Enregistrer une chanson en studio, réaliser un clip, participer à un escape game ou une sortie à Walygator… Le programme des vacances de l’espace jeunes géré par l’ASBH est particulièrement attractif. Enregistrer une chanson en studio, réaliser un clip, participer à un escape game ou une sortie à Walygator… Le programme des vacances de l’espace jeunes géré par l’ASBH est particulièrement attractif.
• « Du lundi 23 au vendredi 27 avril, nous proposons aux jeunes de poursuivre le projet chant avec écriture et enregistrement en studio d’une chanson sur le thème de l’effet des addictions », précise Amélie Lyskawa, responsable de l’espace jeunes à Faulquemont. « C’est un projet qui est plébiscité d’année en année par les jeunes. Les ados seront pris en charge de 9h à 18h. Le mercredi 29 avril, de 14h à 18h, sera consacré à la réalisation d’un clip au local que nous posterons sur les réseaux sociaux. » Jeudi 26 avril, sortie bowling de 13h à 18h et vendredi 27 avril, escape game, de 13h à 18h. • Du lundi 30 avril au jeudi 3 mai, de 9h à 12h, réalisation d’un clip. Lundi 30 avril de 13h à 16h, initiation au basket et de 16h à 18h, jeux de société. Mercredi 2 mai : de 13h à 16h, sortie bowling et de 16h à 18h, tournoi de jeux vidéo. Jeudi 3 mai, de 13h à 16h, initiation au bask et et de 16h à 18h, jeux de société. Et vendredi 4 mai, de 9h à 18h, sortie Walygator. Pour participer aux activités, il faut acquérir la carte d’adhésion annuelle de 5€. Prix bowling : 8,10 €, soirée Walygator 15,15€. Contact Amélie Lyskawa au 07 69 97 83 55 ; mail : lyskawa.amelie@gmail.com. Facebook : Espace Jeune Faulquemont. L’espace jeunes est situé avenue André-Viaud à Faulquemont, tél. 03 87 91 52 13. L’atelier couture de l’ASBH, à Hombourg-Haut, est un sous-traitant de Dodo. Les participants, en insertion, fabriquent oreillers ou traversins. Ce partenariat permet de remettre le pied à l’étrier à des personnes éloignées de l’emploi. C’est dans une ancienne école du Vieux Hombourg, à Hombourg-Haut, que l’ASBH a installé il y a cinq ans son atelier couture. La sous-traitance pour Dodo représente 90 % de l’activité de ce chantier d’insertion. L’entreprise, installée historiquement à Saint-Avold, compte 650 salariés dans toute la France. Le groupe produit 30 000 oreillers et 25 000 couettes par jour.
L’atelier couture de l’ASBH fonctionne 20 heures par semaine : les lundis et jeudis de 8 h à 16 h, et le vendredi de 8 h à 12 h. La matière première est fournie et livrée par l’entreprise naborienne. « Nous dispatchons ensuite entre le site de Hombourg-Haut et celui de Saint-Avold », explique Martine Gamella, la tutrice qui gère aussi l’atelier de Saint-Avold. Les salariés réalisent deux tâches principales : la transformation (modification de vignettes et d’étiquettes), « pour cela, nous pouvons réaliser 800 pièces par jour pour les deux chantiers » ; et la fabrication de taies d’oreiller (découpe, travail sur la matière, fabrication et conditionnement) mais sans la garniture, à raison de 600 pièces par jour. « On nous fournit une fiche technique pour chaque commande. » Le chantier est rémunéré 0,12 € par pièce transformée, et 0,16 € par pièce fabriquée. Impératifs et objectifs Martine Gamella a elle-même démarché l’entreprise Dodo il y a un peu plus de trois ans. « Je voulais développer l’activité économique, et trouver un travail à la portée de tous. » Et ce partenariat fonctionne plutôt bien. « Les salariés se retrouvent dans des conditions de demande d’entreprise, avec des impératifs et des objectifs. Une confiance s’est installée avec Dodo, et nous savons être réactifs par rapport à leurs demandes. On a de la chance d’avoir une entreprise locale qui nous fournit du travail. C’est une forme de solidarité ! » L’objectif n’est pas la rentabilité, mais le travail soigné « et l’humain avant tout ». Il arrive que certains salariés s’orientent vers la couture une fois leur contrat terminé. « Notre objectif est l’insertion professionnelle, donc les salariés doivent avoir un projet : financer le permis et s’acheter une voiture pour trouver du travail, faire une formation… », détaille Martine Gamella. Se reconstruire mentalement Les salariés résident à Hombourg-Haut et signent un CDDI (contrat à durée déterminée d’insertion) de 6 mois renouvelables, dans la limite de 2 ans. Il n’est pas nécessaire d’être couturier pour l’intégrer. Les salariés sont rémunérés par l’ASBH, à raison de 87 heures par mois. « Le chantier est mixte. C’est important d’avoir des hommes pour le port des charges lourdes, mais aussi pour équilibrer le groupe. Par rapport au relationnel, ça permet de tempérer. » « Je me sens bien et j’ai repris confiance en moi. » Cette mère de famille n’a jamais travaillé. Séparée de son conjoint, elle doit trouver un emploi. « À la fin de mon contrat, je vais faire une formation pour travailler en maison de retraite. » Mais pour l’ASBH, il n’est pas simple de chiffrer les sorties positives. Car parfois, les salariés ne trouvent pas un job immédiatement après la fin de leur mission. « Par contre, ces personnes se sont reconstruites mentalement, et ont un dynamisme qui leur permettra de retourner vers l’emploi ». Textes : Vanessa PERCIBALLI L’ASBH et la municipalité offrent aux enfants la possibilité de passer des vacances de printemps à Schœneck au centre Prévert, rue Balzac du 23 au 27 avril.
