tous les trois 10 ans et ont participé à cette animation de l’Association d’actions sociales et sportives du bassin houiller (ASBH). Jusque-là, ils n’avaient « jamais entendu parler des Droits de l’Enfant ». « Maintenant, on sait que c’est une sorte de contrat signé par 193 pays. Si dans un de ces pays on demande à un enfant de faire la guerre ou de travailler, il peut refuser de le faire, c’est interdit », synthétise Clara. Elle a aussi retenu que certains pays ont refusé de le signer. C’est le cas des États-Unis, du Soudan du Sud et de la Somalie. « Là-bas, les enfants sont menacés parce qu’ils n’ont pas de droits », en conclut-elle. Les Américains apprécieront. Stanislas témoigne de sa surprise en apprenant qu’il avait fallu inscrire en tant que droit le fait d’être soigné, d’aller à l’école… « J’imagine que ça se passe dans les pays où il fait chaud comme… l’Afrique, peut-être. Des enfants meurent de faim, là-bas. » D’un avis partagé, les enfants en concluent qu’il y a encore beaucoup à faire pour améliorer les choses. Mais ce qui leur a le plus plu de la semaine, ce qu’ils retiendront avant tout c’est. « le lâcher de ballons ! Parce que c’est joli, ça virevolte dans les airs. » Les Droits de l’enfant ont fait l’objet d’une charte synthétisée par l’Onu en 1989. Chaque année, dans les écoles et les périscolaires du secteur, les animations sont organisées pour sensibiliser les jeunes à la question. 350 enfants des écoles maternelles, élémentaires et des collèges de Saint-Avold ont participé à la journée de l’Unicef au centre culturel Pierre-Messmer ce lundi. Depuis le mois de septembre, ils préparent un spectacle sur le thème des enfants, de leurs droits, leur bien-être, la tolérance, l’épanouissement. Ils se sont tous succéder sur scène pour interpréter des chansons, danser pendant plus d’une heure. Cette journée est célébrée tous les ans depuis 2005 à Saint-Avold pour fêter l’anniversaire de la signature de la convention internationale des droits de l’enfant par l’ONU. « Certains pays ont refusé de signer la charte. Les enfants n’ont pas de droit là-bas » Ma. K. L’association Les petits petons du Téléthon a une nouvelle fois mobilisé les marcheurs au départ de la salle du centre social ASBH du quartier Maroc à Creutzwald pour la traditionnelle marche du Téléthon. Deux circuits étaient proposés, de 6 et 11 km, avec des départs groupés ou individuels entre 9 h et 13 h. Le circuit, tracé dans la forêt toute proche, menait les marcheurs sur les bans de Ham et de Guerting avec un retour en salle. La météo du jour favorable a vu 110 marcheurs se présenter au départ. Comme le dit la chanson « Un kilomètre à pied, ça use… », que dire alors de six, voire onze : « Ça creuse l’estomac », d’après les marcheurs.
Pour leur redonner des forces, l’équipe de bénévoles a préparé une soupe de lentilles et des saucisses grillées suivies d’un café gâteaux. Vingt-cinq bénévoles se sont mobilisés autour du projet (balisage, cuisine, service en salle…) Bien entendu tous les bénéfices réalisés seront intégralement reversés au bénéfice de l’AFM. Dans le cadre de la journée internationale de lutte pour l’élimination des violences faites aux femmes du 25 novembre 2017, l’ASBH en partenariat avec la ville de Creutzwald, le CMSEA et l’association Espoir organise une marche le mercredi 22 novembre à 14h. La couleur retenue pour cette journée est l’orange, qui veut symboliser un monde meilleur pour les femmes et les filles. C’est pourquoi des rubans oranges, à nouer autour du bras, seront distribués à tous les participants. Le départ de la marche se fera à partir des deux centres sociaux Maroc et Peupliers à 14h. Les deux groupes se rejoindront à 15h près du club de voile au lac pour partager une collation et échanger sur le thème de la journée. Pour ce faire, l’équipe de prévention du CMSEA s’appuiera sur un porteur de parole.
Par ailleurs, les personnes ne souhaitant pas marcher, pourront rejoindre le groupe de participants au lac. Ces discussions pourront être prolongées au cours de la soirée du vendredi 24 novembre au centre social Maroc durant laquelle le docu-fiction Une affaire privée sera diffusée. Le public sera accueilli à partir de 18h, la projection sera suivie d’un débat. Anira Meraihi, animatrice informatique, gère un groupe de chercheurs d’emploi tous les jeudis matins au centre social Saint-Exupéry. « Le but est que la personne sache utiliser un ordinateur, connaître Word et Excel. Ce projet se déroule sur un an et en mars prochain, tous passeront un examen qui validera leurs acquis. » Sur la dizaine de personnes qui ont débuté ce stage, deux ont quitté le groupe car elles ont retrouvé un emploi, les six autres poursuivent leur formation avec assiduité dans le cadre d’un partenariat entre l’ASBH et Orange.
La SG Marienau et l’Unicef organisent une grande journée dédiée au handisport. Elle aura lieu ce samedi 18 novembre, de 10 h à 18 h, au Cosec du Wiesberg. Les enfants de l’ASBH du Wiesberg et de Bellevue ont été associés à l’événement. Ce sont eux qui ont trouvé le slogan de la journée : " Toi, tu as le droit, moi aussi ". Des clubs de toute la Moselle-Est participeront à cette journée.
Au programme des démonstrations de basket en fauteuil avec le club de Saint-Avold (notre photo), de handball, mais aussi de foot, avec la section adaptée de l’US Forbach, et de tennis en fauteuil, avec la présence du champion olympique, Nicolas Peifer. A noter, à 13 h 30, un grand lâcher de ballons sur lesquels les enfants auront inscrit l’ensemble des slogans qu’ils auront trouvés, et diverses réflexions sur le thème du handicap et des discriminations. À l’occasion de la semaine nationale de la solidarité, le foyer du Bruch mène différentes actions auprès des élèves des écoles du Bruch, du centre et du Pensionnat. « Il y a quelques temps, nous avons distribué des bacs en plastique dans les écoles pour que les enfants donnent un jouet ou un doudou , explique Anne-Marie Parlagréco, responsable du centre ASBH. Nous leur avons expliqué que leur don serait utile à d’autres enfants qui n’ont pas leur chance. »
Ce jeudi, les CM1 et CM2 de l’école du Bruch ont été accueillis au foyer pour participer à des activités. « Nous leur proposons un grand jeu sur les droits des enfants , explique Tiffany Renaudet, l’une des animatrices. Nous leur demandons aussi de réaliser un arbre à souhait. » Dans l’après-midi, un responsable du centre Horizon leur a parlé de leurs différentes actions. « Nous avons rassemblé les vêtements que nous collectons tout au long de l’année pour que les enfants prennent conscience de la générosité des habitants du quartier. Et aussi que ces vêtements sont très utiles aux personnes en difficulté, reprend Anne-Marie Parlagréco. Nous avons aussi plusieurs sacs remplis de pulls, écharpes, gants et bonnets réalisés par le groupe du mardi du tricot solidaire. Nous pensons d’ailleurs les distribuer avant Noël, dès que possible. » Les actions du centre social du Bruch vont se poursuivre jusqu’au 3 décembre avec les différentes écoles ainsi que les enfants du périscolaire. Il régnait une ambiance des plus plaisantes à la brocante bourses aux jouets organisée par le club de l’amitié à l’ASBH, au foyer Place de Paris. Les habitués de la cité la chapelle attendaient ce rendez-vous avec impatience, une tradition depuis plus de 15 ans maintenant.
« C’est une petite brocante mais de qualité. On peut circuler et prendre son temps en regardant et essayant les achats. En plus, un repas est prévu. Je vais me retrouver avec des copines », confie une habituée de la cité. Séjour culinaire Les bénéfices des repas iront au club de l’amitié mais le bénéfice des réservations des tables sera versé aux jeunes qui partent en séjour culinaire pendant une semaine à Savergne en juillet 2018. Cette journée de partenariat entre le club de l’amitié et l’ASBH a été sous les meilleurs auspices. La directrice et son équipe sont ravies comme à l’accoutumée, mais surtout de cette bonne relation avec le club et renouvelleront la brocante l’année prochaine. Marché de Noël Un prochain rendez-vous attend de nombreux Hombourgeois et des personnes des communes environnantes : le marché de Noël qui aura lieu les samedi 9 et dimanche 10 décembre avec ses chalets. Bien évidemment le père Noël a répondu à l’ASBH qu’il sera présent et qu’il y aura des bonbons et des cadeaux pour les enfants. Vins chauds, artisanat, spécialités de Noël seront également de la partie. |
Bonjour !Retrouvez ici les articles de presse que nous avons pu recueillir sur l'ensemble des secteurs d'activités ASBH. Pour un tri plus rapide, cliquez sur la catégorie qui vous intéresse! Catégories
Tous
L'ensemble des articles et photos sont tirés du site Républicain-Lorrain.fr
|