Sagia, la responsable, accueillera les parents pour inscrire les enfants : école de Schœneck au périscolaire de 16 à 17 h (sauf mercredi) 10, rue de l’Ecole. L’inscription n’est possible qu’avec le règlement de la semaine, aucune réservation ni inscription par téléphone. Programme de la semaine : cow-boys et indiens, sortie au Parc Walygator, atelier cuisine, jeux de pistes, motricité et bricolage. Pour l’inscription : N° allocataire CAF ou coupons temps libres, copie ou dernier avis d’inscription ou non imposition. Attestations d’assurance extrascolaires et de sécurité sociale, carnet de santé avec vaccins à jour, photo d’identité de l’enfant et règlement. Informations chez Sagia au 07 77 68 91 94. L’ASBH ne manque pas d’idées pour proposer des activités attractives pour les enfants durant les vacances scolaires. Les animations feront cette fois la part belle aux héros de dessins animés.
• Du 23 au 27 avril, les 6-12 ans se divertiront sur le thème « Reine des neiges vs Star wars », au centre social. « Nous avons choisi de leur proposer du bricolage avec la confection d’Olaf, le bonhomme de neige rigolo qui accompagne les princesses Elsa et Anna, mais aussi un atelier maquillage. Côté Star Wars, ce sera le droïde R2-D2 qui sera réalisé, ainsi qu’un vaisseau spatial. Une matinée d’initiation au club de quilles jalonnera le séjour », annonce l’équipe d’animation. « Le27 avril sera réservé à une sortie au Vaisseau à Strasbourg. » • La seconde session, du lundi 30 avril au 4 mai sera déclinée sur le thème « Les lapins crétins ». Au programme : réalisation d’un porte-clés en pâte à sel et masques, matinée aux clubs de quilles et atelier pâtisserie. 4 mai : sortie au parc d’attractions Walygator à Maizières. • Pour les 3-5 ans, une seule session, du 23 au 27 avril , est programmée à la maternelle Descartes sur le thème « Tous en piste ». Les tout-petits découvriront les métiers du cirque. Côté bricolage, déguisements de clown et ateliers maquillage seront au cœur des animations. Le 27 avril sortie au Vaisseau à Strasbourg. L’accueil a lieu de 7 h à 18 h. Le petit-déjeuner est servi jusqu’à 9 h. Inscriptions au centre social du Bas-Steinbesch à Faulquemont, du mardi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Tél. 03 87 94 32 65. Fax : 03 87 94 49 81. Mail : asbhfaulquemont @orange.fr La semaine du développement durable vient de débuter. Elle a comme thème : les oiseaux. De multiples actions sont menées avec les forces vives de la ville. Samedi, ce sera nettoyage de printemps. Depuis 2011, la ville de Farébersviller surfe sur le concept de la semaine du développement durable. Elle invite la population à être attentive à son environnement via diverses animations mises en place par le service culturel. Cette année, elle aura comme fil conducteur : les oiseaux.
Ainsi, un concours photo est organisé. Il suffit de prendre une photo d’oiseaux réels ou imaginaires et l’envoyer par mail ou sur Facebook. Il n’y a pas de limite d’âge, tout le monde peut aisément participer grâce au développement des appareils photos sur les téléphones portables. Les actions se multiplient Les actions se multiplient sur la commune : la garderie les Petits lutins, les mercredis récréatifs de l’ASBH, le collège. Une exposition photos en partenariat avec la Ligue de protection des oiseaux se tient au centre social Saint-Exupéry sera organisée. Pour la ville, la propreté urbaine est une préoccupation constante et invite chaque citoyen à faire preuve de civisme. Devenue une journée incontournable au printemps à Farébersviller, la ville, en partenariat avec les associations, organise ce samedi 14 avril une journée de ramassage des déchets. Ainsi, la commune fournira aux participants des accessoires floqués à l’image de la ville, des sacs de ramassage et des gants en plastique. Le groupe ayant le plus ramassé de sacs pleins gagnera un lot et une coupe. Renseignement : service culturel au 03 87 29 15 34. Ce dimanche, la commune a organisé une journée dédiée au développement durable. Artisans, ASBH, communauté d’agglo et office du tourisme ont répondu présent. Les quelques visiteurs ont pu découvrir une autre manière de consommer tout en préservant la nature. /Photo RL
Trois semaines de conférences, de spectacles, de concerts, de projections de films et surtout de partage entre différentes générations et cultures. Le festival Migrations s’est terminé samedi, avec une journée de clôture au centre social Daniel-Balavoine de Cocheren.
La manifestation, portée par l’ASBH (Association d’action sociale et sportive du Bassin houiller), a une nouvelle fois mis la culture au cœur de cette dernière journée. Point fort de l’après-midi : l’intervention de Ginette Kolinka, 93 ans, déportée pendant la Seconde Guerre mondiale et rescapée du camp d’Auschwitz. Dans les autres salles du centre social, des ateliers et des animations sont aussi été organisés. Les jeunes filles du centre social Chapelle, de Freyming-Merlebach, ont défilé en tenue traditionnelle. Les responsables des périscolaires, participant à la manifestation, ont présenté les travaux des enfants. Les démonstrations de danse, les concerts et les dégustations culinaires ont continué jusque dans la soirée. Le 6 avril, l’ASBH organise une chasse aux œufs dans parc municipal de Freyming-Merlebach. Les enfants sont attendus de 13 h à 17 h. En attendant, les ouvriers de la Ville procèdent à la décoration des lieux. Les cygnes font ami-ami avec les lapins en bois tandis que les paons font la roue devant les panneaux animés.
SAINT-AVOLD - SOCIÉTÉ Michel, réfugié centrafricain à Saint-Avold retrouve son univers : le conte1/4/2018
Dans le cadre du festival Migrations organisé par l’ASBH et l’ATMF, Michel Ouedane-Wesskpamon, réfugié centrafricain à Saint-Avold évoquera les contes africains le 3 avril à la MJC naborienne. Michel Ouedane Wesse-Kpamon est arrivé en France en 2013 après avoir été persécuté pour raisons politiques dans son pays, le Centrafrique. Là-bas, il était journaliste et conteur. Son histoire a fait l’objet d’un article dans nos colonnes (lire RL du 27/01/2018). C’est en lisant celui-ci que les organisateurs du festival Migrations ont eu l’idée de l’inviter à participer à cet événement culturel. Il sera à la MJC de Saint-Avold le 3 avril.
En quoi consiste le spectacle du 3 avril ? Michel OUEDANE WESSE-KPAMON : « On m’a demandé de livrer plusieurs contes – certains sont issus du répertoire traditionnel centrafricain, d’autres de ma création personnelle – durant 30 minutes. Puis je m’entretiendrai avec les spectateurs sur mon parcours personnel, les problèmes dans mon pays qui m’ont amené là, le statut de réfugié, etc. » Le conte africain a-t-il une particularité ? « Il a une réelle importance. Dans l’arrière-pays, encore aujourd’hui, il se raconte autour du feu, le soir. Moi, je suis un enfant de la ville, mais je me souviens que mes grands-parents prenaient le temps en soirée de nous en raconter. C’est important pour transmettre nos valeurs africaines : ne pas se moquer des vieillards, l’importance d’avoir des amis, etc. Ce sont des savoirs qui se transmettent de génération en génération, à l’oral. L’oral a son importance. » Pourquoi ? Qu’est-ce que ça change ? « Je n’ai personnellement rien contre fixer le conte par écrit ou sur un support numérique. Mais conter, c’est transmettre la chaleur humaine. Il y a quelque chose qui passe par le son de la voix. Dans mon pays, je me battais pour que soit préservée cette tradition du conte oral. » Les enfants centrafricains connaissent-ils le Petit chaperon rouge ? « Oui. Nous avons appris l’Histoire de France, les manuels scolaires étant français, à la base. Les contes, aussi. Par ailleurs, je suis persuadé que les contes ont des trames, des personnages centraux identiques. Ils ont voyagé durant des milliers d’années, connaissant des enrichissements, des variantes. Au Centrafrique, Tere (ça veut dire « l’Araignée », en sorgo) est le héros, personnage rusé qui se sort de toutes les situations. En tradition arabe, il a son pendant : Nasredine. Je suis sûre qu’il doit y avoir un personnage, comme ça, dans les contes occidentaux… » Vous allez aussi raconter vos propres contes ? « Oui, j’ai écrit des histoires et des pièces de théâtre. Certains textes ont été publiés en France, d’ailleurs. J’ai participé au recueil de nouvelles Les paroles du cœur , aux Éditions du Jasmin et Cœur de foot aux Éditions Volipilière. » À la MJC de La Chapelle, à Saint-Avold, à partir de 20 h le 3 avril. Entrée libre. |
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